Samedi 24 août 6 24 /08 /Août 11:46

Mes envies de féminisation m'envahissent...Bien que toujours non épilé, je viens de réduire ma toison pubienne de façon raisonnable avec ma tondeuse. Pas lisse de la tête aux pieds, loin de la, cela irait merveilleusement bien avec ma silhouette actuellement très longiligne, mais le pas n'est pas encore franchi . Juste quelques poils hirsutes en moins...
    En effet, ce week-end, j'ai rendez-vous avec un couple, qui m'avait contacté il y a longtemps mais n'ayant que peu de disponibilité, nous n'entretenions qu'une relation épistolaire, mais régulière car tout de suite très complice. Nous semblions tous très désireux de passer la soirée de samedi ensemble.  J'en étais ravi et très excité. Mais ils étaient tous les deux lisses et anti-poils d'où mon effort...J'ai décidé par ailleurs de me mettre en bleu, mon ensemble Aubade, soutien-gorge/string/porte-jarretelles, une paire de bas noirs à couture, une jolie nuisette et une robe noire fendue. J'hésite entre mes sandales noires et les bleues. Ces dernières sont à laçage spartiate, en fait je n'aime pas tant que ça et le talon n'est ni assez haut, ni assez fin. Par contre, j'ai décidé, car je l'ai acheté hier chez Séphora, de m'appliquer sur les ongles des pieds, un beau vernis bleu. Une autre étape à franchir après la perruque et le rouge à lèvres...Mais une envie récente, nourrie des ongles de pieds de mon ex-compagne, constamment parés de couleurs vives et nacrées, sans qu'ils soient ni plus soignés ni plus féminins que ça, mais je trouvais ça très remuant, très sensuel. Mais il fait enfin très chaud, ici, dans le sud et ma tenue habituelle ne va pas être confortable, ce n'est plus la saison. Parfois, je m'imagine lisse de la tête aux pieds, bronzé, du vernis sur les ongles des pieds et des mains, discrètement maquillé, quelques bijoux sobres, en mules ou sandales, en string ou en ensemble deux pièce et robe légère, homme et femme aux yeux de tous et jouissant de l'être ainsi...naturellement et simplement,...
    Je pense que je vais mettre aussi une touche de maquillage: un trait de noir sur les yeux, un soupçon de rouge à lèvres pâle, une peu de fond de teint,...
    Le samedi après-midi passa vite: long bain parfumé, rasage soigneux, épilation, notamment du visage et d'ailleurs..., parfum, crèmes, soins des ongles des mains et des pieds, puis application minutieuse sur ces derniers de ce vernis bleu et attendre qu'il sèche en préparant ma lingerie. Mon petit plug avait pris doucement sa place...
    A 19h15, je quittais la maison et vingt minutes après, suivant les indications de Caroline, j'étais devant un magnifique portail en fer forgé qui s'ouvrit automatiquement quelques secondes après mon appel.
    La maison était en pleine nature, entourée d'une végétation luxuriante. C'était splendide.
    A peine descendu de ma voiture, la porte s'ouvrit et je vis Caroline pour la première fois. En effet, nous en parlâmes plus tard et ils en furent surpris, je n'avais jamais demandé à voir leurs photos,
contrairement à eux. Leur demande, c'est eux qui m'avaient contacté, leur profil, nos messages, tout m'avait séduit et je ne n'avais jamais eu le moindre doute.
    Elle était superbe. Blonde, un carré court, des yeux bleus, des lèvres pulpeuses, grande et mince, en bas résille noirs, des sandales à talons hauts, une robe bustier en cuir noir avec un haut en dentelle mauve. Maquillée sans extravagance et souriante...Une vision magnifique!
    Elle m'invita à entrer dans cette belle maison qui s'avéra être décorée avec goût et nous nous découvrîmes dans la cuisine.
    "François finit de se préparer. Ça va, Michèle, tu as trouvé facilement ? "
    La discussion s'engagea et fut immédiatement spontanée et naturelle. Nous avions de multiples points communs...
    Caroline tournait dans une poêle un joli mélange de légumes à l'évidence frais et parfumé. Je mis au réfrigérateur la bouteille de champagne et ouvris celle d'un savoureux vin rouge afin qu'il s'aère et révèle toute sa saveur.
    Nous discutâmes longuement avant d'entendre les pas de François descendre l'escalier et de le voir enfin apparaître. Bel homme, mince, les cheveux très courts, tout de noir vêtu, souriant. Nous nous présentâmes assez rapidement puis Caroline m'invita à la
suivre. Elle me montra la salle de bain et la chambre puis me laissa seul.
