Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 15:49

A peine sortis de la salle de bains, nous entendîmes la sonnerie du téléphone et la voix de Michel qui répondait. Après avoir  raccroché, il se tourna vers nous et nous annonça que Jean et Anne-Marie ne viendraient pas, cette dernière étant malade. Leurs regards se croisèrent et je vis qu'ils étaient déçus, ce qui était compréhensible. Et puis, rapidement, ils eurent un sourire et Claudine annonça que nous allions passer une très bonne soirée entre nous, Michel avec ses deux femmes.
Nous dînâmes tranquillement en devisant de tout, de nos métiers, nos voyages, nos pôles d'intérêts. Le vin aidant, les regards et les paroles s'échauffaient et bientôt, nous abordâmes à nouveau le sexe, parlant librement de nos expériences vécues et de nos désirs.
D'être en  femme, assis entre Michel et Claudine que j'avais envie de satisfaire me brûlait le ventre. Je ressentis à l'instant le plug qui était en moi et me contractais sur lui. J'étais prête, j'allais m'ouvrir au plaisir
M'approchant de Michel, je lui saisis la nuque et l'embrassais. Il me rendit immédiatement mon baiser avec élan et nos langues se mélangèrent. Je me collais alors contre lui et prolongeais ce baiser, savourant cette bouche d'homme désirant la mienne. Il m'enserra dans ses bras et je frémis de bien-être. Tout mon corps épousait le sien et je sentis naître son érection contre mon ventre. Je caressais son corps, glissais mes mains sur sa peau, découvrais ses saveurs. Mes lèvres courraient sur son torse au fur et à mesure que sa chemise s'ouvrait puis tombait, comme sa ceinture, son pantalon et ses chaussures. Son sexe tendu déformait son string, courbé sous la tension du tissu et n’attendant que moi pour le libérer. Je me mis à genoux devant lui, passant ma joue sur son string, caressant et pétrissant ses fesses qui s'avançaient vers moi, puis son ventre, remontant mes doigts sur ses seins pointés, baissant des dents son string pour libérer d'un coup son membre tendu que je flattais d'un coup de langue d'abord rapide puis plus insistant. Je léchais son gland avec délicatesse, puis de la bouche et des lèvres, le recouvrais entièrement.
A cet instant, je vis Claudine me rejoindre à côté de moi et sa bouche me disputer le membre de Michel. Longuement, nous le suçâmes  ensemble ou en alternance, mêlant nos salives et nos langues dans des baisers profonds. Mes mains s'emparèrent de ses seins lourds sous sa robe transparente et les pétrirent encore et encore. Me laissant engloutir le sexe turgescent de son mari, je sentis ses mains m'enlever ma robe  et collée dans mon dos, prendre possession de mes seins tendus qui n'attendaient que ça sous mon soutien-gorge qu'elle fit glisser pour me libérer. Je gémis sous la caresse. Le plaisir déferla dans mon sexe tendu sous le string et mon anus se contracta sur le plug. Ses doigts jouaient avec mes pointes, les faisaient rouler délicatement. J'étais très excité. J'étais bien. Les mains de Michel s'étaient posées sur ma tête et accompagnaient les va et vient de ma bouche jusqu'à la garde de son membre. Je le laissais aller jusqu'au fond de ma gorge, buter contre mon palais puis le ressortais complètement avant de le ré-engloutir à nouveau, encore et encore. Je me remplissais de lui, l'accompagnais d'une main et de l'autre empaumais ses testicules lisses ou ses fesse tendues.
"Tu as envie de lui maintenant ?" me demanda Claudine à l'oreille en glissant une main sur mon sexe tendu d'excitation. J’acquiesçais fébrilement. Je sentis alors les mains de Claudine faire glisser mon string le long de mes jambes, puis me caresser les cuisses et les fesses. Sa main glissa vers mon ventre et s'empara de mon sexe libéré et brûlant d'excitation. D'une main, elle jouait avec mes seins et de l'autre elle me masturbait doucement. Je n'étais que désir.  Sa bouche me rejoignit  sur le sexe de Michel et nous nous le partageâmes à nouveau. Quand je la sentis saisir  le plug, mon ventre se contracta puis se relâcha pour lui permettre de l’ôter. Je ressentis alors un grand vide et l'air entrer en moi.
"Allons dans la chambre, nous serons mieux".

 

Nous nous relevâmes et nous dirigeâmes vers la chambre. J'étais très excité entre Michel, nu devant moi, son sexe en érection et Claudine, derrière, qui me caressait la raie des fesses. Je marchais sur mes talons hauts, en porte-jarretelles et bas, les bretelles de mon soutien-gorge sur les bras, mon sexe tendu sous la nuisette. 

Immédiatement, j'allongeais Michel sur le dos et à quatre pattes sur lui, je me remplis la bouche de sa virilité. Bientôt, les doigts lubrifiés de Claudine me fouillèrent le ventre avec moins de douceur qu'avant. J'étais sensé être bien plus ouvert, ce qui était le cas. Elle rentra trois doigts d'un coup et me massa vite profondément en tournant. Cela me faisait encore un peu mal. Rapidement, elle me tendit un préservatif et je le fis descendre sur le pieu de Michel.
Me tournant vers Claudine, je lui demandais si elle avait encore du poppers...Elle me répondit que oui et après quelques secondes, me tendit le petit flacon.
Je me redressais alors sur mes genoux, saisit le membre gluant de lubrifiant de Michel pour en poser le gland à l'entrée de ma caverne. J'ouvris le flacon et inspirais fortement. Comme la veille, un bref étourdissement lumineux et une intense sensation de chaleur m'envahit quasi instantanément. Saisissant mes fesses à deux mains pour bien les écarter, je pesais sur le sexe de Michel qui glissa en moi avec une facilité étonnante, franchissant mon entrée sans aucune douleur. Je me laissais descendre très lentement sur son sexe qui m’empala et ne m'arrêtais que quand mes fesses se posèrent sur ses cuisses. Il était complètement en moi, j'étais rempli et je ne ressentais aucune douleur. Sans plus bouger, je savourais l'instant.
Je bougeais un peu les fesses pour bien le sentir en moi puis remontais lentement le long de cette chaleur brûlante jusqu'à presque le faire ressortir avant de réfléchir les cuisses pour me rassoir sur lui. Michel avait les yeux fermés et se laissait faire. J'étais bien, profitant pleinement de cette situation rêvée, me redressant puis me laissais retomber sur lui, le ventre en feu. Inlassablement, je coulissais sur lui, encore et encore, fermant les yeux pour ne vivre que la sensation.
Quand je les ouvris, ce fut pour découvrir Claudine assise sur un fauteuil,  en train de se caresser en nous regardant. De voir cette belle femme, en déshabillé transparent, ses seins offerts, ses jambes gainées de résille noir écartées, ses pieds reposants sur ses talons aiguilles nous regarder, décupla mon plaisir d'un coup. Je vis que Michel la regardait aussi. Bientôt,  elle se leva et se mit face à moi, en enjambant Michel et me saisissant la nuque, elle me plaqua le visage sur son sexe. Elle était trempée et je fus inondé d'elle le temps que  ma langue la découvre. Elle se laissait à peine faire tant son bassin  n'était que mouvements vers moi. Enfin, mes lèvres collées à elle, elle me laissa jouer avec ses saveurs. Ma langue tourna longuement sur son bouton avant de découvrir ses profondeurs. Elle m'engageait de la voix et  me guidait  de ses mains sur ma tête. Concentré, j'en oubliais Michel, qui mit alors ses mais sur mes hanches et commença à venir en moi à son rythme. J'étais complètement soumis dans l'instant, tenu par quatre mains, presque étouffé dans le sexe de Claudine qui ondulait sur moi de plus en plus vite et le ventre en feu car Michel allait lui aussi de plus en plus vite en moi, dans de grands mouvements de  bassin.  Je m'abandonnais à leurs mouvements et leurs plaisirs, perdant la notion du temps. Claudine se mit à me dire que ça venait, oui, encore, ses deux mains crispées sur ma tête qu'elle faisait aller de plus en plus rapidement de bas en haut, ses mouvements devinrent désordonnés, elle se mit à crier puis d'un coup, se sépara de moi pour se jeter et se blottir contre Michel et l'embrasser, les mains entre ses jambes, le corps secoué de spasmes de plaisir. Michel ne bougeait plus et serrait Claudine contre lui. Je respectais leur relative intimité en ne bougeant plus non plus. Plus tard, Claudine se leva du lit, se rassit dans le fauteuil et nous regarda. Se redressant, Michel me demanda si je voulais bien me mettre à quatre pattes afin qu'il me prenne par derrière. Je me séparais de lui, toujours aussi dur, pour me mettre dans la position souhaitée, les jambes bien écartées et mes mains étirant mes fesses pour bien m'ouvrir. Les mains de Michel se sont posées sur mes hanches et je l'ai senti entrer en moi d'une seule poussée facile et fraîche car il avait, à ma demande, remis du lubrifiant. Rapidement, il a commencé à venir en moi de plus en plus vite et de plus en plus fort, plaquant son bassin à mes fesses et ressortant presque de moi pour mieux y revenir. La tête entre les bras, les yeux fermés, je mis à me caresser les seins en glissant le bout de mes doigts sous ma nuisette et me laissais aller à cette pénétration répétée de mon intimité pour en savourer le plaisir. Je ne bandais plus mais appréciais cette chaleur qui m'envahissait le ventre et cette situation tant désirée d'être sodomisée en travestie. Bientôt, je sus que Michel allait jouir à ses pénétrations de plus en plus rapides et il finit par rester incrusté en moi, ses mains crispées sur mes hanches, des spasmes le secouant pendant qu'il se déversait en moi. Je vivais ce plaisir d'homme comme une gratitude à ma féminité.
Quand Michel se retira de moi, je ressentis un grand vide. Je quittais le lit et me retrouvais debout, pendant que Michel s'allongeait sur le dos. Ma nuisette et mon soutien-gorge baissés jusqu'à mes seins découverts, un bas filé, je n'osais imaginer l'état de mon maquillage et la position de ma perruque. Et pourtant, je ne me sentais ni ridicule, ni gêné en aucune façon. C'était ce que je souhaitais. Claudine vint s'allonger contre son mari et gentiment, m'invita à me mettre avec eux. Je me collais dans son dos.
Plus tard, Michel se leva et annonça qu'il allait prendre une douche. Claudine se tourna vers moi et dit en m'embrassant  "Tu es très mignon. C'est très agréable, ce que nous faisons ensemble. A demain ?".
Je quittais leur chambre, me déshabillais dans la mienne avant de me démaquiller et de prendre une douche. Je m'écroulais sur mon lit et m'endormis tout de suite, des images plein la tête.


Par michel
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