travestipourmoi

    Sur un site, je recevais depuis longtemps et très régulièrement des clins d’œil et des messages de Gérard, un homme de 61 ans qui souhaitait absolument me rencontrer. Il était divorcé, bisexuel mais de plus en plus homo dans ses envies, vivait seul et adorait la lingerie. Il désirait d'ailleurs que je m'habille avec celle qu'il possédait et il m'a ainsi présenté en photos de très belles tenues qui appartenaient à une de ses anciennes relations faisant la même taille que moi. Enfin, il semblait très BCBG, courtois et très doux, ce qui n'était pas pour me déplaire.     Un vendredi après-midi, après de longs échanges sur internet, j'ai donc réagi positivement à ses avances et après m'être préparé, y compris avec mon plus petit plug, je me suis rendu chez lui. Je n'avais emmené qu'une demi-douzaine de paires de bas et autant de chaussures car il n'avait que des escarpins trop petits pour moi. Il habitait au troisième étage d'une luxueuse résidence en centre ville. Quand il m'ouvrit, il était conforme à ses photos, bel homme grand et mince, les cheveux blancs et les yeux bleus, habillé élégamment et pieds nus. Il s'effaça pour me laisser entrer et je fus sensible à ce simple geste. L'appartement était lumineux et décoré avec goût. Tout cela me rassura sur mon choix d'avoir accepté son invitation.     Après quelques mots échangés et comme convenu, je le suivis immédiatement dans une chambre où sur le lit, s'étalaient une multitude de jolies parures de très belle qualité et de grandes marques: des guêpières, des porte-jarretelles, des strings, des bustiers, des robes, des jupes, des chemisiers,...Les possibilités étaient multiples. Nos regards ne se quittèrent qu'au moment où il referma la porte. Vite nu, je choisis une très belle guêpière grise et noire et son string assorti, j'enfilais une paire de bas gris à couture que je fixais aux jarretelles, un petit haut, à la fois bustier et nuisette de dentelle noire très court et presque transparent, une jupe en soie noire m'arrivant aux genoux, un sage chemisier blanc et des sandales noires à talons de 10 cm. Je me rendis dans la salle de bains, me parfumais, mis maperruque et une touche de rouge à lèvres mat, J'étais prêt...
    Le bruit de mes talons sur le parquet le fit se retourner et me regarder. "Tu est très élégant ou élégante, que préfères tu ?".
"Élégante me fait très plaisir, même si c'est très exagéré..."
Il sourit et se détourna vers la cuisine. Je m'asseyais alors  sur le canapé et croisais les jambes, faisant apparaître la lisière des bas. Il me tendit un verre de vin blanc et vint s'asseoir à côté de moi. Son parfum était frais et agréable et je me sentais à l'aise avec lui. Timidement, comme à chaque fois dans ces situations, les premiers mots furent difficiles. Puis, en confiance tous les deux, nous avons longuement discuté de nos passés respectifs et de ce que nous aimions.
    Tout en parlant, sa main se posa doucement sur ma cuisse et y resta longtemps sans bouger. Je profitais pleinement de sa délicatesse et lui en fis la remarque. Il m'avoua qu'il appréciait notre rencontre et qu'il ne souhaitait pas précipiter les choses.
"Tu es disponible jusqu'à quand ?" me demanda-t-il subitement.
Je n'avais rien prévu exprès ce week-end et lui en fis part.
"Serais tu tenté par une soirée dans un lieu où tu pourrais rester ainsi ?"
A la fois inquiet, car subitement terrassé par la peur du ridicule à m'exposer ainsi au vu de tous et très intéressé, je lui avouais mes angoisses et lui demandais plus de précisions.
Il se voulut rassurant et m'expliqua qu'il avait découvert à moins de deux heures d'ici, près de Marseille, un endroit où il avait très envie de retourner, à la fois bar, restaurant et boite, suffisamment loin et intimiste car de petite taille, donc sans trop de monde, un éclairage tamisé, des hommes et des travestis, l'ambiguïté permanente, discrète et respectueuse mais aussi débridée. Il n'y avait été que deux fois, la distance solitaire le rebutait, mais ce soir, avec moi, il en avait très envie. Je l'accablais de précisions, j'étais submergé par le doute.
"Viens en homme, tu ne prends aucun risque, après, on verra bien"
Sa compréhension apparente de mes turpitudes silencieuses effaça d'un trait mes bouillonnements intérieurs et j'acquiesçais, l'esprit embrumé par l'excitation.
