Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 13:42


    Toujours grâce à Internet, j’ai eu de longs échanges avec Jean. Marié, lui aussi, il avait depuis longtemps, lui aussi, envie de partager un moment de plaisir avec un homme habillé en femme en la considérant comme telle.  Nous avons longuement échangé par mail nos envies réciproques et au fil du temps, notre excitation mutuelle est devenue de plus en plus grande. Il semblait très doux et nos fantasmes s’accordaient merveilleusement. Après une attente qui devenait insupportable, nous avons enfin trouvé un week-end où nos deux épouses étaient absentes et où il pouvait me recevoir discrètement.
    Dès le départ de ma femme, le samedi en début d’après-midi, mon excitation était à son comble. Je sortais avec fébrilité de toutes mes cachettes ma lingerie, mes vêtements et mes chaussures. Je savais ce que préférait Jean et j’ai choisi avec soin les tenues que j’allais porter ce soir-là. Tout était étalé sur le lit, comme c’était beau…La douche calma un peu mon érection qui ne reprit que lorsque je lavais mon orifice quasi vierge et le préparais longuement à l’aide de mes doigts lubrifiés de gel.
    Rasé de près et parfumé, je frémis d’ouvrir, de déplier et de sentir glisser sur ma peau la soie des bas rouges à couture que je fixais ensuite aux 4 fines attaches du porte-jarretelles noir que je venais de passer sur mes hanches. J’enfilais ensuite le string noir et rouge et frémis de bonheur au contact de la ficelle dans ma raie fessière. Le soutien-gorge assorti prit place sur mes pointes de seins dressées. Après m’être habillé d’un pantalon et d’une chemise, j’ai soigneusement plié le bustier noir et rouge en soie et dentelles, la jupe de lin noire fendue, le peignoir en soie noire et les sandales noires à talons aiguilles. J’avais aussi préparé une tenue blanche complète avec des bas, une guêpière, un string, une nuisettes et des sandales assorties. A la tombée de la nuit, je me suis alors rendu chez Jean.
    Au moment de sonner, mon cœur battait vite, autant d’excitation que d’appréhension. Il m’a ouvert la porte, nous nous sommes regardés et avons souri tous les deux. L’image que nous avions l’un de l’autre était conforme aux photos que nous avions échangées et à nos attentes. Il m’a fait entrer, nous nous sommes installés dans le salon et avons commencé à parler comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Il portait une chemise en lin entrouverte et un pantalon large et était pieds nus. Toutes les fenêtres étaient fermées et une lumière douce tamisait l’appartement. Pendant qu’il préparait à boire, je me suis rendu dans la salle de bain, me suis déshabillé et ai enfilé ma jupe et mon bustier. Mes doigts tremblaient d’excitation sur les lanières de mes sandales que j’ai eu du mal à enrouler sur mes chevilles.
    Le bruit de mes talons sur le carrelage le fit se retourner, un verre de vin blanc à la main et son sourire me fit du bien. « Qu’est ce que tu es belle… ». Je me sentais à l’aise, comme je l’avais toujours rêvé.
Assis en face de l’autre en buvant du vin blanc frais, nous avons longuement parlé de notre passé et de nos désirs. J’aimais tellement être là, habillé en femme, qu’au bout d’un long moment, je suis venu m’asseoir à coté de lui sur le canapé, hanche contre hanche. Il s’est tourné vers moi et m’a embrassé d’abord timidement puis longuement, nos langues se mêlant dans une sarabande infernale. Ses bras m’ont entouré et je me suis blotti contre lui. J’ai déboutonné les boutons de sa chemise pour découvrir son torse et mes doigts se sont emparés de ses pointes de seins dressées, vite remplacés par ma langue qui allait alternativement de l’un à l’autre. J’ai frémi de sentir ses mains glisser sous mon soutien-gorge pour effleurer d’abord puis caresser lentement mes seins en tournant doucement les pointes du bout des doigts. Jean savait que j’adorais ça. Une vague de chaleur m’a envahi et mon sexe s’est immédiatement tendu à travers mon string.
    A  ma demande, il m’a enlevé ma jupe et mon bustier et dégagé les bretelles de mon soutien-gorge afin de mieux me caresser les seins. J’étais enfin en lingerie et talons hauts devant un homme…Nos langues se sont de nouveau mêlées et nous avons savouré longuement ce plaisir de nos mains respectives sur nos seins. Puis glissant doucement vers le bas de son corps, j’ai déboutonné lentement son pantalon faisant jaillir immédiatement son membre tendu comme un arc car il ne portait rien en dessous. J’ai découvert la saveur de son gland à petits coups de langue puis de lèvres, le décollant de son ventre pour l’engloutir doucement jusqu’au fond de ma gorge, m’enivrant de cette palpitation chaude et douce glissant interminablement sur mon palais. Il gémissait, m’engageant à continuer, à ne pas m’arrêter tellement c’était bon, tellement il était bien. Mes seins tendus sous ses doigts et mon membre étaient en feu. Mes doigts humides de sa salive allaient alternativement sur ses seins, sur ses bourses ou sur sa fleur dont je sentais les replis se contracter au rythme de ses lentes plongées dans ma bouche. Puis, au bout d’un moment interminable de bien-être, il commença à remuer son bassin de plus en plus vite et à pousser un gémissement de plus en plus fort, murmurant que j’étais belle en lingerie, que c’était bon…
    Longtemps après, j’ai senti son membre grossir encore entre mes lèvres et ses mains quitter mes seins pour s’appuyer sur ma tête, témoignant de son plaisir proche. J’ai savouré ses spasmes puis la saveur de ce liquide chaud qui me remplissait la bouche et que j’avalais lentement pour faire durer ce bonheur d’être une fois encore un peu femme…Redressant la tête sans abandonner son membre encore dur, je le regardais et fût rassuré. J’avais tellement peur de cette réaction de dégoût que j’avais parfois après m’être masturbé habillé en femme et me rejetant moi-même. J’ai alors senti ses bras se glisser sous les miens pour me remonter contre lui et m’embrasser, nos langues se mêlant dans un baiser profond, nos corps collés étroitement.
Nous sommes restés longtemps dans les bras l’un de l’autre puis m’éloignant de lui, j’ai enfilé et fermé mon peignoir de soie noire, ne laissant entrevoir que mon soutien-gorge, mes bas et mes sandales. Je suis allé nous servir un verre de vin blanc que nous avons dégusté sur le canapé. Je savourais cette sensation de plénitude de me voir déambulant en femme, sur mes talons hauts, avec lui toujours nu qui me regardait.
    « Je veux que tu me prépare longuement et que tu me fasses l’amour », lui ai-je dit en le regardant dans les yeux. Il s’est levé, m’a pris par la main et m’a emmené dans la chambre où il m’a assis puis allongé sur le lit. Il s’est alors étendu à coté de moi et glissant une main sous mon peignoir, a entrepris de me l’enlever. J’avais les yeux fermés, tout à la sensation d’être offert à cet homme doux et tendre qui allait me rendre vraiment femme.
Il commença par m’embrasser sur la bouche, descendit le long de mon cou et s’empara de mes seins. Je gémissais et me tordais sous la caresse de sa langue qu’il remplaça par ses doigts mouillés avant de descendre vers mon ventre.
    Très doucement, il fit glisser mon string sur mes cuisses, libérant mon membre turgescent qu’il embrassa puis caressa de ses lèvres chaudes et humides. Comme dans un rêve, je le sentis me lécher les bourses puis sa langue glisser dans ma fleur qui s’entrouvrit progressivement sous la douce pression de sa langue.
Tout mon corps a frémi au contact de la fraîcheur de son doigt lubrifié ouvrant ma rose offerte et explorant doucement mon ventre qui n’attendait que ça depuis si longtemps. Interminablement, il a rentré et sorti doucement un puis deux et enfin trois doigts continuellement lubrifiés. Je ne savais plus où j’étais : ses lèvres et sa langue allaient de ma bouche à mon membre en passant par mes seins et mon ventre s’avançait vers ses doigts, au rythme des sensations qu’il m’envoyait à travers tout le corps. J’allais jouir et ne le voulais pas, c’était trop tôt, trop bon…
    Je l’ai repoussé de mes deux mains et à genoux devant lui, j’ai fait glisser furtivement mes lèvres sur son membre dur avant de faire glisser un préservatif que j’ai enduit délicatement de lubrifiant.
M’allongeant sur le dos, repliant mes cuisses sur mes épaules et saisissant mes jambes gainées de soie à deux mains, je lui ai dit : "Viens, prends-moi ".
    J’ai guidé son gland contre ma fleur ouverte et  je l’ai senti essayer d'entrer en moi. Et là, la douleur fut vive malgré sa douceur et sa  lenteur. Je du l'arrêter pour qu'il me prépare à nouveau longuement de ses doigts. Plus tard, à nouveau, je tentais de l'accepter. Ce fut encore très douloureux  et interminable pour qu'il puisse enfin prendre sa place . Ses deux mains se joignirent aux miennes sur mes fesses pour mieux rentrer et je faillis défaillir de douleur quand ses bourses vinrent au contact de mes fesses. Je ne bougeais plus, ne sentant qu'une immense brûlure et aucun plaisir. Je ne bandais plus du tout.
    C’est alors qu’il se pencha et m’embrassa doucement, puis ses mains quittèrent mes fesses pour venir caresser mes seins entre ses doigts, son corps couvrant le mien, aussi attentif à ma douleur  qu’à son désir. Le plaisir se mit à m'irradier les seins et malgré le feu de mon ventre rempli, je me remis à bander.

Il lui a fallu beaucoup de patience et de multiples pauses pour qu'il puisse enfin commencer à glisser en moi sans que je ne l'en empêche, c'était toujours très douloureux. Longtemps après, la douleur s'estompa et une sensation d'abord de simple comblement puis ensuite de plaisir commença à apparaître. Mon ventre s'habituait à sa présence et même l'appréciait de plus en plus.
-Viens Jean, prends ton plaisir, prends-moi… .
-Je ne te fais plus mal ?
-De moins en moins, je suis bien...
