Vendredi 25 août 5 25 /08 /Août 23:06
17 heures, un début de soirée tranquille.
Je suis rentré tôt du travail et j'ai pris le temps d'un long bain chaud qui détend en ambiance jazz et lumières tamisées en cette nuit d'hiver débutante.
Une grande envie de féminité ce soir, à ma mesure car disponible, alors, une longue préparation intime aussi, qui-sait...
Rasage soigné du visage, tondeuse à 3 mm des cheveux, peeling, crème, anti-cerne, parfum, déodorant, soins des ongles des pieds et des mains, ni vernis, ni maquillage, à regret.
Je vais choisir par contre, avec un plaisir non dissimulé, ma tenue de cette soirée: du rose, surtout pour profiter de cette jolie paire de sandales, achetée sur le Boncoin et reçue il y quelques jours, non encore essayée et que j'ai hâte de porter.
Assis au bord de mon lit, je déroule sur mes jambes, puis mes cuisses (les deux hélas poilues, brrr...), une paire de bas noir Clio sans couture, enroule autour de ma taille un porte-jarretelle rose Aubade,fixe les bas puis fais glisser le string assorti jusqu'à sentir la ficelle rentrer entre mes fesses, quelle douce sensation et y mets à sa place ma verge mole pour qu'elle y disparaisse au mieux.Puis, je crochète dans mon dos le soutien-gorge assorti sur mes tétons déjà tendus qui rêvent d'être des seins et ne le seront jamais... J'enfile enfin un ensemble nuisette de dentelle noire et un kimono rose qui n'ont rien à voir ensemble, mais le contraste va bien ensemble.
Ouvrant enfin, la boite à chaussures, j'en extrais mes nouvelles sandales, les fais glisser sur les bas et les positionne au mieux en serrant au maximum les brides sur mes chevilles. J'ai du mal à les mettre en place et je comprends vite pourquoi ma vendeuse s'en est débarrassée, ils sont mal conçus car le pied et les orteils ne sont pas dans l'axe de la chaussure, ils ne prennent pas leur place comme dans
des chaussures de qualité. Dommage et tant pis, il va falloir faire avec !
Je me lève et me rends immédiatement compte, que lié à leur imperfection, les 12 cm de talons m'envoie vers l'avant et me gênent dans ma démarche.
Je me dirige vers la cuisine pour me servir un verre de vin blanc et j'avoue que pour un habitué des talons hauts, ce n'est pas le véritable plaisir que j'attendais...
Néanmoins, le simple fait de déambuler chez moi en femme, le claquement de ces nouvelles sandales à talons rose sur le carrelage, à défaut de l'être comme je le voudrais et le pourrais, il ne suffirait à la fois de peu et de tant à la fois, l'éternel dilemme, me rends euphorique !
Après m'être connecté sur mes sites habituels et allumé une cigarette, je me laissais enfin envahir par l'excitante sensation de la promesse des échanges à venir, avec, au pire une agréable soirée virtuelle mais, avec néanmoins ce désir profond de rencontrer l'âme sœur de Michèle...
Comme d'habitude, il y eu de tout, du bref trivial jusqu'au long virtuel agréable jusqu'à ce beau et soutenu dialogue avec Marc, très tardif comme toujours dans ces cas là, mais qui sortait de l'ordinaire.
60 ans, bel homme séduisant, artiste un brun désespéré, sortant d'un terrible chagrin d'amour hétéro et en même temps, nostalgique d'une belle expérience avec un travesti Brésilien. 
De beaux échanges de qualité, sans illusion sur ses besoins d'homme en manque exprimés avec naturel et sincérité, très inquiet puis enfin rassuré sur la discrétion et la confidentialité, j'étais sous le charme de ce qu'il était et de ses mots, séduit, envie de le rencontrer et lui aussi.Et puis, il faut l'avouer, nous habitions à quinze minutes l'un de l'autre et il pouvait me recevoir discrètement, alors je n'hésitais pas.