"Tu resterais en lingerie sous tes vêtements, j'aimerais beaucoup, qu'en penses tu ?" J'avoue que cette idée me séduisais et j’acquiesçais sa demande, à la fois subitement terrifié et excité par ma réponse.
    Je retournais ainsi dans la chambre et après tout enlevé, je me rhabillais avec mes vêtements. Fébrilement, j'enfournais dans mon sac tout ce qui me tentais. cela allait trop vite, qu'allait-il se passer ce soir...
  Je retrouvais Gérard dans le salon et décidais de laisser les choses se faire.
La route passa vite car Gérard conduisait bien une luxueuse berline allemande confortable et nous avions de quoi échanger. Nous arrivâmes assez tôt à l'endroit prévu. Le lieu était discret et isolé, l'entrée rapide après avoir sonné et je le découvris quasi désert à cette heure de début de soirée. Une petite salle de restaurant et une estrade sur la gauche, un bar à droite, quelques hommes devant et derrière, de tous les âges, masculins ou efféminés et un travesti, une musique rock en sourdine.
    Des bonsoirs réciproques, des regards attentifs, des réserves initiales puis des conversations qui reprennent et nous acceptent prudemment, des verres partagés, la découverte de l'ambiance des lieux, sereine puis bourdonnante au fur et à mesure de l'arrivée d'abord timide puis grandissante des visiteurs. Des couples hétéros, beaucoup d'hommes seuls ou ensemble,  de tous les genres, viril ou féminisé, un ou deux travestis, un éventail subjuguant qui me ravissait.
    Le restaurant fut vite comble mais Gérard avait réservé une table et nous nous laissâmes porter par le repas, les discussions avec nos voisins, entre un couple hétéro, qui ne venait que par curiosité (mais que je finis par exciter terriblement en leur racontant ce que j'aimais faire à un homme...) et deux gays sympathiques puis le spectacle de travestis burlesque qui nous occupa longtemps. Nos échanges avec Gérard semblaient naturels depuis le début, l'alcool et l'ambiance de plus en plus festive devaient nous y aider. Nous parlions de tout et de rien avec tout le monde, embarqués par la musique et par ce que nous voyions autour de nous. Le temps passa vite, les tables furent enlevées, la salle transformée en piste de danse et la lumière se raréfia.
   Installés au bar, je mis du temps à réaliser qu'il y avait du monde sur la piste, que des hommes s'embrassaient à coté de moi, en musique et en douceur et qu'à ma gauche, un jeune homme en costume sombre mettait sa main sur la joue d'un travesti d'une cinquantaine d'années, BCBG, une perruque noire, maquillé, des boucles d'oreille, une multitude de bagues et les ongles rouges, un collier laissant entrevoir un soutien-gorge de dentelle rouge sous une veste de tailleur noir, en bas résille et escarpins noirs et que le jeune barman était en short et tee-shirt en résille, des percings sur les seins. Sur la piste, il ne restait que des hommes qui dansaient seuls ou en couple, de plus en plus dénudés, certains torse nu. Un autre travesti plus jeune, d'une trentaine d'année, avec de longs cheveux blonds apparut en robe verte, bas assortis et talons aiguilles à plate-forme et se mit à danser, vite rejoint par un homme qui se colla contre lui.
    Ce spectacle m'excita au plus haut point et je demandais à l'un des barmans où je pouvais me changer. Il m'indiqua une porte près de l'entrée. Je récupérais mon sac et entrais dans une loge qui devait servir aux artistes pour se préparer lors des spectacles. Il n'y avait personne. Fébrilement, j'enlevais mes vêtements d'homme et, en lingerie, je me rhabillais comme chez Gérard à l'exception des bas gris que je remplaçais par des noirs opaques afin de cacher ma pilosité. J'enlevais mon plug, ce qui me fit un mal. Effectivement, cela faisait plusieurs heures qu'il était en place et son retrait fut difficile. Je ressentis alors un grand vide.
    C'est le cœur battant que j'entrais à nouveau dans la salle. C'était la première fois que j'étais travesti en public. Heureusement, la lumière avait encore baissé et il faisait très sombre.
    "Elle est jolie comme ça, ta mignonne..." me parvint d'un des barmans. Derrière Gérard, qui acquiesça en me regardant, le travesti âgé caressait la braguette du jeune homme qui semblait gêné de la situation, probablement autant que je l'étais.
    S'approchant de moi, Gérard posa ses lèvres sur les miennes  et m'embrassa goulûment, sa langue fouillant ma bouche pour mélanger nos salives et se frotta furieusement contre moi. Tant qu'à être sa mignonne, allons-y. Désinhibé, je l'entraînais alors vers la piste de danse et me collais contre lui pour un slow langoureux. J'étais enfin dans ma peau de femme, en train de danser avec un homme, exposé à tous les regards. Ses mains se posèrent sur mes fesses d'abord puis sous ma jupe qu'il souleva. Tout en dansant, Gérard commença à vouloir me déshabiller. Je n'acceptais que le retrait de mon chemisier, ma jupe cachant ma pilosité pubienne impossible à afficher devant tout le monde. Je me retrouvais subitement en jupe et nuisette, juché sur mes talons aiguilles, devant tout le monde. C"était fou. Je ne sentais que des regards se tourner vers nous ou moi en l'occurrence, et chose étonnante, j'y trouvais un plaisir sans bornes. Mon sexe bandait sous mon string et ma jupe, ce qui ne pouvait échapper à la foule qui ne semblait ne regarder que moi. J'avouais ma gène à Gérard qui me chuchota à l'oreille. "Viens, j'ai appris qu'il y a un endroit tranquille".
    Traversant la salle, je le suivis. Il ouvrit alors une porte et nous fit entrer dans une salle encore plus sombre. Une vingtaine de mètres carrés, des banquettes et des poufs partout, de rares lumières. Nous étions dans un backroom. Le spectacle était torride. Mon érection monta d'un cran. Gérard aussi regardait avidement. La première chose que je vis fut le jeune travesti à genoux, maintenant en guêpière verte assortie à ses bas, en train d'avaler le sexe de son partenaire, désormais nu et assis sur un canapé. Les rares banquettes semblaient toutes occupées sauf peut-être au fond.  Nous passâmes devant un couple d'hommes entièrement nus en plein 69 sur une banquette, puis près de deux autres hommes qui se masturbaient mutuellement en s'embrassant à pleine bouche. Mon regard était happé et je ne pouvais quitter des yeux ces copulations homosexuelles qui m'excitaient terriblement. Gérard m'entraîna sur la seule banquette qui restait effectivement libre au fond.
    Étrangement, je me sentais bien et sans appréhension, comme ailleurs, à suivre Gérard, debout sur mes talons aiguilles, presque en femme, dans un monde d'hommes et de travestis autour de nous en train de se donner du plaisir. Tout était possible...
    Toujours debout et en s'embrassant, il se mit à me caresser d'abord les jambes, puis en remontant vers le haut de mes cuisses, pour enfin effleurer mon sexe tendu sous mon string. Il continua ses caresses sur mon torse, cherchant mes seins. Très vite, mes mains se posèrent sur son corps et glissèrent sous sa chemise pour toucher sa peau puis sa poitrine et il frissonna sous la caresse.
    J’ôtais sa chemise puis en m'agenouillant, je défis les boutons de son pantalon et le baissais lentement. Surprise, il ne portait pas de sous-vêtement et son sexe m'apparut à quelques centimètres de mon visage. Long, moyennement gros, circoncis et complètement épilé.  Hâtivement, je lui enlevais son pantalon et ses chaussures, et, redressant la tête, je nous contemplais, lui nu et le sexe dressé et moi à genoux, habillé en femme, dans cette pièce qui n'était que sexe débridé.

    Sans pouvoir attendre, je le poussais sur la banquette où il s'assit et je le pris alors dans ma main, l'emprisonnais, l'entourais complètement de mes doigts pour le découvrir, qui coulissaient lentement sur sa chair douce. J'approchais vivement ma bouche et ma langue toucha doucement son gland, puis tourna autour à petites touches espiègles. Vu les mouvements de son bassin vers moi à chaque coup de langue, il avait l'air d'apprécier vivement mes caresses.
    Avidement, je ne pu me retenir et le pris pleinement en bouche, jusqu'à la garde, son gland allant buter au fond de ma gorge puis en revenant infiniment lentement jusqu'à l'ourlet délicat et redescendis, me gavant de sa dure chaleur vibrante. Je le suçais alors pleinement, de haut en bas et de bas en haut, encore et encore. Ma main droite accompagnait le mouvement et de la gauche, je me mis à lui caresser ses douces boules pendantes. Je me régalais de sa virilité dans ma bouche et de la savourer. J'oubliais le temps pour n'être plus que bouche remplie par sa chaude et dure virilité. Au bout d'un long moment,je sentis sa queue commencer à perler et je gouttais alors ce liquide témoin de son désir, léchais ce gland humide et turgescent, ivre de dompter sa jouissance à ma guise devant tout le monde. Il me demanda soudain de me calmer car il n'allait pas tenir longtemps à ce rythme. Glissant ses mains sous mes aisselles, il me releva. Je fus soulagé car j'avais mal aux genoux.
