Mardi 5 février 2 05 /02 /Fév 17:54


Après de longues conversations sur un chat du 3ème sexe, nous avons convenu d'un rendez-vous à l’hôtel en après-midi. François a 40 ans, marié et bi depuis très longtemps.    Nous nous sommes découverts devant l’hôtel, sans aucune gène… C’est étonnant, au fur et à mesures de mes rencontres, je suis de moins en moins gêné et fébrile, excité…oui ! Arrivés dans la chambre, après avoir tamisé les lumières, j’ai déballé sur le lit de multiples parures  afin qu’il choisisse ce qui lui plaisait le plus. Pendant ce temps, j’ai pris une douche et me suis habillé avec la nouvelle tenue verte achetée sur e-bay : guêpière et string verts, bas noirs, nuisette et déshabillé vert, nouvelles sandales à talons hauts noires avec des bijoux sur les lanières…
    Quand je suis sorti, il était allongé sur le lit, en tee-shirt et boxer,  à contempler toute cette lingerie étalée, un peu perdu, ne sachant que choisir et surtout comment les mettre…Il était touchant ! Je lui ai proposé de l'habiller, ce qu'il a accepté immédiatement. Je trouvais cette situation très excitante... Je l'ai alors fait asseoir au bord et me suis agenouillé devant lui, saisissant ses pieds pour y glisser des bas noirs que j'ai déroulés délicatement jusqu'en haut de ses cuisses, au ras du boxer gris. Puis, lui demandant de lever les fesses, j'ai doucement fait descendre ce qui couvrait l'objet de ma convoitise, découvrant sa crête déjà fièrement tendue, pas très longue mais d'une largeur impressionnante à sa base. Mon visage était à quelque centimètres de cette promesse, j'en humais les fortes effluves et je me suis fait violence pour ne pas m'en emparer derechef, j'en avais tellement envie...J'ai alors entouré sa taille d'un porte-jarretelles rouge que j'ai crocheté dans son dos, m'obligeant à me coller contre son ventre, puis j'ai fixé les bas aux longues et fines attaches rouge. Après lui avoir enfilé des sandales rouges à brides et à talons hauts de 10 cm, je lui ai laissé mettre un string noir et rouge et un bustier de dentelles, lui aussi noir et rouge.
    -Ca te plaît ?
-Oui, c'est joli et doux...
    M'allongeant de façon lascive sur le lit, je lui ai demandé de marcher dans la chambre. C'était amusant (et excitant...) de le voir évoluer autour du lit, portant ma lingerie, son sexe tendu débordant du string... François n'a pas tenu bien longtemps, avant de s'allonger sur le lit et de se coller immédiatement contre moi, ses bras m'enserrant le cou, nos jambes gainées de nylon se mêlant dans un crissement électrique.
    Instantanément, nos lèvres se joignirent et nos langues se mélangèrent dans une tendre sarabande. Quel bonheur de sentir ce corps plaqué contre le mien, des cheveux aux pieds, nos sexes durs se frottant l'un contre l'autre à travers les couches de lingerie superposée, nos mains découvrant la chaleur de nos peaux.
    Le souffle court, entre deux baisers, je lui demandais de me déshabiller et de me caresser les seins, comme je l'aime, en tournant doucement avec le bout des doigts. Sans que nos langues se séparent, j'ai laissé ses mains défaire le noeud de ma ceinture puis faire glisser le déshabillé vert sur mes épaules. Le doux contact de ses mains faisant passer les bretelles de ma nuisette sur mes bras dénudés me fit frémir. Enfin, je me rallongeais, détendu, en guêpière et bas, mon sexe luisant débordant du string, offert au plaisir à prendre et à donner...
    Quand ses doigts atteignirent la pointe de mes seins et commencèrent à les caresser, j'ai gémis de plaisir, ma bouche écrasant la sienne, ma langue avalant la sienne, mes mains pétrissant son dos, ses fesses dures et musclées. N'en pouvant plus, je l'ai doucement repoussé de mes deux mains plaquées sur son torse pour le mettre sur le coté puis sur le dos. Je l'embrassais alors dans le cou puis ma langue s'empara de ses pointes de seins tendues que je libérais de son bustier. Interminablement, je les enduisais de salive, les faisais rouler sous ma langue, les aspirais de mes lèvres avides puis prolongeais cette caresse par mes doigts pendant que ma langue descendait explorer son ventre, son nombril puis enfin, sa crête de chair luisante de son liquide, palpitante de son excitation, tellement tendue qu'elle ne touchait même pas la dentelle rouge du porte-jarretelles.
    Je m'enivrais de l'odeur forte et musquée qui s'en dégageait avant d'en découvrir la saveur par des petits coups de langues sur son gland turgescent mais si doux. Quand ma bouche entrouverte le prit entre mes lèvres pour en apprécier le relief délicatement ourlé, quand ma langue glissa sur sa pente douce pour en apprécier la saveur, le coup de bassin que donna François fit glisser toute sa colonne d'un mouvement continu tout au fond de ma gorge accueillante et avide de lui. Son « Oh ! Oui... » accompagné de la crispation de ses doigts sur mes seins témoigna de son plaisir.
    Longuement, au rythme des mouvements de son bassin et de ses grognements de plaisir, j'ai profité de sa saveur chaude et dure, la laissant palpiter sur mes lèvres, mon palais, la laissant ressortir complètement pour mieux la reprendre, retenant parfois un réflexe nauséeux quand après un virulent coup de bassin, il rentrait presque tout entier en moi et m’étouffait…
    Subitement, il se dégagea de ma bouche et m’allongeant presque brutalement sur le coté, je le vis plonger vers mon trésor qu’il engloutit d’un coup et suça  vigoureusement à grands coups de tête et de mains coordonnées…Nous étions tête-bêche et je le repris instantanément moi aussi de mes lèvres et de ma langue. Confortablement installés sur le coté, nous nous sommes longuement avalés mutuellement dans un abandon délicieux…
    A un moment, je l’ai senti distrait et s’écarter un peu de moi, et c’est quand j’ai senti la fraîcheur de son doigt lubrifié sur ma fleur que j’ai compris…Ouiiii…J’ai cru défaillir…Lentement, j’ai savouré son massage autour de mon orifice encore fermé mais qui ne demandait secrètement que sa venue puis s’ouvrir de lui-même à  ce doigt qui rentra centimètre par centimètre en moi, m’explorant délicatement, me procurant de nouvelles sensations de bien-être. Je me détendais complètement, ouvrant mon ventre à sa caresse qui se précisait, sentant bientôt plusieurs de ses doigts bien lubrifiés aller et venir pour bien me préparer. J’aime ce moment quand il est emprunt de douceur, cette chaleur mêlée de douleur, malgré tout, mais si prometteuse…Je me sentais durcir près de sa bouche et, bien que concentré sur ma fleur, il continuait de me donner des coups de langues et de lèvres sur ma virilité, elle aussi en feu.
    Au bout d’un long moment, je me suis dégagé de son étreinte, me suis retourné puis le saisissant par la main, je l’ai fait s’asseoir au bord du lit. J’ai délicatement déroulé le condom sur cette belle verge toujours aussi tendue et après l’avoir bien enduite de gel, j’ai chevauché François de face en écartant mes fesses à deux mains. Nos lingeries et nos peaux étaient humides de nos transpirations et nos souffles courts quand nos lèvres se sont jointes. Son gland s’est doucement posé sur ma fleur et j’ai juste eu à plier un peu les jambes pour le faire entrer en moi. Ecartant au maximum les fesses avec mes mains, je me suis lentement laissé glisser sur ce mat qui, malgré sa préparation, m’éventrait comme un pieu brûlant. Pour la première fois, la douleur prenait le pas sur le plaisir…Je me suis figé à mi-course, le souffle coupé, le ventre en feu. Je l’ai dit à François et lui ai alors demandé de m’embrasser, de me caresser les seins et d’être patient…Il m’a fallu de longues minutes, plusieurs fois je l’ai ressorti de moi, l’ai re-lubrifié, l’ai repris…Enfin, je l’ai senti entièrement en moi, mes fesses posées sur ses cuisses et je me suis enfin abandonné contre lui, épuisé. Il m’a fallu toute sa douceur, sa langue et ses doigts sur mes seins, des mots crus et doux dans l’oreille pour retrouver mon érection qui avait disparu. Alors, j’ai commencé à me soulever puis me laisser glisser sur son membre qui me remplissait d’une chaleur intense à chaque mouvement, mes mains saisissant à nouveau mes fesses pour mieux m’ouvrir. Bientôt, je ne fus que plaisir de mon ventre en feu et rempli, de mes seins et de mon sexe tendus  sous les doigts de François qui alternaient de l’un aux autres. Nos mouvements étaient de plus en plus désordonnés, nous grognions l’un dans l’autre…Je me laissais tomber de tout mon poids sur lui, nos langues se battaient l’une contre l’autre, son membre glissant en moi comme dans du beurre, c’était si bon d’être pris, rempli, comblé…J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais…Quand il m’a pris par les hanches pour mieux me pénétrer, j’ai senti que ce moment de plaisir extrême  ne durerait, hélas, plus longtemps. Pendant qu’il accélérait ses va et vient, je me suis caressé les seins du bout des doigts, en tournant doucement, comme je l’aime. Fou de plaisir, je me suis laissé bercé par ses coups de reins, les yeux fermés, sentant monter du bas de mon corps un formidable orgasme qui m’a secoué de longs spasmes libérateurs de belles envolées de ma semence entre nos deux corps, la tête électrisée par le plaisir. Epuisé, je me suis abattu sur son corps et c’est dans un vague brouillard que j’ai perçu les derniers élans de François et ses contractions libératrices au plus profond de mon ventre, dans un râle terrible, les mains crispées sur mes hanches, avant de se laisser tomber en arrière sur le lit, m’entraînant sur lui.
    Longtemps, nous sommes restés l’un sur l’autre, l’un dans l’autre avant de se séparer pour un déshabillage prudent car souillé de ma semence et une douche salvatrice. Après une pause cigarette, nous sommes chacun retournés à nos foyers respectifs…
    Nous avons eu l’occasion de nous retrouver sur notre chat de rencontre et il n’est pas exclu que nous ne renouvelions pas ce bon moment partagé.
     

Par michel
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