Mardi 3 avril 2 03 /04 /Avr 22:03

Je savais depuis longtemps que ce week-end serait libre car je l’avais réservé pour Michel et Claudine, un couple de la soixantaine rencontré sur un site échangiste où j’avais visité leur profil, bien qu’ils ne semblent rechercher que des couples sans être bi ni l’un ni l’autre mais ils m’avaient contactés quasi instantanément pour me faire part de leur attirance. Nous avions eu de longs échanges sur Internet puis par téléphone. Comme d’habitude, je n’avais laissé aucune équivoque sur ce que je suis : un homme déguisé poilu et dégarni, pas un travesti, mais très femelle…C’est ce qu’ils souhaitaient, un homme « faisant la femme », pas un travesti féminin. Ils adoraient tous les deux la lingerie et les chaussures à talons hauts et mes photos leur plaisaient beaucoup

Après de longs dialogues, où nous exprimâmes clairement  nos souhaits et interdits respectifs qui semblaient s’accorder,  nous avions organisé ce week-end chez eux. Ils vivaient dans une villa avec piscine dans un village à 40 Km de chez moi…

Nous étions au printemps, il faisait un temps magnifique et toute la semaine, j’avais été très excité. Exceptionnellement, dès le vendredi matin, j'avais mis mon petit plug et l'avais gardé au travail. Quelle sensation agréable de le sentir ainsi en moi toute la matinée. En début d'après-midi, je l'enlevais, me rasais délicatement et après m'être bien lubrifié, je tentais de rentrer le gros. Ce fut très douloureux et je mis un temps infini à l'accepter. Cela faisait si longtemps. En même temps, c’était l’occasion et, quelque part, je n'avais pas le choix, il fallait que je sois préparé si je ne voulais avoir que du plaisir plus tard. J’emmenais tout, lingerie, chaussures, serviette, gants, lavements, lubrifiants, nécessaire de toilette,…

Trois quart d’heure après et quelques errements, guidé au téléphone par Michel, je rentrais ma voiture dans une jolie villa verdoyante et ensoleillée, semblant parfaitement isolée des regards extérieurs grâce à une végétation luxuriante. Il était dix neuf heures.

Le portail automatique se referma derrière moi et je découvris Michel, debout devant la maison, qui me guida de la main pour me garer. Mon cœur battait vite, l’excitation… Pas très grand, mince, grisonnant, habillé détendu-négligé d’un pantalon de toile beige et d’une chemise bleue entrouverte, pieds nus sur la terrasse.

« Bonjour Michel, bienvenu chez nous»

« Bonjour Michel, merci de ton aide pour y arriver ». Il sourit.

« Entre, Claudine est là »

Après avoir pris mes sacs dans le coffre, je suivis Michel et entrais dans la maison. Je lui souris, lui aussi. Un grand salon clair et au milieu, Claudine, pas très grande non plus, brune avec de longs cheveux noirs, pulpeuse, souriante, debout sur 12 cm de talons plateforme, en bas noirs, porte-jarretelles et string assorti, de lourds seins offerts sur un soutien-gorge  ouvert, à peine cachés par un déshabillé transparent de voile noir…J’étais époustouflé, le rêve au féminin, superbe d’érotisme à presque 60 ans, qui m’accueillait chez elle !

« Bonjour Michel, tu as fait bonne route ? »

« Bonjour Claudine. Oui, merci ». J’avais la voix un peu chevrotante et elle fit semblant de ne pas le remarquer….

« Pose tes affaires. Tu veux boire quelque chose tout de suite ou te mettre à l’aise d’abord ? «  Dit-elle en souriant. Comme nous en avions déjà parlé au téléphone, cette proposition n’était qu’un principe…

« Suis moi, je te fais visiter »

Passant devant moi, ses fesses généreuses séparées par son string ondulant grâce au balancement de ses hanches, le claquement de ses talons sur le carrelage, elle m’indiqua une chambre puis me montrât la salle de bain et m’invitât à faire comme chez moi. Je refermais la porte de cette dernière. J’étais fébrile

Après m’être déshabillé, j'ôtais le plug. Quelle libération et quelle sensation de vide. Je le lavais soigneusement et m’introduisis un mini lavement à garder dix minutes. Après m'être libéré, je passais à nouveau sous la douche car j'avais eu chaud en venant, et fis une toilette intime minutieuse et répétée. Après un moment d'hésitation, je décidais de remettre le plug pour rester bien ouvert. Cette fois-ci, il rentra beaucoup plus facilement. Puis, parfum, déodorant, crème,…Pas d’épilation intégrale, lisse de la tête au pied, de cheveux longs et généreux, de maquillage, de vernis, de bijoux,…Hélas…

J’enfilais enfin une paire de bas noirs Clio neufs, lentement, délicatement, savourant leur crissement sur mes jambes, un ensemble porte-jarretelles, string et soutien-gorge rouge, ma dernière paire de mules rouge puis une longue nuisette rouge à col et revers en dentelle noire, vaporeuse et enfin, mon kimono noir que je fermais avec sa ceinture. Qu’est ce que j’étais bien, là, presque femme, le ventre rempli avec ce couple qui m’attendait à quelques mètres pour notre plaisir à venir pendant deux jours si nous nous convenions !

Le claquement de mes talons sur le carrelage leur fit tourner la tête vers moi. Michel, assis sur le canapé de cuir blanc et Claudine debout devant le bar de la cuisine américaine me regardèrent venir vers eux.

« Effectivement, tu es très jolie ainsi, ma chérie, et il ne suffirait de pas grand-chose pour faire de toi une jolie femme, tu ne nous avais pas menti ! »

Le cœur battant, je laissais échapper un oui crispé.

« Viens »  me dit alors Claudine, « je vais te montrer la cuisine ». Ils désiraient être servi, c’était nouveau pour moi, pas de la soumission au sens SM mais au sens féminin et j’étais d’accord.

Je me dirigeais alors vers Claudine. Le soleil se couchait, la lumière était douce et les ombres ambrées de nuances sombres et chaudes. J’étais bien. Ils me suivaient  des yeux tous les deux et j’aimais ça.

Je baissais les miens pour regarder le dessus de mes superbes mules Sacha rouges (of  London…!), les quatre lanières se rejoignant au centre dans un nœud harmonieux sur le dos du pied couvert de nylon noir que je redressais langoureusement afin de sentir le petit clac du talon de douze centimètres entrant en contact avec le carrelage blanc J’adore faire ce geste, comme croiser les jambes gainées de nylon et prolongées par le talon aiguille de sandales ou de mules, ce crissement inimitable de féminité éternellement renouvelable. Je suivis la ligne des orteils soudain tendus, du mollet galbé jusqu’au revers de la nuisette rouge, longue à souhait, bordée de dentelle noire, qui dépassait du kimono quand je pliais une jambe. Des minauderies de femme…

Je marchais dans le salon puis dans la cuisine, librement, l’air du soir caressant mes épaules nues hormis les bretelles rouges superposées de ma guêpière et de ma nuisette que je sentais glisser sur mon corps comme les voiles superposés des orientales ou des indiennes, m’imaginant un instant en en sari rouge, intégralement épilé de la tête au pieds, sans le moindre poil, lisse et douce, brune aux cheveux longs, maquillée, du vernis rouge, des bijoux

Pourtant, ce fut fugace car j’étais là, bien en demi femme rouge et noire, à ma mesure, chez un couple à qui cela semblait convenir.

Nous avons trinqué en entrechoquant nos verres de vin blanc que j’avais rempli comme la maîtresse de maison que je voulais être suivant les indications de Claudine qui avait rejoint Michel sur le canapé,  amenant le plateau dans le salon, leur tendant le verre frais et fruité. Je m’asseyais alors sur un fauteuil, leur faisant face, mon verre à la main, et fermant un instant les yeux,  j’ai posé le talon de ma mule droite sur le sol et croisé les jambes. Naturellement attirée par son poids, l’arrière de ma mule gauche s’est décollé de mon talon et s’est laissé pendre, seulement tenue par les brides du dessus du pied. Si on y ajoute un mouvement de balancement, c’est du « dambling », j’ai découvert ça récemment sur internet et le savourais alors

Nous entamâmes alors une discussion nourrie qui se prolongea par un dîner préparé par Claudine et entièrement servi par mes soins suivant ses indication. Ils n’eurent de cesse de me traiter comme une femme, avec courtoisie et  humour mais sans moquerie à aucun moment. Ils me complimentèrent à plusieurs reprises sur mes attitudes féminines. J’étais détendu, en confiance, à l’aise.

Au début, nous parlâmes de tout et de rien, de la vie en général  puis la conversation prit une orientation plus sexuelle avec le récit de nos expériences passées. Ils étaient dans le milieu libertin depuis longtemps, uniquement avec des couples ou des femmes bi, Michel n'ayant que très récemment des envies homosexuelles. Ils avaient reçu un travesti il y a quelques semaines mais elle semblait avoir été très prude et n'avoir pas répondu à ses attentes. Je sentais l'excitation doucement monter autour de la table...Au moment où j'allais me lever pour débarrasser, Claudine mit sa main sur ma nuque pour m'attirer vers elle et m'embrassa longuement. Je débarrassais la table pendant qu'elle préparait le café puis elle m'invita à aller rejoindre Michel sur le canapé. Ce dernier venait d'allumer la télévision et quelques secondes après, je vis apparaître un couple dont je compris rapidement que la femme était un travesti. Claudine vint s'asseoir et je me retrouvais entre eux deux. Claudine mit sa main sur ma cuisse, caressa mon bas et me complimenta à nouveau sur ma tenue qu'elle trouvait très féminine. Sur l'écran, se déroulait ce que j'aimais...Claudine me murmura à l'oreille de m'occuper de Michel. Je me tournais alors vers lui qui avait le regard fixé sur l'écran où la belle créature engloutissait un sexe de 20 centimètres avec un plaisir non dissimulé, lui tournais doucement la tête vers moi et posais très vite  mes lèvres sur les siennes. Il eut une brève réaction de recul avant de vite reposer sa bouche sur la mienne. Nous savourâmes ce premier contact intime quelques secondes avant que nos langues se mêlent et nos dents s’entrechoquent. Tout se mélangea, nos souffles, nos saveurs, nos muqueuses…Nos mains caressèrent frénétiquement des cous et des joues, des épaules musclées ou creusées, des bras fins ou puissants, des peaux frémissantes.

Je me penchais en avant, posais mon verre sur la table et l’embrassais à nouveau Je défaisais maladroitement les boutons de sa chemise et glissais les mains sur sa peau en collant le bas de mon corps contre lui. Je frottais tout mon corps contre le sien. J’avais envie de son sexe d’homme, que je ne sentais pas encore dur contre moi mais qui allait le devenir, j’en étais sûr…

Mes doigts courraient sur son torse, découvraient ses seins que j’effleurais longuement avant d’y poser les lèvres. Sa ceinture tomba et ma joue posée sur son ventre, j’ai déboutonné son pantalon  comme une aventure, mes mains sur ses hanches pour faire descendre l’obstacle vers ses pieds et lui enlever facilement.

De ce slip d’homme, que je trouvais subitement laid et grossier, comparé à un string de dentelle, tellement plus fin et délicat, dépassait un gland turgescent dont la seule vue me remplit d’un frémissement presque animal. J’étais sa femelle. Prendre du plaisir, pour lui, l’homme et en recevoir, moi, la femme.

Me laissant lentement glisser sur le sol, tout contre lui, j’approchais mon nez de son joli champignon circoncis collé à son ventre, m’emplissant de sa vue et de son odeur forte et musquée. Mes lèvres en découvrirent la saveur en se posant d’abord délicatement sur lui puis, le nez sur son ventre, en le prenant à pleine bouche, ma langue en dessinait le contour ourlé et s’enroulait sur ses crêtes. Longuement, je jouais avec lui, fermant les yeux,  m’emplissant de cette vie palpitante qui m’envahissait la bouche, le palais, le cerveau, mon membre tendu, le corps en feu

J’ai aimé mes mains faisant descendre son slip sur ses hanches afin de n’avoir plus d’obstacle, ma bouche accompagnant cette douce descente pour l’engloutir infiniment lentement jusqu’au fond de ma gorge, puis  remonter avec lenteur, dégustant chaque millimètre de la peau ce pieu chaud et palpitant. Je m’en remplissais et m’en satisfaisais avidement d’autant plus qu’il était complètement épilé et que tout était très doux.

Avec frénésie, je l’avalais, l’engloutissais, ouvrais ma bouche démesurément pour le recouvrir et ne le sentir pleinement qu’en posant mes lèvres sur la base de ce pieu qui était toute entier en moi, m’enivrant de ces odeurs puissantes. Quand il se pencha en avant et glissa délicatement ses mains dans le kimono, sous ma nuisette pour se poser sur mes seins, c’est moi qui gémis. Je le repris avec d’autant plus de plaisir qu’il semblait l’exprimer mes attentes, des gémissements entrecoupés de mots de poursuite, ses doigts excitaient mes pointes de seins en tournant doucement, c’était délicieux.
Je sentis alors les mains de Claudine d'abord sur mes hanches pour relever ma nuisette. Elle découvrit alors le plug et me fît remarquer que j'étais une "petite cochonne". Ecartant mon string, elle le retira et en voyant sa taille, elle eu une exclamation: "Pour quelqu'un de soi-disant très étroit...". Après quelques secondes, la douce sensation de fraîcheur d'un doigt lubrifié entrant lentement en moi me fit me détendre pour profiter pleinement de sa venue. J'en oubliais un bref moment le gland de Michel qui me remplissait la bouche et que j'aspirais alors avec d'autant plus de vigueur, mes doigts faisant délicatement coulisser la fine peau sur mes lèvres  Je me positionnais bien à quatre pattes pour m'ouvrir au maximum à Claudine qui faisait maintenant aller et venir son doigt librement en moi. Voyant cela, elle en introduisit rapidement un deuxième et joua en moi jusqu'à pouvoir les tourner dans tous les sens. A un moment, elle se colla contre moi pour me demander si tout allait bien et, sans sortir ses doigts de moi, vint lécher le sexe tendu de Michel qui sembla apprécier nos deux langues sur lui. Je lui confirmais alors qu'elle pouvait aller plus loin, ce qu'elle fit rapidement en rentrant facilement trois doigts qu'elle fit jouer librement en moi.
"Je ne suis pas très bien installé" dis je. Claudine, sortant ses doigts, proposa d'aller dans la chambre. Nous nous redressâmes tous en même temps. Sur l'écran, le travesti suçait toujours avidement le sexe impressionnant de l'homme. Je suivis alors Michel, nu devant moi, le sexe dressé, jusqu'à une grande chambre dont la lumière tamisée était propice à tous les plaisirs. Michel s'allongea sur le dos. Derrière moi, je sentis les mains de Claudine m’entourer pour défaire la ceinture de mon kimono puis le faire glisser sur mes épaules et me l’ôter. Je me collais alors à Michel, l'embrassant à pleine bouche et sentais son sexe dur contre mon ventre.
Me redressant, je pris alors deux oreillers, les positionnait sous mon ventre afin d'avoir les fesses bien relevées et je descendis savourer Michel à pleine bouche. Celui-ci avouait son plaisir et m'encourageait de propos gentils. Ses mains reprirent alors mes seins. J'ai sentis ceux de Claudine s'écraser sur mon dos et ses doigts se réapproprier leur espace naturel, encore plus frais du lubrifiant qu'elle venait de remettre. Très vite, elle en rentra quatre jusqu'à la garde. Jamais je n'avais été aussi dilaté sans la moindre douleur. Je respirais profondément pour relâcher tout mon bas-ventre et accepter pleinement sa caresse. Michel ne me caressait plus les seins mais appuyait sur ma tête pour accompagner mes grands mouvements de va-et-vient sur sa queue tendue à tout rompre. Je savais qu'il était très endurant et que j'allais en profiter longtemps. Inlassablement, Claudine m'élargissait et commençait à tourner ses doigts dans tous les sens. Un instant, je me suis demandé si elle n'allait pas tenter le fist.. Au bout d'un long moment, elle retira ses doigts et je l'entendis me dire que je semblais être prêt, si je le souhaitais. Malgré mes doutes, j'acquiesçais. Je la vis alors approcher de mes yeux un gode ceinture noir comme de l'ébène d'une vingtaine de centimètre. Je frémis à la fois de peur et d'excitation. Au bout de quelques instants, le temps de le fixer, elle se pencha sur moi et je sentis dans la raie de mes fesses le contact du caoutchouc frais.

Je la vis alors approcher de mon nez un petit flacon ouvert. Du poppers ! J'inspirais à fond et quasi instantanément, je ressentis une intense vague de chaleur, mon coeur qui s'emballait, mon sexe jusqu'alors mou se redresser et surtout ma caverne se détendre et s'ouvrir comme une fleur à la rosée du matin. Je sentis alors le gode se poser à l'entrée et glisser en moi comme jamais je n'aurai pu le penser, d'une poussée douce mais continue, jusqu'à sentir les cuisses de Claudine contre les miennes. Claudine m'empalait avec ses vingt centimètres de gode et je l'acceptais pleinement. J'étais rempli et comblé par ces deux sexes dans mes deux orifices ouverts au plaisir. Claudine, plantée au fond de moi, me demanda si ça allait et lâchant le sexe de Michel, je grognais un oui étranglé. Elle se retira alors lentement puis revint doucement et encore et encore. J'avais la bouche sèche, parfois des réflexes nauséeux quand Michel levait son bas-ventre pour mieux rentrer au fond de ma gorge, le ventre en feu car l'effet du Poppers s'était dissipé et mal aux genoux à force d'être à quatre pattes. Et en même temps, je voyais le satin noir de ma nuisette rouge découvrant mon soutien-gorge rouge, les bretelles baissées sur mes bras, le noir de mes bas et sentais les pointes de mes sandales et mes orteils incrustés dans le lit, je profitais goulûment de ce sexe turgescent qui glissait dans ma bouche et de celui qui me fouillait le ventre de plus en plus vite, les mains de Claudine crispées sur mes hanches, ses seins écrasés sur mon dos. Je me mis alors à engloutir Michel au rythme de Claudine et me laissait aller à cette double pénétration tant souhaitée, savourant encore la réalisation de mes fantasmes tant désirés. Claudine allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, ressortait le gode presque totalement pour se renfoncer jusqu'à la garde. Elle se mit à me dire des mots crus, me traitait de salope, tu aimes ça, hein, te faire prendre comme la petite salope que tu es, que je t'encule bien profond pendant que mon chéri te viole ta bouche de petite pute, de la petite pute que tu es pour nous deux...Pendant quelques secondes, j'ai eu peur, me suis contracté et redressé. Ils l'ont senti tous les deux car Claudine s'est mise à m'embrasser dans le cou et j'ai mis les doigts de Michel sur mes seins qu'il a recommencé à caresser en tournant doucement de la pointe des doigts. J'ai demandé à Claudine une serviette et qu'elle remette du lubrifiant. Me penchant alors à nouveau sur le sexe de Michel, j'ai recommencé un va et vient régulier de ma bouche et de mes lèvres jusqu'au fond de ma gorge tout en le caressant de ma main. A ma demande, Claudine a écarté mon string et mes fesses afin de me pénétrer à nouveau. C'était plus frais et j'étais bien ouvert. A nouveau, je me suis abandonné, les yeux fermés, à ces sexes en moi et ces mains sur moi. Michel me disait que ça venait. Que c'était bon, que je suçais bien. Je le sentais se crisper sur ma tête. Ma langue l’effleurait à la sortie et mon palais le savourait longuement à la descente, en un doux va-et-vient dont je prenais le rythme, régulier, qui nous comblait tous les deux. Son bassin commença à accompagner mes goulées, son plaisir montait. Je ralentis alors le glissement de mes lèvres, accroissant ses sensations, mes mains caressaient ses fesses qui se contractaient de plus en plus vite. Des spasmes, des contractions, des mains crispées, des avancées désordonnées, un liquide chaud, suave et parfumé, un lait musqué se déversa dans ma bouche, en plusieurs jets puissants qui se succédaient. Je ne l’avalais pas et recrachais dans la serviette son lait mais le reprenais aussitôt pour accompagner son plaisir jusqu’au bout. Je le léchais complètement. J’étais toujours aussi excité, le ventre brûlant mais fier aussi de ce plaisir donné, peut-être un fantasme de faire mieux qu’une femme. Il ne bougeait plus, les yeux fermés. Claudine, voyant cela, s’était arrêtée et à ma demande, est alors sortie de moi. Je restais complètement ouvert pendant quelques minutes avec la sensation d’un grand vide en moi.  Je me relevais et regardais autour de moi, cet homme nu qui venait de jouir dans ma bouche, cette belle femme pulpeuse et souriante, en lingerie excitante, le gode ceinture toujours tendu et moi habillé en femme.

« Je pense que nous allons tous nous reposer » me dit alors Claudine.

 « Tu peux aller dans la salle de bains, nous irons plus tard… »

« Bonne nuit et à demain »

Je sortis alors de la chambre, récupérais mon kimono dans le salon, dont je me recouvrais, et me rendis dans la salle de bains où après m’être déshabillé, je me douchais.

Enfin, épuisé, je m’écroulais sur le lit et m’endormis instantanément.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par michel
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