Encouragé par ma demande, mes mains sur ses reins, il entama un long va et vient, très doucement d’abord, puis de plus en plus vite jusqu'à sentir son gland me quitter puis re-rentrer facilement, toute sa colonne dure coulissant librement en moi. Je ne savais plus ce que je faisais, je l’attirais en moi accompagnant de mes reins ses allées et venues de moins en moins contrôlées. Il me saisit alors par les hanches et se mit à me pilonner de plus en plus fort.
    Sans que je bande, une sensation de bien-être plus que de plaisir irradiait de mon ventre qui n’était plus qu’une boule de feu, de mes seins que je caressais moi-même, de ses mains crispées sur moi. Je me mis à gémir et à dire des propos sans suite. Je m'abandonnais au ressac...
C’est à ce moment précis, Jean me le dira plus tard, que, me voyant me laisser aller, se mit à jouir en gémissant, fiché au plus profond de moi, par de longues saccades, son membre me semblant encore plus gros que jamais. Au bout de quelques secondes ou minutes, j’avais perdu la notion du temps, je dépliais mes jambes qui se trouvaient complètement ankylosées et Jean s’effondra sur moi, mélangeant ma semence à sa peau trempée de sueur.
    Longtemps, nous sommes restés ainsi, sans rien dire, dans les bras l’un de l’autre, son membre se dégonflant lentement en moi pour finir par me quitter. Je ne savais pas si Jean voulait que je reste pour la nuit. Moi, j’en avais très envie, c’était si bien…Je lui ai alors dit d’aller se doucher en premier. Plus tard, nu dans la salle de bain, j’ai entrouvert la porte pour lui glisser avec appréhension : « Jean, tu veux que je reste cette nuit ?… » Quel bonheur, quelle promesse quand il m’a dit : « Oui, je veux bien ».
Alors, encore humide de la douche, j’ai enfilé ma guêpière blanche, des bas blanc à couture, un string blanc et une nuisette en dentelle blanche. J’ai enfin mis des sandales à talons de 10 cm, elles aussi blanches. J’aimais bien me regarder dans la glace ainsi vêtu et espérais secrètement surprendre Jean qui ne s’attendrait pas à cette nouvelle tenue plus virginale que la précédente…
    Sa surprise et ses commentaires flatteurs répondirent à mes espérances. Néanmoins, compte tenu de notre fatigue (nous n’avions plus 20 ans…), après avoir commenté nos ébats autour de quelques verres de vin, nous décidâmes de dormir un peu. Nous nous sommes endormis rapidement.
    Au petit matin,  je fus réveille par une douce sensation : Jean, collé contre mon dos me caressait délicatement les seins avec le bout de ses doigts. Je sentis mon désir renaître instantanément, ainsi que le sien, que je sentais grandir contre mes fesses. Il m’embrassait aussi dans le cou. Je me tordais sous ses doigts et je lui soufflais dans un gémissement : «Jean, j'ai envie que tu me reprennes… ».
Quelques secondes après, ses doigts lubrifiés m’ont pénétrés lentement et ont joué avec mon ventre déja plus ouvert qu'hier. Quelle sensation de bien-être ! Pendant qu’il me doigtait doucement, son autre main courrait de mes seins à mon membre tendu qu’il caressait alternativement.
    Très excité, je me suis alors mis à quatre pattes, calant un coussin sous mon ventre et saisissant mes fesses à deux mains pour bien m’ouvrir, je me suis offert à sa venue. Son gland fraîchement lubrifié se colla contre ma fleur, ses mains se posèrent sur mes hanches et il me pénétra très doucement, ce qui fût encore une fois douloureux, à peine son gland en moi.  Devant mon blocage, il s'arrêta et ne bougea plus pendant un long moment, se contentant de me caresser les seins ou ma queue molle. Bien plus tard, centimètre par centimètre, il finit par s'introduire complètement en moi puis Il commença à aller et venir lentement puis de plus en plus vite, encouragé par mes gémissements. Cette fois-ci, la douleur s'estompa beaucoup plus rapidement et le plaisir m'excita. Bientôt, je ne fus que jouissance, le feu dans mon ventre, le frottement doux de mon membre contre l’oreiller, les décharges de mes pointes de seins qu’il tournait doucement avec ses doigts…J’aurai voulu que cela ne s’arrête jamais. J’ai jouis en criant et en mordant le drap, en de longs spasmes qui m’ont secoués tout le corps, peu avant Jean, dont j’ai senti les contractions de plaisir au plus profond de moi et les crispations de ses doigts sur mes seins.
Jean s’est alors effondré sur moi et nous sommes longtemps restés emboîtés l’un dans l’autre, son sexe me remplissant toujours, pour profiter au maximum de ce moment qui n’allait pas durer.
En effet, nos épouses respectives devant rentrer en début d’après-midi, nous avons dû nous quitter rapidement.

    Je n’ai jamais revu Jean, il a été obligé de quitter rapidement la région pour des impératifs professionnels. Longtemps, nous avons conversé par mail, l’un et l’autre voulant renouveler ce moment exceptionnel mais cela n’a pas été possible avant son départ.









Par michel
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