    Rapidement nu, je me préparais intimement puis décidais de ne pas me vernir les ongles des mains. Je mis juste ma perruque, un peu de fond de teint, deux traits discrets de noir sur mes cils et une nuance de rose sur mes lèvres. C'était très doux et ambigu... Rapidement habillé et parfumé, je descendis dans le salon.
    Mon arrivée fut saluée par de jolis commentaires et je m'assis sur le canapé à coté de Caroline. Un superbe apéritif s'étalait devant mes yeux pour accompagner le champagne pétillant dans les flûtes: gambas marinées, olives parfumées, tartines de
foie gras,...
    Caroline mît sa main sur ma cuisse et me félicita de la douceur et de la finesse de mes bas, ainsi que de la hauteur de mes talons et de la facilité avec laquelle je marchais, elle même s'avouant
incapable d'en porter de si hauts.
    Nous échangeâmes longuement sur nos vies, nos passés respectifs et nos envies en buvant du champagne et dégustant des mets délicats. Ils  étaient tous les deux beaux, charmants, généreux, ouverts et curieux, très épicuriens...
    Nous passâmes à table et le dîner fut somptueux: carpaccio de rougets aux baies roses, noix de bœuf et sa poêlée de légumes frais, assiette de fruits frais,...de très bon vins accompagnant ces plaisirs de la bouche.
    Au salon, enfin avec le café et quelques verres de vieux rhum millésimé, une douce musique lounge et une ambiance tamisée et tranquille, notre intimité était devenue très agréable et naturellement excitante, amplifiée par l'alcool car nous avions beaucoup bus. François avait une dualité féminine et il m'avoua que je lui plaisais beaucoup, ma bisexualité et ma féminité exprimées semblant assez rare à ses dires. Caroline, de son coté avait un coté masculin évident et ils étaient tous les deux très conscients de leurs personnalités respectives.
    Beaucoup plus tard,François, dont la main me caressait doucement la cuisse depuis longtemps, prit mon visage entre ses mains et m'embrassa longuement. Je répondis immédiatement à son baiser, qui fut long et savoureux et me collant contre lui, mes mains se mirent à le découvrir. Il était mince et musclé, lisse et doux.
    A ce moment, Caroline nous invita à monter dans la chambre, et il m'avoua être rassuré par mes élans. Conforté par nos longues discussions, il m'assura que les hommes réellement bi n'étaient pas si fréquents et que les moments à venir ensemble lui plaisaient beaucoup...
    Caroline me prit par la main, me fit me lever et se collant à son tour contre moi, m'embrassa, sa langue fouillant ma bouche et son parfum m'envahit. Je sentis alors François dans mon dos et son désir contre mes fesses fit monter mon excitation.
    Nous montâmes l'escalier ainsi, le claquement de nos talons à l'unisson, les fesses de Caroline moulées de cuir dansant devant moi et les mains de François sur les miennes.
    La chambre était fraîche et délicatement éclairée et parfumée par quelques bougies posées sur la table de nuit et sur une commode. Toujours debout, nos trois corps fusionnèrent, nous recommençâmes à nous embrasser mutuellement et nos mains glissaient à la découverte de nos désirs.
    Caroline poussa doucement François qui s'allongea sur le dos. Sans cesser de nous embrasser ensemble, mes mains défirent les boutons de sa chemise puis je posais mes lèvres sur son torse, découvrant sa poitrine musclée, mes lèvres effleurant ses seins tendus que
j'excitais de la langue. Faisant glisser celle-ci sur son ventre jusqu'à son nombril, je défis sa ceinture puis la fermeture-éclair de son pantalon et le fis glisser sur ses hanches, aidé par son bassin qui se souleva du lit. L'odeur de son sexe tendu dépassant de son string m'envahit et sans pouvoir me retenir, je parcourus son gland de ma langue, découvrant sa saveur douce, puis sans attendre, je fis descendre sur ses cuisses l'ensemble de ses vêtements jusqu'à ses pieds afin de le dénuder complètement. Au moment où je me redressais, je sentis Caroline prendre à deux mains le bas de ma robe et la remonter lentement vers le haut. Je levais les bras pour l'aider à passer mes épaules et l'enlever complètement.
    Qu'est ce que j'étais bien, agenouillé devant François offert, son sexe tendu sur son ventre, mes pieds reposants sur les pointes de mes sandales, en nuisette laissant entrevoir mon joli soutien-gorge assorti à mon string et mon porte-jarretelles sur mes bas noirs à couture, Caroline très excitante à mes cotés...
    Me penchant en avant, je décollais délicatement de la main le membre tendu de François et le mis dans ma bouche avec délice. Il était chaud et doux, palpitant, vibrant de saveurs et de douceurs. Je le câlinais, l'embrassais, le léchais, l'engloutissais de mes lèvres, de mes joues, de toute ma bouche jusqu'au fond de ma gorge avant de le ressortir infiniment lentement et d'embrasser son gland lisse et doux. Puis le reprendre encore comme un magnifique sucre d'orge, savoureux à souhait...
    La langue de Caroline vint soudain me le disputer et nous le savourâmes longuement ensemble tout en s'embrassant en même temps. Ce n'était plus que salives mélangées, langues vivantes courant dans nos bouches et sur la chair de François, encore
et encore... C'était extrêmement plaisant et excitant. Mes mains caressaient ses seins et ses cuisses, je découvris en l'effleurant d'un doigt sous son string qu'elle ruisselait de désir. A ma demande, ses doigts se mirent à me caresser mes pointes de seins sous mon soutien-gorge et je défaillis aussitôt, une onde de plaisir m'embrasa le ventre.
    Délicatement, la main de François se posa sur ma nuque et m'invita à me coller contre le string de Caroline, bruissant de parfums et de vibrations enivrantes. Le saisissant à deux mains sur ses hanches, je le fis glisser sur ses cuisses et ma bouche se posa fébrilement sur son sexe offert et humide. Elle s’arque bouta en arrière et mes lèvres ne s'emparèrent que de liqueur et de frémissements palpitants. Je la découvris lentement de la langue, la faisant s'allonger à coté de François,
d'un mouvement lent, l'ensemble de son corps parcouru de frissons sous la caresse de ma bouche et de mes mains. Je m'engageais en elle, attentif à ses frémissement, découvrant lentement ses secrets au gré de la contraction de ses mains sur moi. Longtemps, je l'explorais et la fit vibrer, ne vivant que pour les ondes de son bassin.
    Plus tard, sans quitter Caroline, je revins du regard vers François que j'avais un peu abandonné. Allongé sur le coté, une main sur l'oreille, il nous contemplait, son beau corps lisse et fin luisant dans la pénombre. Ma main se posa sur lui, toujours majestueux et quittant Caroline, je l'embrassais fougueusement et lui murmurais à l'oreille que j'avais envie de lui.
    M'agenouillant devant Caroline, saisissant ses fesses à deux mains et écartant des coudes ses jambes gainées de bas résilles, ma bouche s'empara d'elle, ma langue tournant sur son bouton vibrant comme elle semblait l'aimer puis glissant parfois vers la source de sa rivière pour revenir encore l'humecter d'elle même et écouter interminablement son plaisir grandissant. De l'autre coté, je m'offrais à François et seul l'effleurement de son premier doigt lubrifié sur mon anus me ramena à moi. Ce fut si frais et si doux, tant attendu que je me détendis instantanément, m'ouvrant à cette merveilleuse sensation, cette douceur qui se posa sur ma fleur, qui tourna longuement sur mes plis délicats qui ne purent que s'entrouvrir progressivement à cette venue si attentivement souhaitée. Ma langue et ma bouche sur Caroline, ses mains sur ma tête et mes seins, le doigt de François qui rentrait en moi, ma main sur son désir tendu, mon bassin qui se tendait vers lui en m'ouvrant à son désir, tout n'était que sensations et plaisirs...
    Longuement, François m'a massé jusqu'à que son doigt glisse facilement. Il était prévenant, me demandant souvent si j'avais mal, son autre main me caressait les fesses, les boules ou ma queue au repos, parfois il se collait dans mon dos pour venir m'embrasser. Je l'engageais vite à  entrer un deuxième doigt, qui rentra facilement. Je me détendis au maximum, accompagné des mots et des caresses de Caroline que j'avais un peu abandonnée. Bientôt ses deux doigts coulissèrent aisément et il les tournait dans tous les sens dans mon ventre pour le détendre et je dois dire que j'aimais ça, c'était très agréable et excitant. D'ailleurs, une goutte de liquide pré-séminal perla de ma verge...
    Je l'invitais à continuer, sachant qu'il fallait au moins trois doigts et idéalement quatre pour être bien préparé... Je me penchais sur Caroline pour l'embrasser, lécher ses seins et enfin reposer ma langue sur son sexe offert. Elle m'invitait de la voix et les fesses tendues en arrière, je laissais les doigts de François m'élargir sans relâche. Grâce au gel qu'il ne cessait de remettre, je ne sus bientôt plus avec combien de doigts François fouillaient mon ventre. C'était si agréable  que je l'engageais à venir en moi. Il sortit sa main et je ressentis alors un grand vide pendant que j'entendis le bruit de l'ouverture du préservatif. Ma langue titillait le clitoris de Caroline sans relâche et elle gémissait, la tête renversée en arrière, les yeux clos et les mains agrippées à ma tête.
