Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 22:11

De retour, après deux ans, eh oui, et un divorce...

 

Un texte que j'avais découvert il y a fort longtemps sur un site de récits travesti, sabrina quelque chose, et qui a hélas disparu depuis...

 

Je l'ai retrouvé sur 3esexe.com et vous le présente ici.

 

Je l'adore.

 

Il est à l'image de ce dont je rêve, la lingerie en moins et la fin qui n'est pas ce que j'attends...

 

Bonne lecture !

 

 

Initiation

Salut. Je vais vous raconter mon histoire. Tout débute il y a 3 ans maintenant. A l’époque je fantasmais beaucoup sur une relation homo, et après beaucoup de contacts téléphoniques et minitel, je n’avais jamais franchi le pas jusqu’au jour où j’ai rencontré Paul qui a changé ma vie. Tout a débuté par un contact sur un serveur minitel. Nous avons fait connaissance par téléphone, puis presque tous les jours nous nous téléphonions pour nous caresser par tel. Je découvrais que j’étais très passif alors que lui n’étais que actif et très macho. Notre relation progressa jusqu’au jour où, pour les vacances, il m’invita à passer 3 semaines dans sa maison de campagne. Après hésitations, j’accepte son offre et rendez vous est pris. Il est venu me chercher à la gare, le matin très tôt. Il était comme prévu, grand (1m92) brun et carré. Je me suis tout de suite senti soumis par sa présence (1m75). Apres les politesses d’usage, nous sommes partis pour sa maison, en pleine campagne, une petite ferme isolée, bien fermée et avec une magnifique piscine. Il m’a installé dans la chambre d’amis et nous avons déjeuné et bien bus en faisant plus ample connaissance. Puis, il m’a invité à piquer une tête dans la piscine. J’allais mettre un maillot de bain quand il m’a dit «ici, c’est nu intégral », je le suivais donc sur le bord de la piscine et l’on s’est déshabillé dans le gazon. C’est là que j’ai eu la surprise de ma vie. Quand il est apparu nu face à moi encore en caleçon, j’ai vu devant moi un géant complètement épilé, comme il me l’avait dit, mais avec un sexe que je ne pensais pas pouvoir être possible. Son pénis pendant entre ses cuisses devait mesurer entre 15 et 20 cm et ses couilles étais énormes, le tout renforcé par l’absence total de poils. Son gland, circoncis se balançait comme une troisième jambe quand il se mit à bouger. Je me résignais à finir de me déshabiller, avec mon petit sexe (15cm en érection) et mes poils disgracieux, et je plongeais dans l’eau pour me cacher à son regard. Il me rejoignit et nous avons discuté et nagé un bon moment. Enfin nous nous sommes allongés au soleil. Je somnolais au soleil depuis un petit moment quand il me dit « si tu ne mets pas de crème, tu vas cuire. » et aussitôt il attrape le tube d’huile solaire et s’approche de moi. J’étais allongé sur le ventre et il vint se mettre a genoux devant moi pour me passer de l’huile sur les épaules. Pendant que ses grandes mains puissantes me massaient les épaules, je me retrouvais avec son entre cuisse sous les yeux. Je n’en perdais pas une miette, son sexe se balançait à quelques centimètres de mon visage, il était très gros également, peut être 7 ou 8 cmde diamètre au repos, et ses bourses, imberbes, devaient avoir la taille d’une balle de tennis. J’étais subjugué par autant de puissance et je commençais à bander, d’autant que son massage descendait vers mes reins et que son sexe s’approchait d’autant de moi. Je bandais maintenant à fond et mon gland était tout mouillé de désir, mon fantasme se réalisait après des mois d’attente et de jeux solitaires. Alors comme son gland n’étais plus qu’à 2 ou 3 cmde ma bouche, j’avançais mes lèvres et lui déposais un baiser sur son membre, puis un autre sur le gland. Il eut un sursaut, stoppa le massage de mes reins et remonta vers moi, ne sachant pas quelle allait être sa réaction, me prit la tête à deux mains et m’embrassa tendrement d’abord puis nous sommes partis dans de longs baisers langoureux pendant presque une heure où je me suis senti lui appartenir. Nous avons découvert nos corps, il me caressait les seins, m’embrassait