Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 12:08



Enfin une soirée de libre au dernier moment ! Sans avoir pu me préparer en dehors d'un lavement et de la mise en place (douloureuse) du petit plug, j’ai emmené quelques « affaires » et je me suis rendu chez Bernard. Ce dernier avait mon âge, était célibataire et adorait porter de la lingerie. Nous avions échangé de longs mails puis des photos et convenus de passer un moment ensemble dès que je serais disponible. Ce moment était arrivé…
Bernard m’a accueilli en nuisette noire. En dessous, je devinais une guêpière, des bas et un string, le tout noirs. Il était chaussé de sandales grises à talons hauts. Je le savais (quelle chance… !) épilé.
Naturellement, nous nous sommes embrassés sur les joues…il faut faire durer le plaisir ! Comme toujours, il n’y a pas eu de gène lors du premier contact car nous savions tous les deux où nous allions…
A peine entré, il m’a indiqué la salle de bain car je l’avais prévenu que je devais me préparer longuement. Après avoir pris une douche et m’être bien nettoyé et avoir remis le plug, j’ai enfilé des bas noirs à couture, un porte-jarretelles rouge, un ensemble string et soutien-gorge noir et rouge, une chemise de nuit noire et des sandales rouges. J’adore ce moment de préparation où le cœur bat vite et le corps est parcouru d’un frisson de fébrilité…
Bernard m’a regardé et complimenté sur ma tenue. Il m’a tendu un verre de vin et nous avons devisé tranquillement installé dans son salon. Nous savourions de partager ce moment passé en tenue féminine, à nous voir évoluer comme nous l’aimions. Célibataire, il pouvait en profiter tous les jours, le chanceux…
Rapidement, nos propos ont provoqué notre excitation et il est venu s’asseoir à coté de moi sur le canapé, nos jambes gainées de nylon entrant en contact, nos mains se croisant sur nos cuisses respectives. Puis tournant la tête, nos lèvres se sont touchées et nous avons échangé un interminable baiser, nos langues dansant dans la bouche de l’autre une douce sarabande. Nos bras ont emprisonné l’autre et nous sommes restés longuement ainsi à profiter de cette féminité partagée.
Puis, doucement, nos mains ont glissé sur le nylon et la dentelle, sur nos peaux frémissantes, sentant des seins et des membres tendus et avides. Il a délicatement fait glisser les bretelles de ma nuisette sur mes épaules, la réduisant à un petit tas sur le sol  et j’ai vu son regard profiter de ma lingerie et de ma virilité prometteuse qui dépassait de mon string. Nous nous sommes de nouveau longuement embrassés, pendant que ses doigts s’emparaient de mes pointes de seins. Instantanément, le plaisir m’a inondé la poitrine et embrasé le ventre. Tout en continuant à me caresser doucement les seins du bout des doigts, guidé par ma demande, il s’est agenouillé et j’ai fermé les yeux, tout à la douceur de sa langue et de ses lèvres engloutissant mon membre tendu. Je n’étais que plaisir, les jambes écartées et détendues, sa bouche glissant sur moi interminablement, une de ses mains quittant parfois un sein pour caresser ma fleur offerte. Bernard aimait prodiguer cette caresse et je voyais dans ses yeux sa satisfaction de savourer la saveur de mon membre qu’il léchait, aspirait, engloutissait, enduisait de salive avant de le reprendre interminablement.
Au bord de l’explosion, je le repoussais et lui demandais de m’emmener dans sa chambre. Je voulais à mon tour lui donner autant…et plus encore.
« Allonges-toi sur le dos et laisse-toi emmener » lui dis-je alors. Fenêtres fermées, la pénombre était propice à nos jouissances futures. J’adorais être là avec cet homme offert, en lingerie et talons hauts, pour notre plaisir commun.
Me couchant sur lui, nous nous sommes embrassés fougueusement. Je sentais sa virilité dure contre la mienne, sous sa nuisette. Je la voulais dans ma main, ma bouche, dans tout mon corps. M’écartant de lui, je lui ai enlevé sa nuisette, découvrant une guêpière noire et un string noir et rose d’où jaillissait son beau membre palpitant sur lequel j’ai posé mes lèvres avant de m’en emparer avidement jusqu’à la garde. Il est chaud, gorgé de sang et palpitant, la peau en est douce. Je le sens frémissant, presque animé d’une vie intérieure. Je m’attarde sur son gland décalotté, je titille son frein avant de l’emboucher entièrement et faire des va et vient sur toute sa longueur. N’en pouvant plus il me prend alors la tête à pleines mains et m’impose son rythme, l’amplitude qu’il désire. Il se branle dans ma bouche, je le laisse conduire. Longuement, je l’ai savouré, le faisant interminablement coulisser sur mes lèvres et sur mon palais, le ressortant pour mieux le reprendre. Les mains de Bernard allaient de ma tête à mes seins et son bassin se tendait vers ma bouche.
Sachant qu’il souhaitait découvrir le plaisir ultime, je me suis détaché de lui et je suis allé  chercher serviette, lubrifiant, préservatif et mon plug. Je vibrais de bien-être de déambuler dans son salon obscur, uniquement éclairé par la lune, en lingerie et perché sur mes talons hauts, le sexe dressé, mi-homme, mi-femme…
De retour dans la chambre, j’ai glissé la serviette sous les reins de Bernard et l’ai naturellement repris dans ma bouche quand il a soulevé le bassin. Puis, ma bouche est descendue le long de sa hampe tumescente pour s’emparer de ses boules lisses et enfin atteindre sa fleur que j’ai découverte avec ma langue. Bernard a replié ses jambes sur sa poitrine pour mieux s’offrir et j’ai longuement joué des lèvres sur sa caverne secrète. Je l’ai senti frissonner quand mon doigt lubrifié et frais l’a doucement massé avant de l’entrouvrir. Longuement, avec une infinie délicatesse, je l’ai préparé avec mes doigts continuellement re-lubrifiés, alternant des baisers sur sa bouche, ses seins et son membre que je continuais de happer. Beaucoup plus tard, quand trois de mes doigts jouèrent librement en lui, j'ai facilement introduit mon plug et m'en suis servi comme un gode, allant et venant doucement jusqu'à ce qu'il l'apprécie.
Quand il m’a dit « viens », j’ai introduit doucement mon membre sur sa fleur entrouverte et j’ai eu à peine besoin de pousser que j’étais en lui. Quand ses mains ont saisi ses propres fesses pour mieux s’ouvrir et qu’il m’a encouragé, je me suis laissé lentement tomber sur son corps, m’empalant jusqu’au pubis. Il a poussé un petit cri et je suis alors resté immobile, au plus profond de son ventre. Je l’ai longuement embrassé puis quand je l’ai senti enfin bouger, j’ai commencé à aller et venir lentement au début puis au rythme de ses gémissements et de ses propos : « Doucement, ça fait mal " puis plus tard "ça devient bon, c'est chaud, continue".
Quand ses doigts se sont posé sur mes seins, j’ai presque perdu la tête et saisissant son membre d’une main pour le caresser, l’autre agrippée à sa hanche, je suis allé et venu sans retenue dans son ventre offert, sortant parfois presque totalement pour mieux me ré-enfoncer en lui.
Le plaisir montait, montait dans nos deux corps et miraculeusement, pour la première fois, quand les spasmes aigus du plaisir m’ont envahi, j’ai senti simultanément les contractions de jouissance de Bernard dans ma main. C’était si bon de sentir ses boules se crisper pour libérer sa semence, ses fessiers me serrer mon membre en feu. Puis c’est la libération. Il lance un premier jet, puis aussitôt après une nouvelle crispation un second, puis un troisième. A peine quelques secondes après, je jouis intensément, formidablement, en de longs spasmes qui me vident au plus profond de son ventre. Quel enchantement que ce bref instant de bonheur partagé au même moment !
    Epuisé, je me suis abattu sur lui mêlant sa semence à nos lingeries humides de nos sueurs mélangées. Longtemps nous sommes restés ainsi, l’un sur l’autre, l’un dans l’autre…
    Plus tard, pendant que je me douchais, Bernard est rentré dans la cabine et a commencé à me savonner le dos puis les fesses. Me retournant, j’ai moi aussi enduit son corps de savon, ses épaules, ses bras, sa poitrine lisse,…Notre lavage mutuel a rapidement fait renaître notre désir. Me retournant, j’ai saisi sa main et l’ai dirigée vers ma caverne, qu’il a doucement massée avant de s’y engouffrer facilement, l’excitation et le gel douche aidant…
Quand son autre main s’est emparée de mon sein, j’ai frissonné de plaisir et instinctivement reculé les fesses vers ses doigts qui me fouillaient délicieusement le ventre. J’étais bien, humide, couvert de gel douche, me laissant aller au plaisir de sa douce exploration. Progressivement, il m’a ouvert, dilaté au point de rentrer presque trois ou quatre doigts, je ne sais plus…
    Quand je me suis senti prêt, je me suis séparé de lui et nous nous sommes rincés sans plus nous toucher. Nos membres étaient tendus d’excitation. « Habillons-nous à nouveau » lui ai-je dit. Pendant qu’il partait dans la chambre, après m’être appliqué une noisette de lubrifiant, j’ai enfilé ma tenue blanche : bas, guêpière, string, sandales et peignoir.
    Bernard était dans la chambre, en bas auto-fixants noirs, string et nuisette avec des mules elles aussi noires. Nous nous sommes à nouveau longuement embrassés, caressés, déshabillés. Plus tard, j’ai fait glisser un préservatif sur sa tige fièrement dressée et l’ai lubrifiée délicatement.
    Saisissant un oreiller pour y poser ma tête et mes coudes de part et d’autre, je me suis agenouillé offrant ma croupe à sa venue. Quand j’ai senti simultanément ses mains sur mes hanches et son membre contre ma fleur, j’ai reculé d’un coup mes fesses et j’ai cru défaillir de douleur et de plaisir mélangé quand il m’a ouvert jusqu’à la garde, ses boules plaquées contre mes fesses. A ma demande, il n’a plus bougé pendant quelques minutes, ses mains courraient sur mes seins, mon dos, ma tige à demi dégonflée.
Immobile, je savourais sa vitalité qui me remplissait, me comblait, me faisait me sentir femme pénétrée par un homme. Plus tard, il a commencé à coulisser inlassablement dans mon trou qui me brûlait, entrant et sortant, allant et venant, jouant de mon orifice dilaté et accueillant. Ma tête dodelinait au rythme de son bassin, j’étais en feu, mon sexe dégonflé par cette chaleur envahissante. Je perdais la notion du temps, j’étais ailleurs, me laissant ballotter comme un bateau ivre …
Puis, j’ai senti Bernard accélérer, sa respiration était de plus en plus saccadée et il gémissait de plus en plus fort. Pourtant, au moment où je croyais qu’il allait jouir, il a ralenti son rythme. Et j’ai eu alors cette merveilleuse sensation d’une de ses mains s’emparant de ma tige pour la caresser doucement et l’autre sur mon sein. Il voulait que je prenne mon plaisir aussi. C’était merveilleux, son membre glissait en un long mouvement continu assorti à sa masturbation entre deux doigts, son autre main roulait la pointe de mon sein. Je n’étais que jouissance. J’ai crié quand mon membre s’est contracté sous ses doigts, envahi par de longs spasmes libérateurs de ma semence, ma fleur se resserrant sur sa tige à demi sortie. Je me suis affalé, étourdis, délivré, épuisé,…J’ai à peine senti, comme dans un brouillard, les vrais coups de butoir dont il me gratifiait jusqu’à son plaisir, planté au plus profond de moi, les mains crispées sur mes hanches à me faire presque mal, dans un cri immodéré.
Puis il s’est écroulé sur moi et nous sommes restés longtemps ainsi… jusqu’à que je le perde, sans doute, car épuisé et couvert par le corps, je me suis endormi immédiatement.
Ce n’est que plus tard, qu’après une nouvelle douche, quelques verres d’eau et la promesse de renouveler cette belle expérience que nous sommes quittés.

   




Par michel
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Commentaires

c'est tout simplement délicieux...
commentaire n° :1 posté par : orphe le: 30/10/2007 à 16h40
Je suis sous le charme
commentaire n° :2 posté par : popieul jean pierre le: 16/11/2007 à 23h13
envie de vous rencontrer.
commentaire n° :3 posté par : popieul jean pierre le: 18/11/2007 à 23h07

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