Samedi 28 avril 6 28 /04 /Avr 00:30

Je me réveillais naturellement tôt, vers huit heures. J'avais le ventre douloureux. Immédiatement, se posa la question de savoir comment j’allais m’habiller. En effet, je n’avais que des tenues de nuit. Et je revenais toujours sur ma pilosité. Impossible de me mettre les jambes nues. J’allais être ridicule en journée. Je choisis alors de mettre simplement un string et un soutien-gorge blanc sous un kimono de la même couleur et des sandales assorties pour aller à la salle de bains. La maison était silencieuse. En me regardant dans la glace et en voyant les poils jaillir de mon string et de mon soutien-gorge, je n’hésitais pas très longtemps. Saisissant ma tondeuse, je faisais rapidement diminuer la pilosité de mon torse et de mon pubis, laissant néanmoins une couche de poils à la fois plus raisonnable et plus discrète, mais toujours présente. C’était déjà mieux et ne changeait pas trop. Il restait le problème des jambes et des bras. Et là, l’épilation n’était pas possible car trop visible Je me rasais soigneusement le visage puis me parfumais et me crémais. Pas de plug, c'était trop sensible et puis j'étais bien ouvert. Je décidais finalement de me mettre tout en blanc : bas, porte-jarretelles, string, soutien-gorge, nuisette, kimono et sandales à lanières de 12 cm de talons. Encore une tenue de nuit mais je n’avais pas le choix, on verrait bien !

Il n’y avait personne. Il faisait un temps magnifique et la cuisine était très ensoleillée. Mes talons claquaient sur le carrelage blanc. Comme ils n’avaient fermés aucune fenêtre hier soir et que je ne voyais aucun vis-à-vis, je supposais que je pouvais évoluer ainsi sans risque, ce que je fis. Une sensation étrange et excitante, d’évoluer ainsi, libre et contraint à la fois. Faisant comme chez moi, je commençais à dresser  la table pour le petit-déjeuner. J’eu à peine le temps de me servir un café que la porte s’ouvrit et Claudine apparût. Je souris car elle portait une nuisette blanche, plus opaque que celle d’hier soir, laissant néanmoins entrevoir l’échancrure de ses seins pleins et des mules assorties à talons moyennement hauts. Elle était très sexy. Elle souris aussi et me complimentât sur ma tenue :

« En plus, nous sommes assorties… »

Détendu, nous échangeâmes en partageant le petit déjeuner. Elle était positive et attentive, curieuse et pleine de joie de vivre et je lui avouais vite mes conduites dans la salle de bain, mes doutes et mes envies. Cela n’aurait tenu qu’à moi, je me serai épilé instantanément de la tête aux pieds, maquillé, vernis les ongles des mains et des pieds de rouge vif, non, de blanc en fait, coiffé d’une perruque ni trop sombre, ni trop longue, et habillé d’un ensemble string et soutien-gorge blanc, une robe simple, blanche, comme les mules à talons très hauts pour l’intérieur ou des sandales à talons moyens pour sortir comme une femme entre femmes. Mais ce n’était pas possible.

« Nous avons la journée pour réaliser tes envies qui sont aussi les nôtres, et puis, nous en parlerons, nous avons un projet pour ce soir, je t’en parlerai plus tard »

« Viens »

Me tendant la main, elle m’entraînât  vers sa propre salle de bains.

« Déshabille-toi »

D’abord avec un épilateur, puis un rasoir, elle perfectionna mes ébauches, sans aller beaucoup plus loin, je lui avais dit. Des cheveux aux orteils, elle affina ma demi féminité à ma mesure dictée. Et je me retenais, si cela ne tenait qu’à moi, j’étais entièrement lisse et douce dans l’instant, point de départ obligé et tant fantasmé de toutes les transformations. Mais non.

Debout, elle me faisait tourner sur moi-même, me palpait, écartait, soulevait, ouvrait. Dépilait, adoucissait, lissait. Me féminisait tout en ne cessant de me parler, de me complimenter, de s’amuser en me rassurant.

Je finis à quatre pattes et elle ne fit que me féliciter sans rien faire de plus sur ma féminité. J’étais fier.

Satisfaite, elle m’engagea à me doucher, sans quitter la pièce, ni arrêter de me parler. Bien séché, elle me fit asseoir devant le miroir et me regardant à travers lui, penchée sur mon épaule, m’expliqua que ce soir, elle me maquillerait, me ferait les ongles, me mettrait des bijoux, me rendrait femme si nous trouvions une perruque dans la journée. C’était impératif à nos yeux et allait être un des buts de ce début de journée. J’étais très excité.

« Prépare-toi, le temps de regarder rapidement sur Internet, nous allons en ville »

Dans ma chambre, je me retransformais en homme, gardant néanmoins mon string et mon soutien-gorge. Je n’hésitais pas une seconde.

Elle réapparut  en femme élégante, simplement habillée d’une robe de demi-saison toujours blanche, des sandales assorties à petits talons, une chaîne à la cheville, assez maquillée. Charmante et provocante à la fois.

Quelques minutes de voiture, un parking, de la marche, des entrées seules dans des boutiques, de coiffeurs surtout et puis, enfin, une invitation à l’accompagner. Une sorte d’institut de beauté, des perruques en vitrine, un endroit féminin.

Une vendeuse, ouf, la cinquantaine fatiguée, ouf, avenante.

J’étais fébrile. Claudine n’hésitât pas une seconde.

« Bonjour, nous cherchons une perruque pour monsieur »

Une ébauche de sourire, pas de commentaire. Re ouf.

« Entrez, installez-vous, nous allons voir ça. Que désirez-vous ? »

Mon cœur battait à 140. Claudine m’invitât de la main à m’asseoir devant la table et le miroir de démonstration. Je bafouillais.

« Je ne sais pas ce qui peut m’aller. Pas trop long, ni trop sombre. Quelque chose de doux »

« Je reviens »

Par michel
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