les tétons ce qui est délicieux, je le caressais tendrement et je découvris ce dont je me doutais depuis le début. Son sexe devint énorme, je le tenais juste dans ma main, et je demeurais hypnotisé par ce membre géant dont je ne pouvais évaluer la taille (je la sus plus tard 24cm par 9.5cm). Il me dit alors que je pouvais descendre le voir de plus près. Je me mis a genoux entre ses cuisses et tenant son membre a deux mains, je commençais à le lécher sur toute la longueur, puis je m’attaquais au gland qui était devenu énorme et luisant mais je ne pus le faire entrer totalement dans ma bouche, je me contentais de le téter, comme un bébé. Il avait bon goût et j’étais aux anges, tout comme lui, qui à ses grognements, avait l’air d’apprécier mon traitement. Je lui léchais également les bourses, sans un poil, elles avaient la douceur d’un bébé et étaient aussi chaudes que deux énormes braises. Je remontais sur son gland et me remis à le téter tout en le branlant doucement à 2 mains. Au bout d’un quart d’heure, il commença à remuer son bassin en rythme et à pousser des gémissements de plus en plus fort, à mesure que sa jouissance approchait. Je m’accrochais alors à son sexe et le tétais comme un fou. Je sentis son membre encore grossir entre mes mains et une formidable gicle de liquide blanc et bouillant vint s’écraser au fond de ma gorge aussitôt suivie par quatre autres qui me remplisse la bouche et commence a couler sur le menton ce qui, chose incroyable, provoque ma jouissance et je me jette sur lui pour l’embrasser, nos langues se mêlent et je partage avec lui son divin nectar que je n’ai pas encore tout avalé car je savoure son goût délicat et fort dans ma gorge. C’est à ce moment là que, blotti dans son épaule, je lui avouais ma jouissance sans me toucher et lui dis que je l’aimais. Il me dit que lui aussi et que si je voulais, durant ces 3 semaines, il pouvait faire de moi sa petite salope. Le terme me fit un peu peur mais j’acceptais, complètement soumis à son désir. Je lui avouais également que j’étais vierge (à part quelques godes) et que je voulais qu’il soit le premier. Il m’embrassa tendrement et me dit qu’il allait personnellement me préparer pour ne pas me faire mal. Il me dit « on commence dès demain matin. Je t’expliquerais les règles pour que tu deviennes ma petite salope que j’adore ». Nous avons fini la journée comme deux amoureux et avons dormi dans le même lit, moi blotti dans son épaule, après l’avoir fait jouir dans ma bouche une dernière fois. Le lendemain, très tôt, il me tira du lit avec un baiser et le café puis il me conduit à la salle de bains où il me montre une série de produits qu’il a étalés sur la chaise. Il me dit « voilà, pour commencer, mon amour, tu vas d’abord entièrement t’épiler. Moi, pendant ce temps je vais aller faire des courses pour toi, alors à tout à l’heure ».  Il m’embrassa et partit aussitôt. Je restais là un moment, un peu dépourvu, puis je me rassurais et me dis que je ne risquais rien après tout, et puis il était tellement gentil et tendre que je voulais qu’il me dépucèle. Je passais donc la matinée dans la salle de bains à m’épiler les jambes, les bras, le torse puis le pubis ce qui me fit apparaître une érection, je continuais donc par les testicules et ensuite, accroupi au dessus d’un miroir je pris soin de mon anus. J’étais complètement excité par cette séance d’épilation, et sous la douche mon corps lisse avec la douceur du gel me fit jouir comme un fou. Enfin vers midi, je me passais du lait sur le corps et préparais un petit en-cas pour son retour. Il fut là rapidement et m’offrit des fleurs en m’embrassant dans le cou puis me caressât partout pour sentir la douceur de mon corps pendant que je sentais dans mon dos grossir l’objet de mes désirs. Alors je me mis à genoux face à lui et je l’ai fais jouir dans ma bouche, là, dans la cuisine. Il apprécia ensuite mon en-cas et m’entraîna dans la chambre pour me montrer ses courses. Il avait déposé sur le lit plusieurs sacs et il ouvrit le premier. Il dit « pour faire de toi ma petite