Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 18:30

Je me réveillais vers 9h. Je ne savais pas si Michel et Claudine souhaitaient que je reste encore avec eux. De mon côté, je voulais profiter pleinement de cette dernière journée en femme avec eux, si cela leur convenait. Dans la salle de bains, après m'être lavé et rasé, je remis le gros plug, qui, cette fois-ci, rentra beaucoup plus facilement. puis, la perruque, les bijoux, du rouge à lèvres que j'avais emprunté discrètement à Claudine hier. Je me regardais dans la glace et me trouvais très attirant ainsi, même nu et pas maquillé. Presque épilé, du vernis sur mes ongles, ma silhouette mince,...De retour dans la chambre, je déballais donc ma panoplie rose. Je ne l'avais jamais mise et je voulais l'inaugurer ici. Jolie guêpière et string assorti, bas à larges revers de dentelle, mules avec juste trois lanières croisées sur le dessus, à talons moyens de 10 cm, nuisette courte en nylon et dentelle et kimono. Tout en roses variés !
Comme hier, il faisait très beau et il n'y avait personne dans le salon. Je préparais le café puis le petit-déjeuner et m'installais sur le canapé en lisant une revue. Je me sentais bien.
C'est Michel qui arriva le premier, en short et tee-shirt, mais rasé et sentant bon le parfum frais. Il s'approcha, me complimenta sur ma tenue, se pencha et m'embrassa d'un baiser léger avant d'aller se servir un café. Je lui fis part de mes interrogations quant à la durée de mon séjour chez eux. En effet, je ne voulais pas m'imposer.
Michel me dit alors en souriant que ma présence leur était très agréable et que, si je le souhaitais, je pouvais rester jusqu'à ce soir. J'étais ravi.
Claudine arriva quelques instants après avec la même nuisette blanche et les mêmes mules qu'hier matin, les yeux cernés, ni coiffée, ni maquillée et un joli sourire s'afficha en me voyant: "Bonjour Michel, tu es ravissante en rose ! Bonne nuit ? " Et elle m'embrassa elle aussi d'un rapide baiser.
Quel couple charmant. Quel week-end tant rêvé, déjà réalisé et pas terminé !
Claudine mit tout ce que j'avais préparé sur un plateau et l'emmena dehors sur la terrasse. Il faisait un soleil magnifique et devant mes doutes, elle m'engagea à les suivre: "Personne ne peut rien voir"
Je pris ainsi le petit déjeuner dehors, en plein air, en femme et tout de rose vêtu, naturellement et simplement.
Claudine était partie nous chercher du café quand le téléphone sonna. Quelques instants plus tard, elle revint en annonçant que Jean passerait prendre l'apéritif. Elle dit en me souriant d'un petit air complice qu'Anne-Marie, toujours pas remise, se reposait et l'autorisait à profiter de ce qu'il avait raté hier soir. J'eus un bref frisson de bien-être et à peine le temps de me dire que ce dimanche allait encore me réserver des surprises que Claudine me prit par la main et m'entraîna dans la maison en me chuchotant à l'oreille ce qu'elle n'avait osé m'avouer la veille:" Jean était très bien membré. Il faut te préparer si tu veux en profiter sinon...". Je lui répondis que j'avais mis le gros plug. Elle m'avoua alors qu'il faisait plus de 20 centimètres.
Dans sa salle de bain, elle me laissa me remaquiller seul, corrigeant simplement quelques détails. J'avais vite compris, j'adorais ça. Elle m'engagea ensuite à venir dans sa chambre et fut très directive: "A mon avis, il n'est pas loin, voire devant la maison, il appelait de son portable. Allonge toi et écarte les jambes". Quand elle se retourna vers moi, elle tenait le gode noir en main. Je fermais les yeux et respirais profondément pour me détendre. Elle me demanda de soulever mes fesses afin d'y glisser une serviette  et j'eus à peine le temps de sentir sa main écarter mon string et enlever le plug, "On va y aller doucement...". Je me détendis au maximum, me relâchant complètement, gonflant mon ventre pour pousser au lieu de me contracter mais quand elle voulut introduire le gode, il ne voulut pas rentrer. Instinctivement, je me contractais et il fallut un long moment et les douces paroles et caresses de Claudine pour que centimètre par centimètre, il franchisse mon sphincter et me remplisse complètement. J'avais mal, la douleur prenait le pas sur le plaisir et j'avais le ventre brûlant de chaleur. Il fallut un temps infini pour que je l'accepte enfin et qu'elle puisse aller et venir en moi librement. Malgré la souffrance, je savourais la sensualité de Claudine qui me parlait doucement, m'embrassait, prenait mon sexe au repos dans sa bouche tout en me pénétrant avec ce gode énorme. Quand elle le retira de moi, j'eus l'impression d'un grand vide...et pour cause !
Je me réajustais, vérifiais mon maquillage car j'avais eu quelques sueurs et nous revîmes dans le salon où je discutais de tout et de rien avec Michel pendant que Claudine se préparait. Elle revint plutôt sagement vêtue d'une robe bleue et de sandales à talons moyens et discrètement maquillée. Rien à voir avec ses tenues précédentes !
Quelques minutes après, Jean arrivait. Grand et bel homme de la soixantaine, les cheveux gris et les yeux clairs en chemise brodée et pantalon de toile. Claudine nous présenta et il me serra pudiquement la main.
"Enchanté. Vous êtes très jolie, toute de rose couverte". Je le remerciais et l'engageais à me tutoyer.
Claudine nous servit l'apéritif sur la terrasse et après m'être assis à côté de lui, je croisais les jambes très haut afin d'entrouvrir mon kimono. C'était probablement une des premières fois où je me sentais aussi sûr de mes atouts. D'un autre côté, ce n'était pas très difficile. Le regard de Jean avait du mal à quitter mes jambes gainées de nylon rose prolongées par mes mules.
Jean me posa poliment des questions sur moi et ma vie. Mais rapidement, Claudine se mit à parler de moi en orientant la conversation: " Depuis qu'elle est ici, Michèle s'est comportée comme la VRAIE femme qu'elle souhaitait être. Nous avons passé un week-end très agréable, n'est-ce pas, Michel ?". Ce dernier confirma les dires de Claudine en  me regardant avec un sourire. J'étais gêné et flatté à la fois. Claudine continua: "Et elle aime réellement être femme sexuellement. Elle adore, par exemple qu'on lui caresse les seins, n'est ce pas chérie ?". J'ai du rougir sous mon maquillage.

