travestipourmoi
Quelques semaines plus tard, j’ai rencontré Paule. Paule a 45 ans, est mariée, vit dans le Nord de la France
mais vient régulièrement passer quelques jours dans le sud, dans son petit appartement au bord de la mer, où elle peut s’épanouir en femme. Nous avions déjà conversé par mail quelques mois
auparavant mais n’avions pu nous rencontrer.
Paule m’attendait à la fenêtre de son petit appartement. Elle m’a avoué observer l’objet de ses rencontres
avant de se dévoiler car elle avait déjà eu quelques mauvaises surprises…
Petite jupe noire, chemisier blanc, bas couleur chair, bottes noires, perruques, maquillage et bijoux…Elle
était femme, tout simplement ! Timidement, nous avons d’abord conversé autour d’un café et de quelques cigarettes, échangeant sur nos expériences passées. Puis, elle m’a incité à aller m’habiller
dans la salle de bains.
J’avais choisi une parure entièrement blanche : bas à coutures, porte-jarretelles, string, soutien-gorge,
nuisette, jupon et fin peignoir de nylon ainsi que des sandales à talons hauts Daniel Hechter, blanches elles aussi.
Je crois qu’elle ne s’attendait pas à autant de « sophistication » compte tenu de mon aspect masculin. Son
commentaire m’a vraiment fait plaisir : « mais tu pourrais te travestir !… ». Eh oui, il suffirait que je sois épilé…
Je me sentais bien, à évoluer ainsi en femme avec elle. Nous avons continué à discuter puis Paule m’a invité
à venir m’asseoir à coté d’elle sur le canapé. Elle a posé sa main aux ongles rouges sur ma cuisse, a tourné la tête et nos lèvres se sont jointes. Nous nous sommes longuement embrassés pendant
que nos mains courraient sur nos vêtements. Ses doigts ont défait la ceinture de mon peignoir et, à ma demande, se sont glissés sous ma nuisette, qu’elle a enlevé puis sous mon soutien-gorge pour
s’emparer de mes pointes de seins tendues par le désir.
A mon tour, je lui ai enlevé son chemisier, découvrant un soutien-gorge rouge et lui ai caressé moi aussi les
seins. Sa peau était chaude et douce. Puis s’agenouillant devant moi, Paule a fait glisser mon jupon, libérant mon membre tendu sous le string qu’elle a lentement englouti de ses lèvres rouges.
Quel bonheur…J’étais là, étendu, jambes écartées, tout de lingerie blanche vêtu, offert à sa douce caresse…Interminablement, sa bouche m’a pris et repris, ses mains courraient de mes seins
brûlants à mon orifice encore fermé.
Plus tard, c’est moi qui ai relevé sa jupe, découvrant un slip et un porte-jarretelles rouge tendu par son
sexe court mais dur, que j’ai libéré, puis léché à petits coups de langue pour en découvrir la saveur avant de m’en emparer longuement du gland jusqu’à la garde. J’adore, je l’ai déjà dit et le
répèterai, avoir un sexe dans ma bouche, le faire glisser sur mes lèvres, l’aspirer, l’humidifier, le happer…J’adorais entendre les gémissements de Paule, témoignant du plaisir que je lui
donnais. Agenouillé, mes mains caressaient ses douces boules, l’intérieur de ses cuisses, ses fesses,…
C’est à ce moment qu’elle m’a demandé si je voulais la prendre. J’ai alors levé les yeux sur elle et mon
regard voulait tout dire… « Prépare-moi… » m’a t’elle murmurée en avançant le bassin. Quittant son membre luisant de ma salive, mes lèvres humides se sont alors posées sur sa fleur lisse et
frémissante. C’était la première fois…Ma langue a découvert sa caverne secrète et, progressivement, je l’ai senti lentement se détendre jusqu’à s’ouvrir sous ma pression puis gémir quand ma
langue atteignit ses plis intérieurs. Elle me demanda ensuite de prendre un gel lubrifiant dans la salle de bains.
Quelles sensations ! Je les savourais…Moi, debout, le sexe dressé, en bas, porte-jarretelles et soutien-gorge
blanc, marchant dans son appartement avec le claquement de mes talons hauts et Paule, en lingerie rouge et bottes noires, offerte et pleine de promesses nouvelles…
Pendant que nous nous embrassions longuement, mon doigt lubrifié a doucement massé le tour de sa fleur avant
de s’y introduire lentement. Paule me serrait dans ses bras, m’embrassait dans le cou, en s’ouvrant à ma caresse pour accepter trois de mes doigts jouant dans son ventre. Puis se redressant, elle
alla chercher un préservatif qu’elle fit glisser sur moi puis qu’elle enduisit de lubrifiant.
Enfin, elle me fit asseoir sur le canapé et posa ses cuisses de part et d’autre des miennes. Paule était
tellement ouverte que je sentis à peine mon gland entrouvrir sa fleur et déjà, j’étais en elle. Je m’arrêtais, ne voulant pas lui faire mal mais je sentis vite son bassin appuyer sur mes cuisses
pour me faire rentrer encore plus en elle. Nous nous serrions dans nos bras, nos souffles et nos langues entremêlées, la sueur glissant sur nos corps tremblant d’excitation. Elle me disait que
c’était bon, si bon d’être femme…Quand j’ai senti ses fesses contre mes boules, j’ai su qu’elle m’avait prise complètement (lapsus révélateur ?).
Elle m’a alors pris mes mains pour les poser sur ses hanches et m’a murmuré de venir. Fort. Quand ses doigts
se sont posés sur mes seins, je n’ai pu me retenir…La portant et la laissant tomber de tout son poids sur mon membre tendu, encore et encore, nous nous embrassions. Trop vite, j’ai sentis monter
le plaisir, tenté de ralentir mais les mouvements de Paule remplacèrent les miens, ses fesses claquaient sur mes cuisses, le ballet de ses doigts et de sa langue s’accélérèrent, son souffle chaud
aussi. Je n’étais que plaisir et elle aussi, apparemment…J’ai jouis longuement dans son ventre et senti ses bras renforcer leur étreinte sur moi à ce moment là.. Nous sommes restés longtemps
ainsi, à profiter de ce plaisir partagé. Pourtant, quand je lui fis la remarque qu’elle n’avait pas joui, elle me regarda avec un petit sourire et me dit que « ça valait toute les éjaculations du
monde »…Moi aussi, j’ai hâte de connaître ce plaisir ultime !
Nous avons encore profité un long moment de ce simple bonheur partagé en femmes puis, à regrets, j’ai dû la
quitter.
Une semaine après, j’ai reçu un mail de Paule, rentrée chez elle. Elle avait apprécié ma douceur et ma
tendresse, m'avouant que c'était seulement la deuxième fois…
Quelques mois plus tard, elle était de nouveau dans le sud mais je n’étais, hélas, pas disponible et je n’ai
plus eu de nouvelle d’elle.
Je pense souvent à Paule. J’aimerai bien la revoir.