Dans ma chambre, je ne quittais que ma nuisette, mon kimono et mes chaussures et enfilais mes vêtements d'homme sur ma lingerie. A 22 heure, je ne risquais pas grand chose en allant au village d'à coté !
Un passage rapide dans la salle-de-bains et j'étais dans la voiture puis vite déjà garé devant chez lui.La porte était ouverte sur une petite maison d'un village désert à cette heure, un accueil élégant  par un bel homme, grand et mince, grisonnant, brièvement entrevu car, comme entendu, il m'indiqua la chambre où me préparer afin de me voir le moins longtemps possible en homme.Pendant que je me déshabillais dans un très bel endroit meublé avec gout, un voile cocon au-dessus du lit, une lumière tamisée, des senteurs de fleurs, j'entendais une jolie musique en sourdine. J'étais très à l'aise et me revêtais sereinement des mêmes atouts que chez moi, puis dans la salle-de-bains contiguë, ma perruque et, pour une première, un  trait de gloss transparent, du parfum, bref, un soupçon de féminité !
Et effectivement, un échec ces nouvelles sandales, je suis vraiment penché en avant et ne suis pas à l'aise du tout, je dois me cambrer pour n'avoir qu'une démarche tout sauf naturelle et habituelle que j'ai sur des talons hauts.J'arrive quand même à atteindre le salon et me juche sur un haut tabouret, face à Marc.Il me mets à l'aise tout de suite en me disant qu'il me trouvait très féminine ou du moins, à son goût, mettant un bémol à nos inquiétudes respectives.Un verre de vin, puis deux puis plusieurs en fait, de longues discussions, une complicité grandissante, rare, un homme délicat, écorché vif, déchiré par un méchant amour déçu, une déchirante trahison, de grands manques et besoins sexuels à assouvir aussi, je n'avais donc pas d'illusions, je n'étais qu'un substitut... Et en même temps, le désir grandissait de part et d'autre, il était si sensible et attachant, la femme que j'étais fondait... 
Plus tard, il s'est levé, a contourné le bar et s'est approché de moi. Il m'embrassa alors à pleine bouche, je n'aimais pas, trop grande sa bouche et sa façon d'embrasser, mais je me laissais faire puis l'engageais insidieusement dans ma façon à moi, vers les baisers que j'aime, plus doux et j'apprivoisais progressivement sa bouche à être moins incisive et pulsionnelle, pas joué mais je me mettais à sa place et la mienne était aussi receveuse, alors...Ma main glissa sur son entrejambe et je sentis une virilité semi-tendue à travers son pantalon.Je déboutonnais alors sa chemise, découvrais progressivement sa poitrine, embrassais ses tétons, il aimait, le câlinais, l'engageais à glisser le bout de ses doigts sur la pointe de mes tétons à travers ma nuisette et mon soutien-gorge et à les caresser comme je le souhaitais et il le fit merveilleusement bien, il me les toucha conformément à mes indications avec une telle application qui m'excitât tant que je défis sa ceinture, agrippais les bords de son pantalon et le baissais pour découvrir enfin le gland circoncis de son sexe tendu débordant de son boxer gris. Sans attendre un instant, je m'agenouillais devant lui et mes mains firent glisser ce dernier sur ses hanches, libérant son membre dressé et luisant, grand, long, magnifique, et ma bouche s'en empara sans attendre, nous arrachant mutuellement un gémissement de plaisir, avides tous les deux de cette sensation merveilleuse si attendue de part et d'autre...Ma bouche ouverte coiffa son gland érigé de mes lèvres avides et ma langue le couvrit de douceur, découvrant les saveurs de sa muqueuse si délicate et si fragile, la laissant envahir mon palais de ses muscs puissants, de son parfum intime et naturel, personnel, que je laissais me remplir, me combler d'un plaisir tant attendu, Je l'engloutissais trop vite, jusqu'à la
nausée parfois, aidé impérieusement par ses mains sur moi, me gavant de lui, m'en remplissant  à n'en plus finir.