    C'est alors qu'arrivèrent le travesti plus âgé et le jeune homme à la recherche d'un emplacement. "Nous allons vous faire une petite place...". Nous nous regardâmes en souriant: "Nous avons des points communs, je crois...?. Amandine et André, enchanté !" Nous nous présentâmes à notre tour puis Amandine embrassa fougueusement André et commença à le déshabiller avant de l'assoir sur la banquette. A peine le pantalon de ce dernier baissé sur ses chevilles, laissant apparaître une verge longue et mince, en demi érection, qu'Amandine enleva sa veste de tailleur pour montrer deux petits seins naturels soutenus par un soutien-gorge porte-seins de dentelle rouge et s'agenouillant, elle engloutit sans attendre le sexe d'André, qui, la tête en arrière, les yeux fermés et la main posée sur la tête de son partenaire se laissa faire.
    Hyper-excité, je me laissais asseoir à mon tour par Gérard qui, s'agenouillant devant moi sur un coussin, se mit à me caresser les jambes en partant de mes sandales. Il remonta jusqu'à mes cuisses. Dépassant du string, mon sexe était tendu. Après me l'avoir enlevé,sa langue pointue et agile titilla mon gland et mon prépuce puis sa bouche s'ouvrit pour me prendre et il commença à me sucer doucement en prenant tout son temps. Inlassablement, il englobait mon sexe jusqu'à la base et remontait lentement, les yeux fermés. Je sentis le plaisir monter de loin. Le spectacle y était aussi pour quelque chose. Tout autour, ce n'était que fellations et sodomies. Pas encore de pluralité mais ce n'était que le début de la soirée.
    Je lui tenais les cheveux et retenais sa tête afin de ralentir le rythme de sa caresse. Je lui ai dit gentiment de se calmer et il me comprit car, relevant sans rien dire mes jambes autour de ses épaules, il se dirigea plus bas. Écartant mes fesses, il me lécha d'abord prudemment puis avidement, y mettant beaucoup de salive et démarra une pénétration avec sa langue qui rentra facilement. C'était la première fois et c'était très agréable. Ses doigts arrivent très vite, m'étirant délicatement et permirent à sa langue de me fouiller de plus en plus loin. Je m'abandonnais à sa caresse, complètement détendu, très excité par cette sensation plaisante. Quand un de ses doigts vint se poser, je l'engageais à trouver du lubrifiant. Ce fût rapide, il y en avait, ainsi que des préservatifs et des kleenex, un peu partout.
    Il me reprit avec sa bouche en même temps que son doigt lubrifié glissa en moi, puis devant la facilité, devint vite deux doigts, puis trois. Il me pénétrait facilement et c'était tellement bon de se sentir s'ouvrir, sans se crisper, ni avoir mal. Ses deux doigts au fond de moi-même commencèrent à bouger et à me masser d'un mouvement circulaire. Je lui avouais que c'était exquis et que le plaisir montait beaucoup trop vite. Je l'arrêtais d'un coup, le repoussais en dégageant mes jambes et nous relevais ensemble.

    A coté, Amandine ne cessait d'avaler la queue d'André à un rythme soutenu. Plus loin, j'entrevoyais des corps nus entremêlés, il faisait chaud et des odeurs de sexe, de sueur et de multiples parfums mélangés remplissaient la pièce.
    Sans rien dire, j'assis Gérard sur le bord du canapé, lui enfilais fébrilement un préservatif, l'enduisis de gel et vins m'installer à califourchon sur lui, mes cuisses de part et d'autre des siennes et plaçais sa queue contre mon entrée. C'est comme ça que j'en avais envie, tout de suite et lui avouais cela en me collant contre lui.