    Quand j'ai senti le sexe de François se poser sur ma fleur ouverte, j'ai saisi mes fesses à deux mains pour bien m'ouvrir à sa venue. Il a commencé à pousser très doucement et j'ai à peine ressenti un léger inconfort au passage de son gland. Il s'arrêta, me caressa les fesses et le dos en me demandant si ça allait. Je confirmais d'un hochement de tête. Alors, toujours lentement, saisissant mes hanches à deux mains, il est entré en moi de plus en plus profond d'une poussée continue. J'avais l'impression d'être écartelé par son membre dur qui se frayait son passage mais ne ressentais aucune douleur et savourais en frissonnant cet état de remplissage progressif. Quand j'ai finalement senti son ventre contre mes fesses, j'ai su qu'il était complètement entré au fond de moi. Sans plus bouger, il m'a encore demandé si ça allait. Quittant le sexe de Caroline, je me relevais sur les coudes.
"Oui, je suis bien, c'est ce que j'aime, tu es très doux et dur à la fois, c'est bon ".
    Alors, ses deux mains tenant fermement mes hanches, François a reculé lentement jusqu'à presque se retirer avant de revenir et de buter au tréfonds de moi. Des va-et-vient plutôt lents au début puis de plus en plus forts, mais toujours très doux. J'étais envahi par les sensations que j'éprouvais, à la fois physiques et mentales car je me sentais alors tellement pris comme une femme que je m'identifiais à la féminité totalement offerte à cet homme. Il allait librement en moi, s'enfonçant et ressortant quasi complètement. Son ventre et ses couilles tapaient contre mes fesses, ça faisait un petit bruit que j'aimais.  Je m'étais redressé sur mes bras, en avais oublié Caroline qui, gentiment, me caressait les seins. À chaque mouvement, je gémissais et sous l'effet des doigts de Caroline et je me suis remis à bander.
    Rempli voluptueusement, je me re-penchais sur Caroline inondée et ma langue se rempara de son bouton turgescent, allant inlassablement d'avant en arrière ou tournant autour, au gré de ses demandes ou des mouvements de son bassin. Ses mains appuyaient sur ma nuque et bientôt, elle se mit à gémir en continu et son ventre se souleva vers moi en des mouvements désordonnés avant de pousser un bref cri, de brutalement serrer les jambes pour m'expulser d'elle avant de se tourner sur le coté en position foetale. Elle resta ainsi un long moment figée, les yeux fermés sur sa jouissance avant de se décontracter et de se retourner sur le dos. Elle saisit alors mon visage à deux mains et m'embrassa d'un baiser léger en murmurant un doux "merci". Je lui demandais alors de me caresser les seins, ce qu'elle fit immédiatement.
    J'étais incapable d'évaluer le temps passé car j'en avais oublié François en moi. Il se mit alors à me parler du plaisir que je venais de donner à Caroline, du sien de me prendre et du mien que j'exprimais d'être comblé  mais il  fut de toutes les façons trop court car le plaisir montait crescendo dans mon sexe tendu, très lentement car il ne venait que de mon cul rempli et de mes seins mais d'autant plus fort. Cette sensation de jouissance purement passive est merveilleuse, très progressive, presque douloureuse mais incomparablement savoureuse. Des ondes venues de mon trou ramoné commencèrent à m'envahir, je me tortillais les tétons sous les doigts de Caroline, je me cambrais pour mieux sentir encore le feu du membre de François qui me labourais inlassablement. Je prévenais alors Caroline et elle glissa rapidement entre nous une serviette. De puissantes vagues sont bientôt montées dans mon sexe que je tentais de retenir. En vain, car bientôt, un formidable orgasme, qui m'a semblé interminable m'a secoué et j'ai explosé en plusieurs jets sous moi, mon cul se contractant sur le membre fiché en moi à chaque saccade. Très rapidement, François est resté planté au fond de moi, les mains crispées sur mes hanches, a poussé un râle et a joui lui aussi en plusieurs contractions qui m'ont encore secoué. Il est resté en moi un long moment avant de se retirer et j'ai alors ressenti un grand vide...
    M'allongeant à coté de Caroline, épuisé, j'ai senti François se coucher sur moi, poser ses lèvres et sa langue entrer dans ma bouche avant de lui aussi me remercier pour ce bon moment de plaisir. Couchée sur le coté, Caroline nous regardait, les yeux mi-clos...
    Puis, François se redressa, son sexe pendait couvert de la capote remplie et quitta la chambre. Caroline me dit alors que si je le souhaitais, je pouvais dormir là car demain, ils ne faisaient rien de particulier et si je voulais rester...Je répondis que c'était avec grand plaisir !
    En voyant François revenir sentant bon un parfum inconnu, je me levais du lit, glissais ma main sur son corps en le croisant, leur souhaitais une bonne nuit et après m'être vite déshabillé et douché, je me glissais sous les draps frais du lit de la chambre d'amis et m'endormis aussitôt.

Par michel
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