Au bout d'un long moment, les genoux à la peine, je me séparais de son sucre d'orge et lui demandais en le regardant d'en bas, s'il ne voulait pas que l'on aille dans un endroit plus confortable, son lit par exemple...Il fût immédiatement d'accord et je le retins doucement, pour finir de le déshabiller, agenouillé devant lui, lui enlever ses chaussures, chaussettes et pantalon, avant qu'il parte devant moi, nu et terriblement homme et attirant, sa belle queue dressée vers le ciel, vers sa chambre.Je l'engageais à s'allonger sur le dos et le repris tout de suite dans ma bouche, dégustant sa douce virilité à n'en plus finir, cela dura longtemps, Son plaisir était si intense, qu'à un moment, il en vint même à me retourner et à me prendre lui aussi brièvement dans sa bouche en 69, ce fût très agréable.Revenu sur le dos, nous nous sommes ré embrassés, nous caressant mutuellement les tétons jusqu'à ce qu'il m'invite à de la main à le reprendre dans ma bouche. Je l'ai alors incité à aller et venir en moi, à me baiser la bouche, d'abord lentement mais son désir grandissant, ses coups de bassin devenaient de plus en plus puissants et de moins en moins contrôlés, au point que parfois, je le retenais car c'était trop fort, même habitué des gorges profondes, j'avais la nausée.Il finit par jouir en moi, en criant, dans des longs spasmes de jouissance, son sperme chaud m'inondant la bouche, C'était bon, j'étais femme, accueillante, bien, pleinement remplie...Tandis qu'il s'abandonnait sur le dos, je le gardais dans ma bouche, le séchais, savourais jusqu'au bout notre plaisir commun.
Nous ne dîmes mots, il n'y en n'a pas dans ces situations, surtout pour une première fois, sinon le malaise, la culpabilité et le dégout peuvent gâcher le plaisir pris. Au bout d'un moment, Marc se redressa et quitta la chambre en disant qu'il allait prendre une douche...Me recouvrant de mon kimono, je rejoignais le salon, me juchais sur un tabouret et attendis tranquillement, un verre de vin à la main, qu'il sortit de la salle-de-bains.Ce qu'il fit logiquement au bout d'un moment, puis après un sourire silencieux, disparut quelques instants dans la chambre pour revenir habillé, remettre de la musique avec la télécommande, s'assoir en face de moi avec un verre de vin, trinquer et me dire que j'étais une femme en dehors du commun....Nous discutâmes encore longuement puis je rentrais chez moi. Nous échangeâmes notre premier SMS à 9 heure, raisonnable, non ? Et encore, en en parlant ensemble par la suite, nous avions mutuellement attendus, inquiets tous les deux de ne pas déranger l'autre, sans savoir ce qu'il en était...En fin de journée, nous en étions au moins à 30, de vrais ados...Heureusement, je rentrais tôt et pouvais prendre le temps de me préparer soigneusement.Un bain où je m'endormais presque, trop chaud mais dilatant, l'occasion d'employer ma collection de plugs ...Ensuite, un peu plus que d'habitude, pour la première fois, un fond de teint, à l'éponge, maladroitement, comme me l'avait expliquée la vendeuse, malicieusement souriante de chez Marionnaud, en partant du nez dans toutes les directions, pas évident, mais plutôt réussi au final.J'avais acheté aussi du mascara, mais je n'ai pas osé. Par contre, je remettais un peu de gloss transparent, très jolie brillance.
Je revêtais alors une nouvelle parure multicolore à dominante orange, rose et vert Lise Charmel achetée récemment, un très bel ensemble string/porte-jarretelles/soutien-gorge avec une nouvelle paire de bas noir à couture, et à pointes et talons renforcés, superbe. Dans mon sac, je prenais des sandales à talons aiguilles Infinie Passion orange clair, jamais portées et un ensemble nuisette et kimono vert acheté chez Lidl (Si ! Si !) il y a longtemps et lui aussi à inaugurer. 
En dix minutes, j'étais garé devant chez lui, trop agréable.