    Je l'embrassais et saisissant ses mains, je mis le bout de ses doigts sur mes seins. Pliant lentement les cuisses, je sentis son gland se poser, puis m'appuyant un peu plus sur lui,  lui fis passer un peu douloureusement mon entrée puis très lentement, je vins m'asseoir doucement sur lui. Je ressentis chaque centimètre de sa pénétration qui m'envahit le ventre, une brûlure, certes, mais moindre que je ne le craignais. Il rentra ainsi jusqu'à la garde et je restais assis sur ses cuisses, mes genoux pliés, savourant d'être pris et m'habituant à sa présence. Nos langues se mêlaient et le plaisir irradiait de mes seins qu'il caressait du bout des doigts en tournant d'un mouvement circulaire, comme je lui avais dit que j'aimais. Relevant la tête, je ne vis autour de nous que des couples dans des scènes débridées. Terriblement excité, je me mis à me soulever et me rassoir, commençant un lent va et vient qui s'accentua de plus en plus rapidement. Tout en gérant moi-même la vitesse de sa pénétration, le plaisir montait crescendo de cette brûlure qui s'atténuait au profit d'une douce chaleur. Je le sortais entièrement et recommençais la pénétration. J'aimais sentir ce sexe en moi, me remplir, sa bouche sur la mienne, ses doigts sur mes seins, m'entrevoir en guêpière, bas, talons hauts, ces corps d'hommes et de travestis autour de nous. Je bandais, je ne savais plus où j'étais, j'étais excité au plus haut point. Je lui ai dit de venir, je le voulais en moi longtemps, qu'il me pénètre encore, qu'il me fasse jouir sans que je me touche, je voulais tout ça et lui aussi à l'écoute de ses mots. Son action se fit plus rapide, ses mains quittèrent mes seins pour mes hanches et pour m'empaler profondément,il se mit à me sodomiser sans retenue, me soulevant et me plaquant sur sa bite dure. J'étais éventré, le cul en feu et pourtant, je sentais mon plaisir monter. Dans un éclair de lucidité, je réalisais alors que j'allais en mettre partout et lui dis alors de s'arrêter. Je vis au même moment Amandine quitter la queue d'André et en profitais pour lui demander un préservatif.
    "Mais avec plaisir ma chérie !" Il se releva et revint vers moi, une capote à la main. Il se pencha alors vers moi et m'embrassa, sa grosse langue envahissant ma bouche et ses seins offerts s'écrasant contre mon buste. Glissant sa main entre Gérard et moi,je le sentis tâtonner avant de s'enrouler autour de ma queue et de la caresser avec délicatesse. Puis je le sentis faire glisser le préservatif sur moi et quittant ma bouche, il me murmura à l'oreille "Nous deux, ce sera pour plus tard, d'accord ?" avant de se tourner vers André. Je le vis dégrafer sa jupe et apparaître en porte-jarretelle et string rouge assortis au soutien-gorge, une queue impressionnante en dépassant. en semi-érection, contenue par son string.
    Je n'eus pas le temps d'en voir plus car Gérard, posant sa main sur ma joue, me tourna la tête vers lui pour m'embrasser et reprenant possession de mes hanches, il se mit à me soulever les fesses pour mieux me pénétrer à nouveau. Je m'abandonnais à la sensation en fermant les yeux et me laissais remplir par son sexe dur qui me fouillait le ventre. Il se mit à aller-et-venir de plus en plus vite, je le sentais coulisser en moi comme un mandrin brûlant, le plaisir revint, je l'encourageais à poursuivre, mes gémissements saccadés devinrent continus, que cela ne s'arrête pas. Je transpirais, n'étais plus moi et sentais des ondes de plaisir monter de ma queue tendue, des spasmes me submerger. Je me suis abandonné à sa pénétration qui devint égoïste, à ses mains crispées sur mes fesses ou mes hanches, oubliant tout de la situation, j'ai savouré ce moment et j'ai senti le plaisir monter en moi sans qu'il me touche, mon anus se contractant sur lui douloureusement au rythme d'ondes qui partirent de mon cul en feu pour m'envahir, je me caressais les seins,c'était exquis. J'ai senti mon jus monter par lentes vagues avant de se déverser enfin par brèves saccades accompagnées de mots qui sortirent de ma bouche sans interruption, pour dire ma jouissance incontrôlée.
    Épuisé et dans un état second, je mis du temps à émerger. J'étais affalé sur lui, à la fois formidablement repu et gêné, trempé de sueur dans les bras de cet homme, réalisant qu'il n'avait peut-être pas joui. Il me rassura en me caressant le visage: "C'était délicieux, ma chérie". Je réalisais alors qu'il n'avait effectivement pas pris son plaisir car je le sentais toujours aussi dur au fond de moi. Il eut la délicatesse de m'embrasser longuement en me murmurant que nous avions tout le temps, qu'il n'était pas pressé et que c'était même tant mieux, car à son âge, on ne pouvait plus de multiples fois..

Sam 16 mar 2013 Aucun commentaire