Quand la main droite de Jean s'est posée sur ma cuisse, j'ai frémis puis j'ai écarté les jambes, dévoilant les jarretelles et  le revers brodé de mes bas  sous ma nuisette qui se soulevait. Jean s'est mis à me caresser, sa main glissait sur ma lingerie et ma peau nue au-dessus des bas. Je me levais, m'assis à califourchon sur lui et l'embrassais aussitôt. Ma langue fouilla sa bouche et la sienne me répondit. Je glissais mes mains sous son polo et mes doigts se mire à lui exciter les pointes de seins. Je sentis son bassin venir vers moi et son érection naissante. J'entendis Claudine nous inviter à rentrer car nous serions plus confortables. Je me dégageais de Jean, lui pris la main et l'entrainais vers le salon pour l'assoir sur le canapé. Je me remis à califourchon sur lui et nous reprîmes notre baiser profond. Je m'interrompis pour lui enlever son polo et pouvoir caresser son torse et  jouer avec ses tétons. Je sentais son sexe, énorme effectivement, durcir contre mon ventre. Quand il voulut me caresser les seins au travers de ma nuisette, je l'engageais à me l'enlever, ainsi que mon kimono. Ce qu'il fit instantanément avant de poser ses doigts sur mes seins qui dépassaient de ma guêpière et de me les toucher suivant mes indications. Il était fébrile et doux à la fois. Mon sexe se dressa et sortit de mon string. Je me relevais et lui demanda d'enlever son pantalon. Jean se mit nu. Il était totalement épilé et son sexe dressé était impressionnant, gigantesque en pleine érection. Je n'en n'avais jamais vu de si grand. Claudine avait raison...

J'asseyais de nouveau Jean sur le canapé et en me mettant à genoux, je m'approchais de son superbe sexe. Il était circoncis et exhalait une douce odeur de savon frais. Je posais ma bouche sur ce gland majestueux et le léchais à petits coups de langue avant de l'enrober complètement de mes lèvres. Je me régalais de cet ovale délicatement ourlé et doux, qui reposait contre mon palais. Je le tétais, l'aspirais, savourais cette immense crête palpitante. Ma main l'empauma et commença un lent et délicat va-et-vient pendant que j'ouvrais la bouche en grand pour l'avaler jusqu'au fond de ma gorge et remonter doucement, n'ayant pu n'en faire rentrer qu'une petite partie. Alors, je le ré-avalais encore et encore, me remplissais la bouche de cette virilité majestueuse. Il m'encourageait, disait que c'était bon, que je semblais aimer faire ça encore plus qu'une femme et ses mots m'excitaient. J'avais perdu la notion du temps, j'avais fermé les yeux et ne cessais de monter et de descendre sur son cierge chaud et dur, m'emplissant de ses saveurs, l'enroulant de mes paumes et du bout de mes doigts, l'offrant à mes lèvres comme une douceur savoureuse.
Je sursautais presque quand Claudine me toucha et me chuchota à l'oreille que j'avais l'air d'aimer ça...et que le spectacle ainsi que la vue de mes fesses  entourées de rose excitait beaucoup Michel et qu'il voudrait bien venir en moi.
Sans lâcher le sexe de Jean, j’acquiesçais en regardant Claudine. Au même moment, je pensais que depuis Thierry et Manuel, je n'avais pas réalisé ce qu'au fond de moi je souhaitais parfois dans mes fantasmes les plus profonds, être pris par deux hommes en même temps. Et de nouveau, j'allais vivre cela.  Je me mis alors alors bien à quatre pattes et très vite une main écarta mon string puis je sentis le gland de Michel  effleurer mon sillon sur toute sa hauteur. Lâchant Jean sans le quitter de la bouche, j'écartais mes fesses à deux mains pour bien m'ouvrir. Répondant à mon invitation, je le sentis pousser doucement et son gland passa facilement mon sphincter. En effet, j'étais bien offert tant j'en avais envie. Je l'ai senti s'arrêter, attentif à mes sensations, alors d'un petit mouvement du bassin, je l'engageais à continuer. Il entra ainsi en moi lentement mais d'une poussée continue car  et nous étions bien lubrifiés tous les deux. Ses mains se posèrent sur mes hanches pour plaquer son bassin contre mes fesses et entrer complètement en moi puis ressortir doucement et revenir encore et encore. Je me suis senti rempli et comblé par ces deux hommes en même temps. Les yeux fermés, je m'abandonnais complètement à leurs désirs, poussant mes fesses vers Michel à l'aller et avalant Jean au retour. Cela dura longtemps, je n'étais plus qu'un corps d'homme et de femme en même temps, envahi par ces deux sexes brûlants, mon esprit perdait  pied, je m'abandonnais dans un doux balancement de mon corps à leur rythme. Oui, j'avais aussi la bouche sèche à force de glisser sur  le sexe de Jean et le ventre en feu des allers et retours de Michel, mais j'étais bien et le savourais pleinement.  Plus tard, je ne sais plus, j'ai senti Claudine se glisser près de moi  et me caresser les fesses, les seins ou mon sexe mou. Elle  me murmura à l'oreille des mots à la fois doux et excitants, que j'étais comme une femme, comme je le désirais, que c'était très excitant pour elle de me regarder profiter de ces deux hommes dont le sien, qu'elle voyait qu'ils allaient bientôt jouir de moi. Jean s'emballait, son bassin se décollait du canapé vers moi, essayant de rentrer de plus en plus vite dans ma bouche et je le retenais en relevant la tête pour ne pas étouffer. Il me disait que ça venait, qu'il allait venir, que ma bouche était douce, que le plaisir montait. Soudain, son gland se figea loin sur mon palais pendant quelques secondes puis se contracta encore et encore et je sentis sa douce liqueur m'inonder en de longs jets puissants, bouche trop petite pour contenir tant de sa jouissance que je ne voulais pas avaler, alors je la recrachais et revenais le prendre pour le garder jusqu'au bout, ses spasmes me secouant  au gré de notre plaisir commun. Je ne le quittais que plus tard, reposé, apaisé et détendu, ses mains caressant doucement mes cheveux. Il avait dit des mots de plaisir et de jouissance, de notre bien-être commun, c'était bon à entendre.
Attentif, Michel ne s'était pas arrêté de venir en moi mais avais ralenti et je l'engageais d'un regard et du bassin à continuer. Cela ne dura pas longtemps, il devait être près du plaisir car au bout de quelques allers et retours, il resta figé en moi et j'ai senti dans mon ventre ses spasmes libérateurs en même temps qu'un simple "c'est bon" qui renforça ma satisfaction.
Quelques instants après, il sortit de moi puis quitta la pièce quelques minutes avant de revenir habillé. Entre temps, je m'étais douloureusement relevé, ankylosé de cette position longtemps maintenue. J'avais mal aux cuisses, aux bras, à la mâchoire et au ventre et je n'imaginais même pas l'état de mon maquillage. Néanmoins, debout devant ces deux hommes, l'un habillé et l'autre en train de le faire et de Claudine, juste en guêpière, bas, string et mules, j'étais bien, détendu, aucunement gêné, satisfait et fier de leur plaisir. Je remis juste mon kimono pour me couvrir. Jean s'approcha de moi et avec un grand sourire, me remercia de ce moment très agréable qu'il aurait bien voulu prolonger mais sa moitié l'attendait et n'était encore pas très vaillante. Nous le raccompagnâmes tous ensemble à sa voiture.
De retour, Claudine nous annonça qu'elle allait préparer le déjeuner.

Par michel
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

j'attends la suite avec impatience...
commentaire n° :1 posté par : Jacques le: 24/09/2012 à 18h40

Présentation

Commentaires Récents

Sandale

  • CT EE 2
  • ESE 8
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés