Vendredi 21 septembre 5 21 /09 /Sep 17:39




    Quelques semaines plus tard, j’ai rencontré Paule. Paule a 45 ans, est mariée, vit dans le Nord de la France mais vient régulièrement passer quelques jours dans le sud, dans son petit appartement au bord de la mer, où elle peut s’épanouir en femme. Nous avions déjà conversé par mail quelques mois auparavant mais n’avions pu nous rencontrer.
    Paule m’attendait à la fenêtre de son petit appartement. Elle m’a avoué observer l’objet de ses rencontres avant de se dévoiler car elle avait déjà eu quelques mauvaises surprises…
    Petite jupe noire, chemisier blanc, bas couleur chair, bottes noires, perruques, maquillage et bijoux…Elle était femme, tout simplement ! Timidement, nous avons d’abord conversé autour d’un café et de quelques cigarettes, échangeant sur nos expériences passées. Puis, elle m’a incité à aller m’habiller dans la salle de bains.
    J’avais choisi une parure entièrement blanche : bas à coutures, porte-jarretelles, string, soutien-gorge, nuisette, jupon et fin peignoir de nylon ainsi que des sandales à talons hauts Daniel Hechter, blanches elles aussi.
    Je crois qu’elle ne s’attendait pas à autant de « sophistication » compte tenu de mon aspect masculin. Son commentaire m’a vraiment fait plaisir : « mais tu pourrais te travestir !… ». Eh oui, il suffirait que je sois épilé…
    Je me sentais bien, à évoluer ainsi en femme avec elle. Nous avons continué à discuter puis Paule m’a invité à venir m’asseoir à coté d’elle sur le canapé. Elle a posé sa main aux ongles rouges sur ma cuisse, a tourné la tête et nos lèvres se sont jointes. Nous nous sommes longuement embrassés pendant que nos mains courraient sur nos vêtements. Ses doigts ont défait la ceinture de mon peignoir et, à ma demande, se sont glissés sous ma nuisette, qu’elle a enlevé puis sous mon soutien-gorge pour s’emparer de mes pointes de seins tendues par le désir.
    A mon tour, je lui ai enlevé son chemisier, découvrant un soutien-gorge rouge et lui ai caressé moi aussi les seins. Sa peau était chaude et douce. Puis s’agenouillant devant moi, Paule a fait glisser mon jupon, libérant mon membre tendu sous le string qu’elle a lentement englouti de ses lèvres rouges. Quel bonheur…J’étais là, étendu, jambes écartées, tout de lingerie blanche vêtu, offert à sa douce caresse…Interminablement, sa bouche m’a pris et repris, ses mains courraient de mes seins brûlants à mon orifice encore fermé.
    Plus tard, c’est moi qui ai relevé sa jupe, découvrant un slip et un porte-jarretelles rouge tendu par son sexe court mais dur, que j’ai libéré, puis léché à petits coups de langue pour en découvrir la saveur avant de m’en emparer longuement du gland jusqu’à la garde. J’adore, je l’ai déjà dit et le répèterai, avoir un sexe dans ma bouche, le faire glisser sur mes lèvres, l’aspirer, l’humidifier, le happer…J’adorais entendre les gémissements de Paule, témoignant du plaisir que je lui donnais. Agenouillé, mes mains caressaient ses douces boules, l’intérieur de ses cuisses, ses fesses,…
    C’est à ce moment qu’elle m’a demandé si je voulais la prendre. J’ai alors levé les yeux sur elle et mon regard voulait tout dire… « Prépare-moi… » m’a t’elle murmurée en avançant le bassin. Quittant son membre luisant de ma salive, mes lèvres humides se sont alors posées sur sa fleur lisse et frémissante. C’était la première fois…Ma langue a découvert sa caverne secrète et, progressivement, je l’ai senti lentement se détendre jusqu’à s’ouvrir sous ma pression puis gémir quand ma langue atteignit ses plis intérieurs. Elle me demanda ensuite de prendre un gel lubrifiant dans la salle de bains.
    Quelles sensations ! Je les savourais…Moi, debout, le sexe dressé, en bas, porte-jarretelles et soutien-gorge blanc, marchant dans son appartement avec le claquement de mes talons hauts et Paule, en lingerie rouge et bottes noires, offerte et pleine de promesses nouvelles…
    Pendant que nous nous embrassions longuement, mon doigt lubrifié a doucement massé le tour de sa fleur avant de s’y introduire lentement. Paule me serrait dans ses bras, m’embrassait dans le cou, en s’ouvrant à ma caresse pour accepter trois de mes doigts jouant dans son ventre. Puis se redressant, elle alla chercher un préservatif qu’elle fit glisser sur moi puis qu’elle enduisit de lubrifiant.
    Enfin, elle me fit asseoir sur le canapé et posa ses cuisses de part et d’autre des miennes. Paule était tellement ouverte que je sentis à peine mon gland entrouvrir sa fleur et déjà, j’étais en elle. Je m’arrêtais, ne voulant pas lui faire mal mais je sentis vite son bassin appuyer sur mes cuisses pour me faire rentrer encore plus en elle. Nous nous serrions dans nos bras, nos souffles et nos langues entremêlées, la sueur glissant sur nos corps tremblant d’excitation. Elle me disait que c’était bon, si bon d’être femme…Quand j’ai senti ses fesses contre mes boules, j’ai su qu’elle m’avait prise complètement (lapsus révélateur ?).
    Elle m’a alors pris mes mains pour les poser sur ses hanches et m’a murmuré de venir. Fort. Quand ses doigts se sont posés sur mes seins, je n’ai pu me retenir…La portant et la laissant tomber de tout son poids sur mon membre tendu, encore et encore, nous nous embrassions. Trop vite, j’ai sentis monter le plaisir, tenté de ralentir mais les mouvements de Paule remplacèrent les miens, ses fesses claquaient sur mes cuisses, le ballet de ses doigts et de sa langue s’accélérèrent, son souffle chaud aussi. Je n’étais que plaisir et elle aussi, apparemment…J’ai jouis longuement dans son ventre et senti ses bras renforcer leur étreinte sur moi à ce moment là.. Nous sommes restés longtemps ainsi, à profiter de ce plaisir partagé. Pourtant, quand je lui fis la remarque qu’elle n’avait pas joui, elle me regarda avec un petit sourire et me dit que « ça valait toute les éjaculations du monde »…Moi aussi, j’ai hâte de connaître ce plaisir ultime !
    Nous avons encore profité un long moment de ce simple bonheur partagé en femmes puis, à regrets, j’ai dû la quitter.
    Une semaine après, j’ai reçu un mail de Paule, rentrée chez elle. Elle avait apprécié ma douceur et ma tendresse, m'avouant que c'était seulement la deuxième fois…
    Quelques mois plus tard, elle était de nouveau dans le sud mais je n’étais, hélas, pas disponible et je n’ai plus eu de nouvelle d’elle.
    Je pense souvent à Paule. J’aimerai bien la revoir.
   

   



   

Par michel
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Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 11:53



    Toujours grâce à Internet, j’ai noué des contacts avec Marianne, travesti amateur de mon âge, marié lui aussi mais disponible, comme moi en journée. Après de longs échanges de mails et de photos, nous avions pris rendez-vous plusieurs semaines à l’avance pour une après-midi tranquille dans ma maison de campagne.
    J’étais arrivé plusieurs heures avant afin de bien me préparer. Après une douche soigneuse et, pour la première fois, un lavage intime à l’aide d’une poire, je me suis parfumé. Nu, j’ai choisi des bas à couture rouges, un porte-jarretelles noir, un string et un soutien-gorge noir et rouge que j’ai enfilé avec délectation. J’aurais tellement aimé être totalement épilé, lisse et doux de la tête aux pieds, pouvoir m’appliquer délicatement un vernis rouge sang sur mes ongles et un rouge à lèvres assortis, glisser doucement une perruque noire , des bijoux,..afin d’être vraiment femme. Tant pis…
    Après avoir enfilé un jean et un sweat-shirt, je suis sorti dans la rue accueillir Marianne, qui était lui aussi en homme. Quel plaisir d’être dehors en lingerie sous mes vêtements d’homme, de sentir le nylon de mes bas crisser sous mon jean à chaque pas, du contact de la ficelle de mon string entre mes fesses et puis, de croiser mes voisins qui ne se doutent de rien…
    D’emblée, le contact avec Marianne a été agréable, nous nous sommes embrassés sur les joues comme deux filles…Il portait des lunettes noires, n’était pas très grand mais semblait très doux.
    Il s’est enfermé dans la salle de bains pendant que, dans la chambre, je fermais les volets afin d’avoir une pénombre propice. Après m’être déshabillé, j’ai enfilé une paire de sandales à talons hauts noirs, une nuisette rouge et un peignoir de nylon noir. J’étais un peu anxieux mais surtout très excité…
    Il m’est apparu en guêpière rouge, bas et string noirs, jupe rouge et dommage, en ballerines noires et non en talons hauts…mais maquillé et portant une perruque noire. Il avait un petit peu de ventre…
    Immédiatement, nos corps se sont collés l’un contre l’autre, mon cœur battait vite. Il me dit que j’étais belle, dans ma tenue, excitante…Il était rassurant, il savait que c’était la première fois.
    Nos bouches se sont jointes, nos langues mêlées, la sienne dansait vite autour de la mienne. Nos mains courraient sur la soie et la dentelle couvrant nos corps, sur nos bras nus et frémissants. J’étais bien…
    Il a défait la ceinture de mon peignoir et l’a fait glisser le long de mes épaules, découvrant les fines bretelles de ma nuisette sur celles de mon soutien-gorge. Ses mains ont effleuré la bosse de mon membre tendant le nylon puis, à ma demande, se sont introduites sous ma lingerie, pour me caresser doucement les seins du bout des doigts. J’ai cru défaillir…Une onde de plaisir a parcouru tout mon corps en un long frémissement.
    Fébrilement, mes doigts ont dégrafé sa jupe libérant son sexe tendu à travers son string, que j’ai empaumé délicatement. Puis, après lui avoir demandé de s’asseoir au bord du lit, les jambes écartées, je me suis agenouillé et j’ai doucement posé mes lèvres avides sur son gland offert. Quelle sensation de douceur, de chaleur, de vie que d’engloutir dans ma bouche ce membre palpitant…Je ne comprendrais jamais les femmes qui n’aiment pas faire une fellation. C’était tellement bon de faire courir mes lèvres sur cette crête de chair, d’enrouler ma langue sur son gland, de le sentir le plus profond possible dans ma bouche et d’aller et venir doucement au rythme de ses indications. J’aimais l’odeur et le goût de son sexe, cette plénitude d’être comblée. C’était une révélation.
    Au bout d’un long moment, il me releva car lui aussi voulait me prendre dans sa bouche. Debout, il m’ôta ma nuisette puis fit glisser les bretelles de mon soutien-gorge sur mes bras pour libérer mes pointes de seins tendues et m’allongeât sur le lit. Son corps chaud sur le mien, nous nous embrassâmes à nouveau, puis ses lèvres d’un coté et le bout de ses doigts de l’autre, il me caressa longuement les seins. J’étais déjà au bord de l’explosion quand il m’engloutis délicatement, ses doigts humides de salive roulant doucement sur mes seins. Je ne savais plus où j’étais. J’avais du plaisir partout…
    Beaucoup plus tard, allongés sur le côté, après un 69 interminable, j’ai senti, accompagné par ses gémissements, les spasmes de la jouissance monter dans son membre. J’ai accueilli  avec bonheur ce liquide suave et chaud inonder ma bouche en longues saccades incontrôlables. Je m’en suis délecté, le savourant lentement sur mon palais, hommage ultime à notre satisfaction mutuelle.
    Quelques secondes après, j’ai pris, moi aussi, mon plaisir en libérant ma semence dans sa bouche accueillante, après avoir crié de bien-être. Contrairement à moi, il a tout recraché dans une serviette. Et alors, quelle importance…
    Ensuite, allongés côte à côte, nous avons longuement parlé de nos vies et de notre passion commune. Nous nous sommes découvertes actif et passif tout les deux, prêts à tout dans le respect mutuel de nos désirs. Hélas, il devait rentrer au domicile conjugal assez rapidement et nous nous sommes promis de nous revoir.
    Ce qui, hélas, ne s’est pas produit.
    J’ai néanmoins reçu un mail de sa part il y a quelques mois, m’incitant fortement à se revoir afin d’élargir la gamme de nos jouissances.
    Ce que je ferai avec plaisir, ma chère Marianne, si tu me lis, ayant gardé un très beau souvenir de cette rencontre initiatrice.

Par michel
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Jeudi 13 septembre 4 13 /09 /Sep 19:00


    Après m’être enfin décidé à vivre mes fantasmes (ce qui n’est pas toujours une bonne idée..), j’ai passé quelques annonces sur Internet et j’ai noué des  contacts. Pascal, la quarantaine, lui aussi marié et portant de la lingerie, souhaitait une première expérience « soft » d’après ses dires. A la place de ma séance de sport, nous avions pris rendez-vous dans un village voisin. Il avait en effet les clefs d’une maison inhabitée dans laquelle il faisait des travaux. Il me ressemblait un peu, mince et un peu dégarni, pas très beau…. Dès le premier contact, je n’étais pas réellement à l’aise, mais je crois que je ne le serai jamais vraiment !
    Dans la maison en travaux, nous nous sommes déshabillés puis habillés (logique…) dans deux pièces différentes. J’étais tout en noir : bas, porte-jarretelles, soutien-gorge, string, peignoir de soie et sandales à talons hauts. J’étais très excité…
    Je fus déçu de le voir entrer vêtu simplement de bas auto-fixant noirs et d’un « vieil » ensemble culotte et soutien-gorge blanc, digne de ma grand-mère... Néanmoins, allongés sur le lit, nos mains ont commencé à se découvrir. Son sexe, circoncis et de petite taille, tendait sa culotte. Je lui demandais de me caresser les seins, ce qu’il fit sans beaucoup de douceur. Il ne voulait pas que l’on s’embrasse ni, plus tard, que je le prenne dans ma bouche. Tout cela se conclut assez vite par une masturbation réciproque, très peu sensuelle à mon goût, qui ne me laisserait pas un souvenir impérissable…
    Paradoxalement, le lendemain, Pascal m’envoya un mail décrivant une satisfaction sans limite de ce moment…Je n’ai pas donné suite.

    J’ai besoin de douceur, qu’on me caresse longuement le corps et surtout les seins, qu’on m’embrasse, qu’on me déshabille lentement, …
    J’ai envie de douceur, de caresser longuement le corps de l’autre, de l’embrasser, de le lécher, de le découvrir avec ma bouche,..
    Mais, j’ai aussi envie de féminité, de soie et de dentelles, de cheveux longs et de maquillages, de vernis et de bijoux,…
    Alors…

Par michel
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Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 13:35

Pourtant, rien n’est simple…
    J’ai à la fois envie d’être femme avec un homme, tout en ne pouvant me travestir que de façon vestimentaire. Je ne peux pas m’épiler et donc pas me féminiser comme je le souhaiterais (maquillage, perruques, vernis à ongles, bijoux,…). Et trouver un homme qui désire un « demi-travesti » n’est pas facile…
    Et en même temps, j’aimerai être femme avec un travesti actif pour partager cette passion du 3ème sexe qui m’obsède. Et trouver un travesti qui désire un « demi-travesti » ne semble pas non plus courrant…
    Difficile, non ?

Par michel
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Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 13:25

  A 28 ans, je me suis marié. A long terme, ma femme s’est révélée assez « bloquée » dans le domaine de la sexualité : pas de caresses buccales, pas de lingerie, …Et surtout, elle voulait un homme, un vrai, hétérosexuel viril exclusif…C’était raté !
    J’ai mis longtemps à me rendre compte que j’aurais du attendre et soit ne pas me marier pour vivre complètement mes fantasmes soit trouver une femme attirée par une sexualité ambivalente.
    Après 15 ans de mariage, et après avoir continué à me travestir en cachette sans qu’elle se doute de quoi que ce soit, mes pulsions profondes ont repris le dessus.

Par michel
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Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 11:24


    Bien qu’à 15 ans, ma sexualité se développait en pratique sur le mode hétérosexuel, avec un attrait majeur pour les filles, j’avais déjà eu, chez les scouts, des expériences homosexuelles limitées à des caresses manuelles. Certes, à cet âge, quel garçon n’a pas expérimenté quelques masturbations réciproques ? Néanmoins, j’en avais gardé un souvenir marquant qui m’excitait fortement chaque fois que j’y repensais.
    Puis, très vite, je crois, quand je me travestissais, mes fantasmes se sont précisés et axés sur l’envie d’être femme avec un homme. Mes scénarios types étaient basés sur une rencontre lors d’achats de lingerie où un homme me regardait et me faisait comprendre son attirance et ses désirs.
    Nous partions alors chez lui et je me comportais alors passivement, le caressant avec mes mains et ma bouche, après qu’il m’eut déshabillé et excité en me caressant longuement les seins. J’ai en effet une hypersensibilité des seins, qui sont une zone érogène majeure. Je ne peut pas avoir de plaisir sans caresse sur les seins…ce qui est féminin, non ?
    Malgré tout, une relation homosexuelle est restée très longtemps (30 ans !) un fantasme. Pourtant, j’avais un ami qui m’avait emmené passer une soirée dans une boite de transformistes et je n’avais pas du tout été tenté.

Par michel
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Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 10:56



    Néanmoins, après une phase d’achats d’un peu tout et surtout n’importe quoi (chaussures trop petites, lingerie trop grande,…), je me suis rapidement orienté vers la lingerie de qualité : Aubade, Lise Charmel, Chantal Thomas,…Quelle beauté, quelle finesse du dessin et des matières, quelles sensations d’élégance et de féminité exacerbée !
    J’adore harmoniser les couleurs : talons hauts et porte-jarretelles rouges, bas noirs, string et soutien-gorge noir et rouge, l’inverse avec des bas rouge…ou tout en blanc de la tête aux pieds !
    Et puis des nuisettes en soie, de fines robes de chambres, des  jupes en lin ou en soie, fendues jusqu’en haut des cuisses permettant d’entrevoir les jarretelles et la naissance des bas, des chemisiers ornés de dentelles…
    Quel bonheur, quelle excitation de passer quelques heures ainsi habillé, de se voir, de déambuler en entendant le crissement du nylon ou le doux claquement les talons hauts sur le sol !

Par michel
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Mercredi 5 septembre 3 05 /09 /Sep 11:17



    Très vite, j’ai complété ma tenue en continuant d’emprunter à ma mère  slip, soutien-gorge, jupe, chemisier et surtout des chaussures à talons hauts qui allaient de pair avec la lingerie. Comme ce n’était pas son style, il m’a fallu en trouver ailleurs. Ce qui n’était pas facile compte tenu de mes exigences : je voulais exclusivement des sandales à fines lanières, talons hauts d’au moins 10 cm et découvert, permettant de voir au mieux les bas et les pieds…Heureusement, à Paris, il existe de nombreuses boutiques de chaussures d’occasion vers Clichy et puis surtout les puces de Saint Ouen. C’est là, que pour quelques francs à l’époque, j’ai trouvé mes premières sandales à talons hauts. J’ai découvert par la même occasion que l’on pouvait acheter de la lingerie pour un prix dérisoire…Ainsi, le dimanche matin, j’achetais bas, strings, guêpières et nuisettes de toutes les couleurs et me constituais ainsi une garde-robe étoffée.


  

Par michel
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Mardi 4 septembre 2 04 /09 /Sep 10:36




    Les collants de ma mère étaient non seulement trop petits mais aussi de couleur chair, couleur qui ne m’a jamais plu. Et puis, les collants, quel manque de sensualité par rapport aux bas et au porte-jarretelles…
    Contrairement à beaucoup d’hommes qui portent de la lingerie, je n’ai jamais ressenti la moindre gène à en acheter moi-même. Et si la vendeuse a dû trouver surprenant de voir un garçon de 14 ans venir acheter des bas et un porte-jarretelles pour sa maman, elle n’en a rien montré…
    Je me revois très bien rentrer dans cette petite boutique, pas très loin de chez moi, après avoir garé ma mobylette devant et attendre sagement, en apparence, que les clientes précédentes aient été servies. Car malgré tout, j’étais fébrile et je crois que ma voix était mal assurée. Néanmoins, j’étais bien préparé : j’avais une liste détaillée avec les couleurs (simple, je voulais du noir…) et les tailles (repérées dans un catalogue type La Redoute).
    J’ai ainsi acquis ma première paire de bas noirs à couture Clio et mon premier porte-jarretelles noir. Celui-ci était très simple, sans fioritures et je l’ai gardé bien longtemps, même si je ne le portais plus. Il était usé, trop lâche, les crochets déformés et plusieurs fois maladroitement consolidés. Comme un talisman…
    L’attente du moment de les porter a été insoutenable. Je ne pensais qu’à ça. Enfin, lors d’une après-midi solitaire, quelles sensations d’ouvrir l’emballage de plastique, de faire glisser le carton intérieur sur lequel les bas étaient pliés, de les toucher du bout des doigts, de les déplier délicatement et de les regarder posés sur le lit…
    Puis après les avoir repliés, j’ai introduit mes pieds dans les bas, placé les talons méticuleusement dans les renforcements et je les ai déroulés progressivement sur mes jambes jusqu’en haut de mes cuisses, les coutures bien droites.
    J’étais déjà très excité…
Je sortis le porte-jarretelles noir de son sac en papier, le dépliais et l’enroulais sur ma taille. Après avoir fermé les deux crochets, je le fis tourner pour mettre ces derniers derrière. Les bas furent fixés aux quatre attaches avec difficulté...je n’avais pas encore l’habitude ! J’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois pour que tout soit parfait : quand les jarretelles étaient symétriques, c’était les coutures qui tournaient…
Enfin, je me levais et marchais dans ma chambre puis celle de mes parents pour me regarder dans la glace de leur penderie. Quel plaisir, quels frémissements de déambuler et de se voir ainsi vêtu, demi nu, un peu plus demi femme…

Par michel
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Lundi 3 septembre 1 03 /09 /Sep 12:55



    J’ai l’impression que tout a commencé avant l’adolescence, vers 12 ans, au travers de la lecture de SAS, vous savez, ces romans d’espionnage ayant pour personnage principal Son Altesse Sérénissime le Prince Malko Linge, « barbouze de luxe » de la CIA. La bibliothèque de mes parents était très éclectique, allant de la Pléiade au Kama-Sutra, et si mes études m’obligeaient à lire plutôt les premiers, je tendais naturellement vers les seconds…
    En effet, la vie sexuelle de SAS était très riche et ses partenaires portaient la plupart du temps des tenues provocantes et notamment des bas, des porte-jarretelles et des chaussures à talons hauts. Je ressentais alors une grande excitation, à posteriori plus liée à la description de la lingerie qu’à celle des ébats de SAS…
    A une époque où mes premiers émois sexuels en étaient au stade de balbutiements naissants, ces sensations induites par la simple description de la lingerie m’amenèrent naturellement à tenter de les concrétiser en fouillant dans les sous-vêtements de ma mère. En 1975, la modernité faisant son chemin, les collants avaient hélas remplacés depuis longtemps les bas et les des porte-jarretelles.
    Un samedi soir, en l’absence de mes parents, c’est donc en enfilant une paire de collants couleur chair de ma mère, bien trop petits pour moi, que j’ai initié cette passion. Quelle sensation de douceur et de fraîcheur de ressentir cette fine enveloppe de nylon glisser et couvrir le bas de mon corps…Quelle excitation de me voir ainsi, demi nu, allongé sur le lit, déjà demi femme…

Michele venait de naître.

Par michel
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