salope, nous avons une semaine à te préparer. Alors voici les règles et les accessoires. Règle une, interdit de te masturber, tu ne jouiras que par ton cul quand tu seras prête à me recevoir. Règle deux, voici ta garde robe (il sortit différent string en dentelles et caleçons de soie). Règle trois, tu me feras totalement confiance pour éclore ta petite rose (et il sortit du dernier sac 3 plugs anal, de 10 et 15 cmpar 6 de diamètre et un gonflable qui semblait bien plus grand, il sortit également un bock à lavements, une poire a vaseline et des pinces à tétons). Tu vois, avec tout ça, je vais faire de toi ma petite salope et tu vas m’aimer encore plus que tu puisses l’imaginer. » Moi, j’avais les jambes tremblantes et je ne savais plus quoi faire car je sentais, malgré mon envie de lui faire plaisir, que la situation m’échappais. Mais il ne me laissa pas le temps de réagir, il vint vers moi, m’embrassa et me rassura puis il me dit de m’allonger sur le lit et de lui faire confiance. Je ne pus que lui obéir. Il s’absenta pour remplir le bock à lavements et revint rapidement. Il me fit mettre plusieurs coussins sous le ventre, ce qui lui offrit mon cul tout lisse. Il me caressa les fesses puis les embrassa, sa langue passa sur mon anus ce qui me fit sursauter et gémir. De nouveau je pensais que je l’aimais et je m’abandonnais complètement et définitivement à lui. Doucement il fit pénétrer la canule du bock en moi. Je sentais le tube froid se faire un passage en moi et je me contractais un peu, puis ce fut une révélation lorsque le liquide chaud m’inondât. La sensation fut si forte que je faillis jouir. Après m’avoir bien remplie, il s’allongea un petit moment avec moi pour m’aider à tenir le plus longtemps possible avant que je courre me vider dans les toilettes. Il recommença une fois encore car il me voulait impeccable pour commencer ma formation. Une fois que mon rectum fut bien propre, il le prépara longtemps avec sa bouche et ses doigts, ce qui fut délicieux et augmentait encore mon excitation. Il m’injecta ensuite grâce à la poire une bonne dose de vaseline dans l’anus car il me dit que mon cul ne mouillait pas encore mais que ça viendrait. Il prit le premier plug et l’enfonça délicatement en moi. Je sentais l’objet m’écarter doucement, de plus en plus, puis mon anneau passa la bague plus étroite et le gode fut prisonnier en moi, bien en place, mon anus ouvert. Il me fit ensuite me retourner et vint me lécher les seins et les tétons afin de les faire pointer puis il prit de petites pinces en métal, les plaqua sur mes bouts et serra, ce qui fut douloureux mais il ne serra pas trop. Il dit « il faut que tes tétons grandissent pour devenir sensibles et c’est le meilleur moyen, tu verras ». Il me releva et m’enfila un caleçon de soie rouge. La sensation de la soie sur mon sexe bandé me fit gicler ce qui le fit sourire et il tourna les pinces à seins un peu plus, la douleur fut délicieuse. Je me sentais comme fou, les seins prisonniers, le gode qui me laissait ouvert, toute la préparation subie, je perdais la tête et lui sautais dessus. Nous avons passé le reste de l’après midi au lit à nous embrasser et à nous caresser mais sans jamais toucher mon sexe. A la fin de la journée, je possédais le second plug bien en moi et il me félicitait. Je passais la nuit ainsi. Le lendemain je passais une journée fort agréable, avec l’application des règles qui étaient maintenant mes règles. Après ma toilette intime, il me remit mon petit gode qui entrait bien mieux maintenant et nous avons passé la journée à nous baigner et à nous aimer mais toujours avec les mêmes contraintes. Ce fut après la deuxième nuit que l’on passa à l’étape au dessus. Le matin après un réveil amoureux, il me retira le gode qui était en place depuis 8 heures maintenant, et là, mon anus resta entrouvert pendant un instant. La sensation était vraiment étrange et très agréable. Il dit que je pouvais passer à l’étape au dessus. Après mon lavement quotidien et ma dose de vaseline, il me fit m’empaler sur son troisième gode gonflable. Il était noir, de taille moyenne (environ 15x5) et prolongé par un tuyau et une poire. Autant dire qu’il se mit en place sans aucune difficulté. La surprise fut quand il commença à pomper la poire. Je le sentis grandir en moi et m’ouvrir doucement, de plus en plus, puis il laissa la pression retomber et re-pompa. Je sentais mon anus et mon rectum accompagner le mouvement de l’objet de plus en plus loin, puis il le bloqua et je sentais mon cul ouvert et bien rempli, ce qui maintenant commençait à me plaire. Il alourdit ensuite les pinces à seins avec des petits poids et la journée passa comme ça avec un petit coup de pompe de temps en temps. J’ai atteint le gonflage maximum le lendemain soir, j’étais très fière de moi quand je sus que l’engin mesurait a fond 25x12. Il me dit que si je passais la nuit avec, je serais prêt à le recevoir le lendemain soir. A cette idée, je fus si excité que je ne dormis pas de la nuit et je l’ai fait jouir trois fois dans ma bouche qui maintenant arrivait à prendre tout son gland immense. Ce matin quand il dégonfla l’engin, je restais complètement ouvert pendant cinq minutes avec la sensation d’un grand vide en moi. Apres la toilette il me fit m’entraîner sur un nouveau gode. Celui-ci ne faisait que 22x8 cm et était des plus classique. Je me mis à quatre pattes sur le lit et fit pénétrer doucement le gland en plastique en moi, centimètre par centimètre, jusqu’au bout puis je commençais un lent va et vient. Paul était assis en face de moi et se caressait son membre énorme pendant que dans mon délire j’imaginais que c’était lui, mon amour qui me prenait. J’accélérais encore le mouvement et je commençais à être très chaude, à être sa petite salope, les pinces pendaient au bout de mes tétons qui étaient maintenant toujours en érection et que je trouvais plus gros chaque jour, plus sensibles aussi. C’est alors que je jouis pour la première fois uniquement avec mon cul. Je sentis un orgasme partir de l’intérieur de mon ventre, remonter vers mes seins, ma gorge pour redescendre vers mon anus qui se mit à se contracter autour du gode de plus en plus vite pour enfin exploser dans ma bite. Je me mis a crier, gémir avant de m’effondrer, en sueur, à moitié inconscient, le gode toujours fiché dans mes fesses, heureuse, comme le voulait mon amour. C’est en relevant la tête, un immense sourire sur les lèvres que je vis qu’il avait joui du spectacle vu la quantité de sperme sur son bas ventre. Je le rejoignais et avec ma bouche et ma langue je lui fis une toilette en règle avant de m’endormir dans ses bras. Il me prépara pour mon dépucelage durant l’après midi. Lavement, épilation, lubrification, joli string en dentelle, et plus de poids pour mes seins. Mais pas de gode. J’ai passé mon temps à l’embrasser et à courir partout pour que tout soit parfait. Après un repas aux chandelles, il me porta dans la chambre, la sensation de se sentir minuscule dans ses bras me fit fondre. Il libéra mes seins dont les tétons se dressèrent faisant le double de leur taille initiale. Il m’allongea sur le lit et vint s’étendre, nu à coté de moi. Je n’osais pas bouger tant le moment était magique, il commença par me caresser le visage, puis il m’embrassa sur la bouche, les yeux, descendit dans le cou, mes seins et commença à les téter, alternant avec sa langue et ses dents. La sensation fut intenable de douceur et je me mis à gémir spontanément et à me tordre sous sa bouche. Au bout de 10 minutes de ce traitement, il revint mêler sa langue à la mienne avant de redescendre vers mon ventre. Sa langue joua avec mon nombril, nouvelle décharge d’adrénaline, puis il descendit le long du string, déformé par une érection que je ne maîtrisais plus depuis longtemps. Il me retira le string, doucement libérant mon sexe qui se dressa comme un ressort, puis il vint m’embrasser le bout du gland, nouvelle sensation, et il me retourna sur le ventre. Il me tira en arrière pour me faire cambrer et ainsi offert, il commença à me lécher les bourses puis le périnée et enfin ma petite rose ce qui me fis délirer tellement c’était bon. Je sentais ses lèvres aspirer ma fleur puis sa langue glisser en moi. Il me lécha encore dix bonnes minutes, je sentais à nouveaux mon anus s’ouvrir et se fermer tout seul, au rythme des sensations qu’il m’envoyait à travers le corps et finalement j’ai joui, naturellement, juste avec sa langue sur mon œillet. Il vint ensuite m’embrasser et me dit que j’étais prête pour devenir sa petite salope. Je l’allongeais à coté de moi et après avoir récupéré de mon orgasme, je regardais l’homme que j’aimais, maintenant je n’avais plus aucun doute. Il était la, immense, le torse musclé, bronzé, beau. Je l’embrassais dans un long baiser, puis je descendis directement vers l’objet de mon désir. Je léchais son sexe sur toute sa longueur, jusqu\'à l’anneau de son gland puis je passais ma langue sur son frein où je récupérais un peu de sa mouille avant d’engloutir son gland contre ma langue. Je le gardais ainsi, bien au chaud quelques instants en le fixant dans les yeux, puis je me jetais comme une chienne sur son membre, le suçant, le mordant, je bavais dessus et le léchais. Je réussis a prendre une de ses bourses dans ma bouche et jouait avec, lui tirant des gémissement de plaisir et je continuais jusqu’au moment ou il me dit « viens ». Je me suis alors accroupie au dessus de lui, son sexe fièrement dressé et je suis doucement descendue sur lui. J’ai guidé son gland contre mon anus et là, je l’ai senti m’ouvrir, doucement, il n’en finissait pas de m’ouvrir, je sentais la pression augmenter, puis son gland était en moi, je le sentais vibrer contre moi. Je marquais une pause, appréciant la sensation, puis je me laissais à nouveau descendre sur ce pieu tant désiré. Ma descente sembla durer une éternité quand je sentis ses testicules contre mes fesses. Je ne bougeais plus, me sentant totalement remplie et possédé. Je bougeais doucement à gauche, à droite, j’étais prisonnière, complètement soumise à mon amour. Je me penchais alors en avant et l’embrassais en pleurant que je l’aimais tellement le bonheur était fort. Il m’embrassa à son tour, me consola de douces paroles, alors je me redressais et entamais un long va et viens, doucement d’abord, jusqu\'à sentir son gland me quitter puis l’excitation augmentant, de plus en plus vite. Dans le délire qui me prit à nouveau, je l’imaginais et le sentais millimètres après millimètres entrer et sortir de moi. Il prit alors mes tétons entre ses doigts et se mit à les caresser et à les pincer, j’ai alors perdue la tête, je me suis mise à le chevaucher comme un dément, lui accompagnant puissamment de ses reins mes va-et-vient autour de son mat, et au bout de 5 minutes, mon premier orgasme anal avec mon amour est arrivé. Avec une force incroyable, mon corps se mit à trembler, je sentais mon anus travailler tout seul autour de son sexe, et il avait l’air d’apprécier vu ses grognements, puis des ondes de plaisirs se mirent à irradier de mon cul, de mon ventre, de mes seins, j’étais comme folle, mon sexe se mit à éjaculer tout seul, une première fois, mais le plaisir continua de monter en moi, je me mis à gémir, je ne reconnaissais pas ma voix, le plaisir montait toujours de mon cul que je tenais maintenant écarté à deux mains pour qu’il vienne plus loin en moi, et c’est à ce moment là qu’il se mit à jouir. Il me saisit par les hanches et se mit à me pilonner de plus en plus fort, je sentais ses mains se crisper sur moi. Il poussa un gémissement, et, révélation, je sentis une première giclée de sperme jaillir en moi, son sexe sembla encore grossir et un déluge me fouetta les reins. Ce fut l’explosion pour moi aussi, ma bite se remis à gicler toute seule et le plaisir monta si fort que je perdis connaissance quelque instant. Je me réveillais, allongé sur mon amour, son membre toujours en moi. Il me dit « je t’aime » et nous nous sommes embrassés un long moment. Quand il sortit de moi, je restais ouverte, mon anus étant totalement soumis, durant 15 minutes. Quelle sensation agréable de sentir l’air frais vous pénétrer et le sperme de son amant couler doucement hors de vous. Paul