Je montais les quelques marches et au moment où j'allais frapper, la porte s'ouvrit, et Marc m'accueillit d'un sourire.
Le surprenant, je lui dis que j'allais me préparer tout de suite et, sans attendre, je me précipitais vers la chambre en lui enjoignant de nous préparer un verre. 
Je me déshabillais et complétais rapidement ma tenue. J'en profitais pour poser près du lit un sachet contenant des préservatifs et du lubrifiant. Quelques minutes dans la salle-de-bains suffirent à mettre ma perruque, me reparfumer et réappliquer un peu de gloss. 
Je le rejoignis dans le salon, me juchais sur un tabouret de bar et nous trinquâmes en devisant sur le moment passé ensemble la veille, son ressenti, mes envies clairement exprimées tout au long de la journée,ses dilemmes et ses réticences que je m'appliquais à tenter consciencieusement à vaincre.
J'étais et ressentais pleinement, je le crois, pour la première fois de ma vie, la position d'un homme essayant de séduire un autre homme, hétéro et réticent, afin qu'il me fasse l'amour comme à une femme. A la fois étrange, car nouvelle mais si excitante sensation. 
Nous discutâmes longtemps et j'usais de tout mon charme et de notre complicité cérébrale qui lui plaisait particulièrement pour le faire succomber. Beaucoup plus tard, aidé par les nombreux verres de vins partagés et conscient de sa libido exacerbée, je finis par me lever précautionneusement de mon tabouret, contourner le bar, m'approcher de lui, saisir son visage à deux mains et en lui murmurant des mots doux et rassurants, poser mes lèvres sur les siennes. Après quelques secondes de réticence, sa bouche s'ouvrit et nos langues se mêlèrent, nos bras s'enlacèrent, nos corps se collèrent et je fondis de féminité collé à lui.
Nous nous embrassâmes fougueusement, nos mains glissant sur nos corps, les siennes un peu vigoureuses, masculines, sur mes hanches et mes fesses, me plaquant virilement contre lui et me faisant ressentir, avec un plaisir immédiat son désir déjà présent. Nous vacillâmes un peu enlacés d'ivresse puis, me séparant de lui, je lui pris la main et d'un pas à la fois ferme et vacillant, l'entrainais vers sa chambre. 
Arrivée dans celle-ci, il me guida de la main qui me tenait sur le lit où je m'allongeais docilement pour le regarder allumer quelques bougies dispersées à l'aide d'un briquet préparé sciemment. La chambre se para d'éclairs tamisés et il vint se coucher sur le coté face à moi. Nous nous collâmes à nouveau l'un contre l'autre et nos bouches se joignirent. Le baiser fût long et fougueux, nos mains parcoururent  nos corps et les miennes l'engagèrent  à se mettre sur le dos et à s'abandonner à mes caresses. Tout en continuant à l'embrasser, je je défis les boutons de sa chemise, découvrant son torse, y glissant mes mains puis mes lèvres sur sa peau, ses tétons que j'excitais alternativement de mes doigts mouillés et de ma langue, sensible et ravi de son membre dur contre mon ventre et de ses mots. J'enlevais sa chemise, collé contre lui, l'aidant à la sortir de ses bras pour la jeter en dehors du lit. Mes doigts s'appliquèrent à défaire sa ceinture, déboutonner son pantalon et découvrir son sexe tendu dépasser de son slip. Ma langue en enveloppa son gland tendu sur son ventre d'une délicate et avide caresse, son bassin d'un coup tendu vers moi et ses mains se posant naturellement vers ma tête. 
"Oh, Michèle..."
Je fis glisser d'un mouvement continu slip et pantalon sur ses cuisses jusqu'à les enlever et les jeter loin  et revenir poser mes lèvres sur son sexe tendu et le relevant  avec deux doigts de son ventre, l'engloutir dans ma bouche avec un gémissement contemporain du sien et d'un nouveau:
"Oh, Michèle"
Qui me ravit d'excitation.
Je savourais sa douce et dure virilité dans ma bouche et m'en remplis longuement, alternant baisers et coups de langue sur son gland et longs engloutissements jusqu'en fond de gorge, m'emplissant de lui, de mes sensations amplifiées par les siennes exprimées, ne me lassant pas de son sexe chaud et dur allant et venant sur mes lèvres, mon palais, ma bouche, attentif à ses mots de satisfaction rythmés par ses mains sur ma nuque.
Plus tard, le sentant au bord de l'explosion, je le quittais et remontant vers lui, lui léchant le bas-ventre, le nombril, les tétons, je me collais contre lui et après l'avoir embrassé d'un baiser mêlé de nos langues et de nos salives, ses mains sur mes hanches puis mes fesses, je lui dis que j'avais envie de lui, qu'il vienne en moi et qu'il me fasse l'amour. 
Sans attendre sa réaction, ma main glissa le long du lit, saisit le sac préparé à l'avance, en sortit un le lubrifiant que je posais sur le lit et préservatif que j'ouvris d'un coup de dent. Marc s'était redressé sur un coude et me regardais faire sans mot dire. Saisissant sa queue dressée d'une main, je posais le préservatif sur son gland de l'autre et d'un geste sur, je le déroulais jusqu'à la base. Ouvrant du pouce le tube de lubrifiant, j'en recouvrais le condom d'une belle couche puis après l'avoir posée délicatement sur son ventre, je l'enjambais et m'accroupissais sur lui. Écartant alors la ficelle de mon string, je plaquais le tube contre ma chatte et en remplissais l'orifice du liquide frais. 
Après avoir posé le tube à proximité, je couchais mon corps sur Marc qui s'était abandonné sur le dos, posais mes lèvres sur les siennes puis contre son oreille  et l'engageais à prendre son sexe d'une main et le dresser contre ma chatte pendant que j'écartais mes fesses à deux mains et les posais d'un mouvement arrière du bassin sur sa queue dressée. Tout en frottant mon torse contre le sien, ma bouche dans son cou, je le guidais dans mes désirs.
"Doucement, ça va mettre du temps mais on a tout le temps, tu vas venir en moi doucement à mon rythme". 
Sentant son gland posé contre mon orifice, j'entamais un lent mouvement avant arrière de mes cuisses sur lui, pressant progressivement pour qu'il entre en moi.
Ce fut long, il fallut du temps, Marc était bien membré. Je me détendis, me relâchais, mes mains m'écartant au maximum, collé contre lui, nos sueurs mêlées, mes mots exprimant à son oreille mon ressenti et le guidant à ma convenance. Il était silencieux.
Son gland passa mon sphincter et je nous immobilisais de mes mains quittant mes fesses pour se plaquer contre lui, saisi de sa rentrée. Il ne bougea plus, figé sur mes dires.
Me redressant sur mes cuisses, je le fis sortir de moi avec un petit "plop" qui le surprit et sa queue se plaqua à nouveau sur son ventre avec un bruit mat. La saisissant d'une main et de l'autre le tube de lubrifiant, je la ré enduisis ainsi que ma caverne avide de lui. Reposant le tube à portée de mains, je saisis sa queue, la posais sur mon trou et la fit à nouveau entrer en moi en m'asseyant sur lui.
"Hummmm..."
Son gland rentra en moi facilement, cette fois ainsi que plusieurs centimètres de lui.
Me redressant, agenouillé sur lui, je lui dis que c'était bon, que je voulais qu'il me caresse les tétons comme je lui dirais, d'un mouvement doux et tournant, sous ma nuisette et mon soutien-gorge, du bout des doigts pendant qu'il allait me pénétrer totalement . 
Je guidais les doigts de Marc sur mes seins selon mes souhaits pendant que je m'asseyais progressivement sur lui, remontais puis redescendais et sentais son sexe dur me remplir progressivement, m'ouvrir, me dilater, m'envahir au rythme de mon bassin se posant sur lui par à-coups.
Quand mes fesses se posèrent sur ses cuisses, que je sentis ses couilles s'écraser contre mes fesses, je sus qu'il était totalement en moi et que j'étais complètement rempli de lui. Ce n'était ni douloureux, ni plaisant. C'était...
Me penchant en avant, je l'embrassais, lui dis que j'étais bien, comblé, rempli de lui, comme une femme et qu'il pouvait arrêter de s'occuper de mes seins, me prendre par les hanches et me baiser, comme il le voulait, par derrière si il le préférait.
Et il me dit alors, oui, si tu veux bien, je veux bien par derrière, et je l'ai bien compris car je le savais...
Me redressant alors et le faisant sortir de moi, un grand vide d'un coup, je l'ai enjambé et me suis mis à quatre pattes, en levrette, m'emparant des oreillers sous mon ventre pour m'installer confortablement, je me suis offert à son désir d'homme.
La tête posée sur le coté pour pouvoir le regarder, mes mains écartant mes fesses bien écartées, j'ai senti ses cuisses entre les miennes, se positionner contre moi, son sexe tendu de désir contre ma chatte ouverte et saisissant mes hanches à deux mains, me pénétrer d'un mouvement à la fois retenu mais continu tellement j'étais offerte et son bassin butter contre mes fesses, son sexe entrer entièrement en moi, jusqu'à la garde, ses couilles et son bassin contre mes fesse avec un grognement naturel.
"Hummm".
Son sexe au fond de moi d'un coup m'ouvrit d'une douleur insoupçonnée que j'exprimais par un cri. Marc se figea. 
"Ca va ? Je suis désolé? Excuse-moi, Michèle..."
Son attention me fit fondre et je reculais mon cul contre lui, amplifiant la douleur de sa pénétration totale.
"Caresse moi les seins, Marc...et continue"
Ses doigts se glissèrent aussitôt sous ma nuisette et mon soutien-gorge et me caressèrent les seins comme je lui demandais, c'était trop bon, j'en oubliais la souffrance pour n'être que plaisir. 
"Encore un peu, Marc, s'il te plait, et puis à toi de prendre ton plaisir...".
Gentiment, Marc me caressât les tétons puis à ma demande, empli d'excitation, je l'engageais  à profiter de moi égoïstement.
"Baise-moi, Marc, prends-moi, jouis de moi".
Saisissant alors mes hanches à deux mains, tout en me demandant si c'était bien, Marc s'est mis à me baiser en de longues pénétrations vigoureuses, son sexe allant et venant en moi, me remplissant par de grands aller-et-retours vigoureux, sa bite ressortant et re rentrant, glissant en moi librement comme dans un vagin, continuant parfois gentiment de m'interroger sur ma satisfaction entre deux coups de rein de plus en plus fort et de moins en moins contrôlés, son sexe m'empalant totalement, mes doigts me caressants les seins écrasés contre les oreillers, au rythme de ses coups de boutoir, jouissant de lui et de moi, totalement empli d'un plaisir si incommensurable, que je ne voulais pas qu'il s'interrompe...
Ses doigts crispés sur mes hanches, son bassin incrusté dans le mien, un grognement d'homme qui jouit, des spasmes itératifs contre mes fesses, sa libération, des ondes de plaisir, et un corps qui s'abat sur moi, m'écrasant, de tout son poids, s'abandonnant de tant de jouissance contenue et libérée, dans la femme que j'aime être, et qui n'est pas celle qu'il souhaitait, mais que j'aime être tant, moi, en moi...
Nous restâmes ainsi sans mots dire un long moment.
Je le sentis enfin prendre appui sur ses mains, se décoller de mon dos et son sexe encore dur sortir de moi. Quelle sensation de vide...
"Je vais prendre une douche..."
J'aurais tant aimé qu'il me dise, sans illusion aucune, "Reste-là...", mais ce ne fût pas le cas. Et pendant qu'il se douchait, je m'empressais de quitter mes habits de femme, de me rhabiller en homme et de rejoindre le salon avec mon sac.
Marc sortit de la salle de bains pour me trouver prêt à partir. 
"A bientôt ?".
Par michel
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