m’a ensuite massé ma rose, il l’a léché, et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Plus tard dans la nuit, je fus réveillé par ses baisers que je lui rendais tandis que sa main me caressait les fesses et me doigtait doucement. Ce qui fit renaître mon désir, ainsi que le sien que je sentais grandir dans ma main. Alors qu’il me doigtait doucement avec deux doigts je lui soufflais dans un gémissement « prend moi ». Il vint alors sur moi, j’écartais mes cuisses et son corps immense me recouvrit. Je serrais mes jambes sur ses reins et son gland se colla à mon anus. Tout en m’embrassant, il me pénétra doucement, ce qui fut encore une fois une révélation pour moi. Il me fit doucement l’amour pendant une heure, en m’embrassant, me caressant et me parlant gentiment. Durant ce temps, j’ai joui deux fois, puis il accéléra le rythme de ses va-et-vient et nous avons joui ensemble, de façon synchrone, comme seul l’amour de l’autre le permet. Nous sommes ensuite resté emboîté, à nous aimer, son sexe me remplissant toujours. A un moment il voulut sortir de moi pour aller uriner, mais je le retins, tellement j’étais bien. Alors, le sourire aux lèvres, il me dit « tans pis pour toi », mais je lui souris et haussa les épaules. Je le sentis alors se crisper et une chaleur intense, à la limite de la brûlure déferla en moi. Son jet me donnait l’impression de remonter dans mon ventre, ce qui était prodigieux. Il m’emmena ensuite, toujours en moi, dans la douche et me libera l’anus. Je me vidais contre lui et mon petit cul cassé restât ouvert pendant plus d’une heure. Il me montra mon anus dans une glace, et je vis les progrès réalisés en une semaine. Ma petite rose, toute brune cerclait un trou de cinq cm de diamètre qui semblait palpiter doucement. Puis il se referma doucement. Le reste des vacances fut pour nous la consécration de notre amour et en rentrant chez nous je déménageais pour venir vivre chez lui. Il y a deux ans, voulant encore plus lui offrir mon corps, nous primes la décision de me féminiser pour être définitivement sa petite salope. Je trouvais un médecin en Belgique et une clinique où je partis durant un mois. Le médecin m’émascula et me donna un traitement hormonal pour ma féminité. Je restais un mois dans la clinique, le temps à mes cicatrices de se refermer et de stabiliser mon traitement. Lorsque je rentrais je me sentais plus légère, l’entre cuisse tout lisse à part deux fines cicatrices. Après la désagréable perte de cheveux due aux hormones, mes poils arrêtèrent de pousser et un an après mon nouveau corps était parfait. Ma peau est devenue plus douce et sensible, ma poitrine a pris du volume et occupe maintenant un petit 85b et la pose d’anneaux sur mes tétons les a rendue plus gros (3cm x 1.5 de diamètre), hyper sensibles au caresse de mon amant et il sont toujours dressés. Mes muscles ont fondu et je suis devenue toute fine. Mes hanches se sont épanouies d’autant et ma croupe est devenue voluptueuse, surtout dans les petites culottes qu’il m’offre régulièrement. Ma voix aussi a changé ainsi que mon regard sur les hommes, que je désire maintenant naturellement. Je ne suis pas travestie, je met de temps en temps du rouge a lèvres mais la transformation ne va pas plus loin. Je ne désire pas devenir une femme, ni un homme mais juste une petite salope ni homme ni femme. Mon sexe ne bande plus et est devenu plus petit encore (7cm). Lorsque Paul me fait jouir, je mouille un liquide incolore et plus blanc mais ma nouvelle sensibilité a décuplé mon plaisir et je ne jouis plus que par mon petit cul ou mes seins.. Il dit maintenant que je suis sa salope à lui et qu’il m’aime. Cela fait maintenant 3ans que nous vivons ensemble et je l’aime encore plus maintenant. Mon corps s’est adapté à notre amour, et nous venons de nous pacser. Il est l’homme de ma vie. A bientôt, une petite salope épanouie et heureuse.

Sophie

07/05/01

Par michel
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Commentaires Récents

Sandale

  • SBR4
  • J 2
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés