Samedi 24 août 6 24 /08 /Août 11:46

Mes envies de féminisation m'envahissent...Bien que toujours non épilé, je viens de réduire ma toison pubienne de façon raisonnable avec ma tondeuse. Pas lisse de la tête aux pieds, loin de la, cela irait merveilleusement bien avec ma silhouette actuellement très longiligne, mais le pas n'est pas encore franchi . Juste quelques poils hirsutes en moins...
    En effet, ce week-end, j'ai rendez-vous avec un couple, qui m'avait contacté il y a longtemps mais n'ayant que peu de disponibilité, nous n'entretenions qu'une relation épistolaire, mais régulière car tout de suite très complice. Nous semblions tous très désireux de passer la soirée de samedi ensemble.  J'en étais ravi et très excité. Mais ils étaient tous les deux lisses et anti-poils d'où mon effort...J'ai décidé par ailleurs de me mettre en bleu, mon ensemble Aubade, soutien-gorge/string/porte-jarretelles, une paire de bas noirs à couture, une jolie nuisette et une robe noire fendue. J'hésite entre mes sandales noires et les bleues. Ces dernières sont à laçage spartiate, en fait je n'aime pas tant que ça et le talon n'est ni assez haut, ni assez fin. Par contre, j'ai décidé, car je l'ai acheté hier chez Séphora, de m'appliquer sur les ongles des pieds, un beau vernis bleu. Une autre étape à franchir après la perruque et le rouge à lèvres...Mais une envie récente, nourrie des ongles de pieds de mon ex-compagne, constamment parés de couleurs vives et nacrées, sans qu'ils soient ni plus soignés ni plus féminins que ça, mais je trouvais ça très remuant, très sensuel. Mais il fait enfin très chaud, ici, dans le sud et ma tenue habituelle ne va pas être confortable, ce n'est plus la saison. Parfois, je m'imagine lisse de la tête aux pieds, bronzé, du vernis sur les ongles des pieds et des mains, discrètement maquillé, quelques bijoux sobres, en mules ou sandales, en string ou en ensemble deux pièce et robe légère, homme et femme aux yeux de tous et jouissant de l'être ainsi...naturellement et simplement,...
    Je pense que je vais mettre aussi une touche de maquillage: un trait de noir sur les yeux, un soupçon de rouge à lèvres pâle, une peu de fond de teint,...
    Le samedi après-midi passa vite: long bain parfumé, rasage soigneux, épilation, notamment du visage et d'ailleurs..., parfum, crèmes, soins des ongles des mains et des pieds, puis application minutieuse sur ces derniers de ce vernis bleu et attendre qu'il sèche en préparant ma lingerie. Mon petit plug avait pris doucement sa place...
    A 19h15, je quittais la maison et vingt minutes après, suivant les indications de Caroline, j'étais devant un magnifique portail en fer forgé qui s'ouvrit automatiquement quelques secondes après mon appel.
    La maison était en pleine nature, entourée d'une végétation luxuriante. C'était splendide.
    A peine descendu de ma voiture, la porte s'ouvrit et je vis Caroline pour la première fois. En effet, nous en parlâmes plus tard et ils en furent surpris, je n'avais jamais demandé à voir leurs photos,
contrairement à eux. Leur demande, c'est eux qui m'avaient contacté, leur profil, nos messages, tout m'avait séduit et je ne n'avais jamais eu le moindre doute.
    Elle était superbe. Blonde, un carré court, des yeux bleus, des lèvres pulpeuses, grande et mince, en bas résille noirs, des sandales à talons hauts, une robe bustier en cuir noir avec un haut en dentelle mauve. Maquillée sans extravagance et souriante...Une vision magnifique!
    Elle m'invita à entrer dans cette belle maison qui s'avéra être décorée avec goût et nous nous découvrîmes dans la cuisine.
    "François finit de se préparer. Ça va, Michèle, tu as trouvé facilement ? "
    La discussion s'engagea et fut immédiatement spontanée et naturelle. Nous avions de multiples points communs...
    Caroline tournait dans une poêle un joli mélange de légumes à l'évidence frais et parfumé. Je mis au réfrigérateur la bouteille de champagne et ouvris celle d'un savoureux vin rouge afin qu'il s'aère et révèle toute sa saveur.
    Nous discutâmes longuement avant d'entendre les pas de François descendre l'escalier et de le voir enfin apparaître. Bel homme, mince, les cheveux très courts, tout de noir vêtu, souriant. Nous nous présentâmes assez rapidement puis Caroline m'invita à la
suivre. Elle me montra la salle de bain et la chambre puis me laissa seul.
    Rapidement nu, je me préparais intimement puis décidais de ne pas me vernir les ongles des mains. Je mis juste ma perruque, un peu de fond de teint, deux traits discrets de noir sur mes cils et une nuance de rose sur mes lèvres. C'était très doux et ambigu... Rapidement habillé et parfumé, je descendis dans le salon.
    Mon arrivée fut saluée par de jolis commentaires et je m'assis sur le canapé à coté de Caroline. Un superbe apéritif s'étalait devant mes yeux pour accompagner le champagne pétillant dans les flûtes: gambas marinées, olives parfumées, tartines de
foie gras,...
    Caroline mît sa main sur ma cuisse et me félicita de la douceur et de la finesse de mes bas, ainsi que de la hauteur de mes talons et de la facilité avec laquelle je marchais, elle même s'avouant
incapable d'en porter de si hauts.
    Nous échangeâmes longuement sur nos vies, nos passés respectifs et nos envies en buvant du champagne et dégustant des mets délicats. Ils  étaient tous les deux beaux, charmants, généreux, ouverts et curieux, très épicuriens...
    Nous passâmes à table et le dîner fut somptueux: carpaccio de rougets aux baies roses, noix de bœuf et sa poêlée de légumes frais, assiette de fruits frais,...de très bon vins accompagnant ces plaisirs de la bouche.
    Au salon, enfin avec le café et quelques verres de vieux rhum millésimé, une douce musique lounge et une ambiance tamisée et tranquille, notre intimité était devenue très agréable et naturellement excitante, amplifiée par l'alcool car nous avions beaucoup bus. François avait une dualité féminine et il m'avoua que je lui plaisais beaucoup, ma bisexualité et ma féminité exprimées semblant assez rare à ses dires. Caroline, de son coté avait un coté masculin évident et ils étaient tous les deux très conscients de leurs personnalités respectives.
    Beaucoup plus tard,François, dont la main me caressait doucement la cuisse depuis longtemps, prit mon visage entre ses mains et m'embrassa longuement. Je répondis immédiatement à son baiser, qui fut long et savoureux et me collant contre lui, mes mains se mirent à le découvrir. Il était mince et musclé, lisse et doux.
    A ce moment, Caroline nous invita à monter dans la chambre, et il m'avoua être rassuré par mes élans. Conforté par nos longues discussions, il m'assura que les hommes réellement bi n'étaient pas si fréquents et que les moments à venir ensemble lui plaisaient beaucoup...
    Caroline me prit par la main, me fit me lever et se collant à son tour contre moi, m'embrassa, sa langue fouillant ma bouche et son parfum m'envahit. Je sentis alors François dans mon dos et son désir contre mes fesses fit monter mon excitation.
    Nous montâmes l'escalier ainsi, le claquement de nos talons à l'unisson, les fesses de Caroline moulées de cuir dansant devant moi et les mains de François sur les miennes.
    La chambre était fraîche et délicatement éclairée et parfumée par quelques bougies posées sur la table de nuit et sur une commode. Toujours debout, nos trois corps fusionnèrent, nous recommençâmes à nous embrasser mutuellement et nos mains glissaient à la découverte de nos désirs.
    Caroline poussa doucement François qui s'allongea sur le dos. Sans cesser de nous embrasser ensemble, mes mains défirent les boutons de sa chemise puis je posais mes lèvres sur son torse, découvrant sa poitrine musclée, mes lèvres effleurant ses seins tendus que
j'excitais de la langue. Faisant glisser celle-ci sur son ventre jusqu'à son nombril, je défis sa ceinture puis la fermeture-éclair de son pantalon et le fis glisser sur ses hanches, aidé par son bassin qui se souleva du lit. L'odeur de son sexe tendu dépassant de son string m'envahit et sans pouvoir me retenir, je parcourus son gland de ma langue, découvrant sa saveur douce, puis sans attendre, je fis descendre sur ses cuisses l'ensemble de ses vêtements jusqu'à ses pieds afin de le dénuder complètement. Au moment où je me redressais, je sentis Caroline prendre à deux mains le bas de ma robe et la remonter lentement vers le haut. Je levais les bras pour l'aider à passer mes épaules et l'enlever complètement.
    Qu'est ce que j'étais bien, agenouillé devant François offert, son sexe tendu sur son ventre, mes pieds reposants sur les pointes de mes sandales, en nuisette laissant entrevoir mon joli soutien-gorge assorti à mon string et mon porte-jarretelles sur mes bas noirs à couture, Caroline très excitante à mes cotés...
    Me penchant en avant, je décollais délicatement de la main le membre tendu de François et le mis dans ma bouche avec délice. Il était chaud et doux, palpitant, vibrant de saveurs et de douceurs. Je le câlinais, l'embrassais, le léchais, l'engloutissais de mes lèvres, de mes joues, de toute ma bouche jusqu'au fond de ma gorge avant de le ressortir infiniment lentement et d'embrasser son gland lisse et doux. Puis le reprendre encore comme un magnifique sucre d'orge, savoureux à souhait...
    La langue de Caroline vint soudain me le disputer et nous le savourâmes longuement ensemble tout en s'embrassant en même temps. Ce n'était plus que salives mélangées, langues vivantes courant dans nos bouches et sur la chair de François, encore
et encore... C'était extrêmement plaisant et excitant. Mes mains caressaient ses seins et ses cuisses, je découvris en l'effleurant d'un doigt sous son string qu'elle ruisselait de désir. A ma demande, ses doigts se mirent à me caresser mes pointes de seins sous mon soutien-gorge et je défaillis aussitôt, une onde de plaisir m'embrasa le ventre.
    Délicatement, la main de François se posa sur ma nuque et m'invita à me coller contre le string de Caroline, bruissant de parfums et de vibrations enivrantes. Le saisissant à deux mains sur ses hanches, je le fis glisser sur ses cuisses et ma bouche se posa fébrilement sur son sexe offert et humide. Elle s’arque bouta en arrière et mes lèvres ne s'emparèrent que de liqueur et de frémissements palpitants. Je la découvris lentement de la langue, la faisant s'allonger à coté de François,
d'un mouvement lent, l'ensemble de son corps parcouru de frissons sous la caresse de ma bouche et de mes mains. Je m'engageais en elle, attentif à ses frémissement, découvrant lentement ses secrets au gré de la contraction de ses mains sur moi. Longtemps, je l'explorais et la fit vibrer, ne vivant que pour les ondes de son bassin.
    Plus tard, sans quitter Caroline, je revins du regard vers François que j'avais un peu abandonné. Allongé sur le coté, une main sur l'oreille, il nous contemplait, son beau corps lisse et fin luisant dans la pénombre. Ma main se posa sur lui, toujours majestueux et quittant Caroline, je l'embrassais fougueusement et lui murmurais à l'oreille que j'avais envie de lui.
    M'agenouillant devant Caroline, saisissant ses fesses à deux mains et écartant des coudes ses jambes gainées de bas résilles, ma bouche s'empara d'elle, ma langue tournant sur son bouton vibrant comme elle semblait l'aimer puis glissant parfois vers la source de sa rivière pour revenir encore l'humecter d'elle même et écouter interminablement son plaisir grandissant. De l'autre coté, je m'offrais à François et seul l'effleurement de son premier doigt lubrifié sur mon anus me ramena à moi. Ce fut si frais et si doux, tant attendu que je me détendis instantanément, m'ouvrant à cette merveilleuse sensation, cette douceur qui se posa sur ma fleur, qui tourna longuement sur mes plis délicats qui ne purent que s'entrouvrir progressivement à cette venue si attentivement souhaitée. Ma langue et ma bouche sur Caroline, ses mains sur ma tête et mes seins, le doigt de François qui rentrait en moi, ma main sur son désir tendu, mon bassin qui se tendait vers lui en m'ouvrant à son désir, tout n'était que sensations et plaisirs...
    Longuement, François m'a massé jusqu'à que son doigt glisse facilement. Il était prévenant, me demandant souvent si j'avais mal, son autre main me caressait les fesses, les boules ou ma queue au repos, parfois il se collait dans mon dos pour venir m'embrasser. Je l'engageais vite à  entrer un deuxième doigt, qui rentra facilement. Je me détendis au maximum, accompagné des mots et des caresses de Caroline que j'avais un peu abandonnée. Bientôt ses deux doigts coulissèrent aisément et il les tournait dans tous les sens dans mon ventre pour le détendre et je dois dire que j'aimais ça, c'était très agréable et excitant. D'ailleurs, une goutte de liquide pré-séminal perla de ma verge...
    Je l'invitais à continuer, sachant qu'il fallait au moins trois doigts et idéalement quatre pour être bien préparé... Je me penchais sur Caroline pour l'embrasser, lécher ses seins et enfin reposer ma langue sur son sexe offert. Elle m'invitait de la voix et les fesses tendues en arrière, je laissais les doigts de François m'élargir sans relâche. Grâce au gel qu'il ne cessait de remettre, je ne sus bientôt plus avec combien de doigts François fouillaient mon ventre. C'était si agréable  que je l'engageais à venir en moi. Il sortit sa main et je ressentis alors un grand vide pendant que j'entendis le bruit de l'ouverture du préservatif. Ma langue titillait le clitoris de Caroline sans relâche et elle gémissait, la tête renversée en arrière, les yeux clos et les mains agrippées à ma tête.
    Quand j'ai senti le sexe de François se poser sur ma fleur ouverte, j'ai saisi mes fesses à deux mains pour bien m'ouvrir à sa venue. Il a commencé à pousser très doucement et j'ai à peine ressenti un léger inconfort au passage de son gland. Il s'arrêta, me caressa les fesses et le dos en me demandant si ça allait. Je confirmais d'un hochement de tête. Alors, toujours lentement, saisissant mes hanches à deux mains, il est entré en moi de plus en plus profond d'une poussée continue. J'avais l'impression d'être écartelé par son membre dur qui se frayait son passage mais ne ressentais aucune douleur et savourais en frissonnant cet état de remplissage progressif. Quand j'ai finalement senti son ventre contre mes fesses, j'ai su qu'il était complètement entré au fond de moi. Sans plus bouger, il m'a encore demandé si ça allait. Quittant le sexe de Caroline, je me relevais sur les coudes.
"Oui, je suis bien, c'est ce que j'aime, tu es très doux et dur à la fois, c'est bon ".
    Alors, ses deux mains tenant fermement mes hanches, François a reculé lentement jusqu'à presque se retirer avant de revenir et de buter au tréfonds de moi. Des va-et-vient plutôt lents au début puis de plus en plus forts, mais toujours très doux. J'étais envahi par les sensations que j'éprouvais, à la fois physiques et mentales car je me sentais alors tellement pris comme une femme que je m'identifiais à la féminité totalement offerte à cet homme. Il allait librement en moi, s'enfonçant et ressortant quasi complètement. Son ventre et ses couilles tapaient contre mes fesses, ça faisait un petit bruit que j'aimais.  Je m'étais redressé sur mes bras, en avais oublié Caroline qui, gentiment, me caressait les seins. À chaque mouvement, je gémissais et sous l'effet des doigts de Caroline et je me suis remis à bander.
    Rempli voluptueusement, je me re-penchais sur Caroline inondée et ma langue se rempara de son bouton turgescent, allant inlassablement d'avant en arrière ou tournant autour, au gré de ses demandes ou des mouvements de son bassin. Ses mains appuyaient sur ma nuque et bientôt, elle se mit à gémir en continu et son ventre se souleva vers moi en des mouvements désordonnés avant de pousser un bref cri, de brutalement serrer les jambes pour m'expulser d'elle avant de se tourner sur le coté en position foetale. Elle resta ainsi un long moment figée, les yeux fermés sur sa jouissance avant de se décontracter et de se retourner sur le dos. Elle saisit alors mon visage à deux mains et m'embrassa d'un baiser léger en murmurant un doux "merci". Je lui demandais alors de me caresser les seins, ce qu'elle fit immédiatement.
    J'étais incapable d'évaluer le temps passé car j'en avais oublié François en moi. Il se mit alors à me parler du plaisir que je venais de donner à Caroline, du sien de me prendre et du mien que j'exprimais d'être comblé  mais il  fut de toutes les façons trop court car le plaisir montait crescendo dans mon sexe tendu, très lentement car il ne venait que de mon cul rempli et de mes seins mais d'autant plus fort. Cette sensation de jouissance purement passive est merveilleuse, très progressive, presque douloureuse mais incomparablement savoureuse. Des ondes venues de mon trou ramoné commencèrent à m'envahir, je me tortillais les tétons sous les doigts de Caroline, je me cambrais pour mieux sentir encore le feu du membre de François qui me labourais inlassablement. Je prévenais alors Caroline et elle glissa rapidement entre nous une serviette. De puissantes vagues sont bientôt montées dans mon sexe que je tentais de retenir. En vain, car bientôt, un formidable orgasme, qui m'a semblé interminable m'a secoué et j'ai explosé en plusieurs jets sous moi, mon cul se contractant sur le membre fiché en moi à chaque saccade. Très rapidement, François est resté planté au fond de moi, les mains crispées sur mes hanches, a poussé un râle et a joui lui aussi en plusieurs contractions qui m'ont encore secoué. Il est resté en moi un long moment avant de se retirer et j'ai alors ressenti un grand vide...
    M'allongeant à coté de Caroline, épuisé, j'ai senti François se coucher sur moi, poser ses lèvres et sa langue entrer dans ma bouche avant de lui aussi me remercier pour ce bon moment de plaisir. Couchée sur le coté, Caroline nous regardait, les yeux mi-clos...
    Puis, François se redressa, son sexe pendait couvert de la capote remplie et quitta la chambre. Caroline me dit alors que si je le souhaitais, je pouvais dormir là car demain, ils ne faisaient rien de particulier et si je voulais rester...Je répondis que c'était avec grand plaisir !
    En voyant François revenir sentant bon un parfum inconnu, je me levais du lit, glissais ma main sur son corps en le croisant, leur souhaitais une bonne nuit et après m'être vite déshabillé et douché, je me glissais sous les draps frais du lit de la chambre d'amis et m'endormis aussitôt.

Par michel
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Mercredi 29 mai 3 29 /05 /Mai 21:52

Une soirée tranquille chez moi, en dehors de tout. Volets fermés, lumière tamisée et musique douce. Et une jolie tenue blanche, de beaux bas Le Bourget à coutures, à pointes et talons renforcés, une guêpière Victoria Secret et son tanga assorti, une fine nuisette de nylon et de dentelle, un délicat kimono et de superbes sandales à lanières et brides de 11 cm de talon qui claquent sur le carrelage...

Le contre-pied d'une rencontre récente où mon partenaire ne voulait pas de blanc. J'étais alors paré de noir et rouge.

Alors ce soir, j'ai pris le temps d'aller sur le net chercher de belle images...
Et de faire un album blanc !

Par michel
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Samedi 16 mars 6 16 /03 /Mars 16:17
    Sur un site, je recevais depuis longtemps et très régulièrement des clins d’œil et des messages de Gérard, un homme de 61 ans qui souhaitait absolument me rencontrer. Il était divorcé, bisexuel mais de plus en plus homo dans ses envies, vivait seul et adorait la lingerie. Il désirait d'ailleurs que je m'habille avec celle qu'il possédait et il m'a ainsi présenté en photos de très belles tenues qui appartenaient à une de ses anciennes relations faisant la même taille que moi. Enfin, il semblait très BCBG, courtois et très doux, ce qui n'était pas pour me déplaire.
    Un vendredi après-midi, après de longs échanges sur internet, j'ai donc réagi positivement à ses avances et après m'être préparé, y compris avec mon plus petit plug, je me suis rendu chez lui. Je n'avais emmené qu'une demi-douzaine de paires de bas et autant de chaussures car il n'avait que des escarpins trop petits pour moi. Il habitait au troisième étage d'une luxueuse résidence en centre ville. Quand il m'ouvrit, il était conforme à ses photos, bel homme grand et mince, les cheveux blancs et les yeux bleus, habillé élégamment et pieds nus. Il s'effaça pour me laisser entrer et je fus sensible à ce simple geste. L'appartement était lumineux et décoré avec goût. Tout cela me rassura sur mon choix d'avoir accepté son invitation.
    Après quelques mots échangés et comme convenu, je le suivis immédiatement dans une chambre où sur le lit, s'étalaient une multitude de jolies parures de très belle qualité et de grandes marques: des guêpières, des porte-jarretelles, des strings, des bustiers, des robes, des jupes, des chemisiers,...Les possibilités étaient multiples. Nos regards ne se quittèrent qu'au moment où il referma la porte. Vite nu, je choisis une très belle guêpière grise et noire et son string assorti, j'enfilais une paire de bas gris à couture que je fixais aux jarretelles, un petit haut, à la fois bustier et nuisette de dentelle noire très court et presque transparent, une jupe en soie noire m'arrivant aux genoux, un sage chemisier blanc et des sandales noires à talons de 10 cm.
Je me rendis dans la salle de bains, me parfumais, mis maperruque et une touche de rouge à lèvres mat, J'étais prêt...
    Le bruit de mes talons sur le parquet le fit se retourner et me regarder. "Tu est très élégant ou élégante, que préfères tu ?".
"Élégante me fait très plaisir, même si c'est très exagéré..."
Il sourit et se détourna vers la cuisine. Je m'asseyais alors  sur le canapé et croisais les jambes, faisant apparaître la lisière des bas. Il me tendit un verre de vin blanc et vint s'asseoir à côté de moi. Son parfum était frais et agréable et je me sentais à l'aise avec lui. Timidement, comme à chaque fois dans ces situations, les premiers mots furent difficiles. Puis, en confiance tous les deux, nous avons longuement discuté de nos passés respectifs et de ce que nous aimions.
    Tout en parlant, sa main se posa doucement sur ma cuisse et y resta longtemps sans bouger. Je profitais pleinement de sa délicatesse et lui en fis la remarque. Il m'avoua qu'il appréciait notre rencontre et qu'il ne souhaitait pas précipiter les choses.
"Tu es disponible jusqu'à quand ?" me demanda-t-il subitement.
Je n'avais rien prévu exprès ce week-end et lui en fis part.
"Serais tu tenté par une soirée dans un lieu où tu pourrais rester ainsi ?"
A la fois inquiet, car subitement terrassé par la peur du ridicule à m'exposer ainsi au vu de tous et très intéressé, je lui avouais mes angoisses et lui demandais plus de précisions.
Il se voulut rassurant et m'expliqua qu'il avait découvert à moins de deux heures d'ici, près de Marseille, un endroit où il avait très envie de retourner, à la fois bar, restaurant et boite, suffisamment loin et intimiste car de petite taille, donc sans trop de monde, un éclairage tamisé, des hommes et des travestis, l'ambiguïté permanente, discrète et respectueuse mais aussi débridée. Il n'y avait été que deux fois, la distance solitaire le rebutait, mais ce soir, avec moi, il en avait très envie. Je l'accablais de précisions, j'étais submergé par le doute.
"Viens en homme, tu ne prends aucun risque, après, on verra bien"
Sa compréhension apparente de mes turpitudes silencieuses effaça d'un trait mes bouillonnements intérieurs et j'acquiesçais, l'esprit embrumé par l'excitation.
"Tu resterais en lingerie sous tes vêtements, j'aimerais beaucoup, qu'en penses tu ?" J'avoue que cette idée me séduisais et j’acquiesçais sa demande, à la fois subitement terrifié et excité par ma réponse.
    Je retournais ainsi dans la chambre et après tout enlevé, je me rhabillais avec mes vêtements. Fébrilement, j'enfournais dans mon sac tout ce qui me tentais. cela allait trop vite, qu'allait-il se passer ce soir...
  Je retrouvais Gérard dans le salon et décidais de laisser les choses se faire.
La route passa vite car Gérard conduisait bien une luxueuse berline allemande confortable et nous avions de quoi échanger. Nous arrivâmes assez tôt à l'endroit prévu. Le lieu était discret et isolé, l'entrée rapide après avoir sonné et je le découvris quasi désert à cette heure de début de soirée. Une petite salle de restaurant et une estrade sur la gauche, un bar à droite, quelques hommes devant et derrière, de tous les âges, masculins ou efféminés et un travesti, une musique rock en sourdine.
    Des bonsoirs réciproques, des regards attentifs, des réserves initiales puis des conversations qui reprennent et nous acceptent prudemment, des verres partagés, la découverte de l'ambiance des lieux, sereine puis bourdonnante au fur et à mesure de l'arrivée d'abord timide puis grandissante des visiteurs. Des couples hétéros, beaucoup d'hommes seuls ou ensemble,  de tous les genres, viril ou féminisé, un ou deux travestis, un éventail subjuguant qui me ravissait.
    Le restaurant fut vite comble mais Gérard avait réservé une table et nous nous laissâmes porter par le repas, les discussions avec nos voisins, entre un couple hétéro, qui ne venait que par curiosité (mais que je finis par exciter terriblement en leur racontant ce que j'aimais faire à un homme...) et deux gays sympathiques puis le spectacle de travestis burlesque qui nous occupa longtemps. Nos échanges avec Gérard semblaient naturels depuis le début, l'alcool et l'ambiance de plus en plus festive devaient nous y aider. Nous parlions de tout et de rien avec tout le monde, embarqués par la musique et par ce que nous voyions autour de nous. Le temps passa vite, les tables furent enlevées, la salle transformée en piste de danse et la lumière se raréfia.
   Installés au bar, je mis du temps à réaliser qu'il y avait du monde sur la piste, que des hommes s'embrassaient à coté de moi, en musique et en douceur et qu'à ma gauche, un jeune homme en costume sombre mettait sa main sur la joue d'un travesti d'une cinquantaine d'années, BCBG, une perruque noire, maquillé, des boucles d'oreille, une multitude de bagues et les ongles rouges, un collier laissant entrevoir un soutien-gorge de dentelle rouge sous une veste de tailleur noir, en bas résille et escarpins noirs et que le jeune barman était en short et tee-shirt en résille, des percings sur les seins. Sur la piste, il ne restait que des hommes qui dansaient seuls ou en couple, de plus en plus dénudés, certains torse nu. Un autre travesti plus jeune, d'une trentaine d'année, avec de longs cheveux blonds apparut en robe verte, bas assortis et talons aiguilles à plate-forme et se mit à danser, vite rejoint par un homme qui se colla contre lui.
    Ce spectacle m'excita au plus haut point et je demandais à l'un des barmans où je pouvais me changer. Il m'indiqua une porte près de l'entrée. Je récupérais mon sac et entrais dans une loge qui devait servir aux artistes pour se préparer lors des spectacles. Il n'y avait personne. Fébrilement, j'enlevais mes vêtements d'homme et, en lingerie, je me rhabillais comme chez Gérard à l'exception des bas gris que je remplaçais par des noirs opaques afin de cacher ma pilosité. J'enlevais mon plug, ce qui me fit un mal. Effectivement, cela faisait plusieurs heures qu'il était en place et son retrait fut difficile. Je ressentis alors un grand vide.
    C'est le cœur battant que j'entrais à nouveau dans la salle. C'était la première fois que j'étais travesti en public. Heureusement, la lumière avait encore baissé et il faisait très sombre.
    "Elle est jolie comme ça, ta mignonne..." me parvint d'un des barmans. Derrière Gérard, qui acquiesça en me regardant, le travesti âgé caressait la braguette du jeune homme qui semblait gêné de la situation, probablement autant que je l'étais.
    S'approchant de moi, Gérard posa ses lèvres sur les miennes  et m'embrassa goulûment, sa langue fouillant ma bouche pour mélanger nos salives et se frotta furieusement contre moi. Tant qu'à être sa mignonne, allons-y. Désinhibé, je l'entraînais alors vers la piste de danse et me collais contre lui pour un slow langoureux. J'étais enfin dans ma peau de femme, en train de danser avec un homme, exposé à tous les regards. Ses mains se posèrent sur mes fesses d'abord puis sous ma jupe qu'il souleva. Tout en dansant, Gérard commença à vouloir me déshabiller. Je n'acceptais que le retrait de mon chemisier, ma jupe cachant ma pilosité pubienne impossible à afficher devant tout le monde. Je me retrouvais subitement en jupe et nuisette, juché sur mes talons aiguilles, devant tout le monde. C"était fou. Je ne sentais que des regards se tourner vers nous ou moi en l'occurrence, et chose étonnante, j'y trouvais un plaisir sans bornes. Mon sexe bandait sous mon string et ma jupe, ce qui ne pouvait échapper à la foule qui ne semblait ne regarder que moi. J'avouais ma gène à Gérard qui me chuchota à l'oreille. "Viens, j'ai appris qu'il y a un endroit tranquille".
    Traversant la salle, je le suivis. Il ouvrit alors une porte et nous fit entrer dans une salle encore plus sombre. Une vingtaine de mètres carrés, des banquettes et des poufs partout, de rares lumières. Nous étions dans un backroom. Le spectacle était torride. Mon érection monta d'un cran. Gérard aussi regardait avidement. La première chose que je vis fut le jeune travesti à genoux, maintenant en guêpière verte assortie à ses bas, en train d'avaler le sexe de son partenaire, désormais nu et assis sur un canapé. Les rares banquettes semblaient toutes occupées sauf peut-être au fond.  Nous passâmes devant un couple d'hommes entièrement nus en plein 69 sur une banquette, puis près de deux autres hommes qui se masturbaient mutuellement en s'embrassant à pleine bouche. Mon regard était happé et je ne pouvais quitter des yeux ces copulations homosexuelles qui m'excitaient terriblement. Gérard m'entraîna sur la seule banquette qui restait effectivement libre au fond.
    Étrangement, je me sentais bien et sans appréhension, comme ailleurs, à suivre Gérard, debout sur mes talons aiguilles, presque en femme, dans un monde d'hommes et de travestis autour de nous en train de se donner du plaisir. Tout était possible...
    Toujours debout et en s'embrassant, il se mit à me caresser d'abord les jambes, puis en remontant vers le haut de mes cuisses, pour enfin effleurer mon sexe tendu sous mon string. Il continua ses caresses sur mon torse, cherchant mes seins. Très vite, mes mains se posèrent sur son corps et glissèrent sous sa chemise pour toucher sa peau puis sa poitrine et il frissonna sous la caresse.
    J’ôtais sa chemise puis en m'agenouillant, je défis les boutons de son pantalon et le baissais lentement. Surprise, il ne portait pas de sous-vêtement et son sexe m'apparut à quelques centimètres de mon visage. Long, moyennement gros, circoncis et complètement épilé.  Hâtivement, je lui enlevais son pantalon et ses chaussures, et, redressant la tête, je nous contemplais, lui nu et le sexe dressé et moi à genoux, habillé en femme, dans cette pièce qui n'était que sexe débridé.

    Sans pouvoir attendre, je le poussais sur la banquette où il s'assit et je le pris alors dans ma main, l'emprisonnais, l'entourais complètement de mes doigts pour le découvrir, qui coulissaient lentement sur sa chair douce. J'approchais vivement ma bouche et ma langue toucha doucement son gland, puis tourna autour à petites touches espiègles. Vu les mouvements de son bassin vers moi à chaque coup de langue, il avait l'air d'apprécier vivement mes caresses.
    Avidement, je ne pu me retenir et le pris pleinement en bouche, jusqu'à la garde, son gland allant buter au fond de ma gorge puis en revenant infiniment lentement jusqu'à l'ourlet délicat et redescendis, me gavant de sa dure chaleur vibrante. Je le suçais alors pleinement, de haut en bas et de bas en haut, encore et encore. Ma main droite accompagnait le mouvement et de la gauche, je me mis à lui caresser ses douces boules pendantes. Je me régalais de sa virilité dans ma bouche et de la savourer. J'oubliais le temps pour n'être plus que bouche remplie par sa chaude et dure virilité. Au bout d'un long moment,je sentis sa queue commencer à perler et je gouttais alors ce liquide témoin de son désir, léchais ce gland humide et turgescent, ivre de dompter sa jouissance à ma guise devant tout le monde. Il me demanda soudain de me calmer car il n'allait pas tenir longtemps à ce rythme. Glissant ses mains sous mes aisselles, il me releva. Je fus soulagé car j'avais mal aux genoux.
    C'est alors qu'arrivèrent le travesti plus âgé et le jeune homme à la recherche d'un emplacement. "Nous allons vous faire une petite place...". Nous nous regardâmes en souriant: "Nous avons des points communs, je crois...?. Amandine et André, enchanté !" Nous nous présentâmes à notre tour puis Amandine embrassa fougueusement André et commença à le déshabiller avant de l'assoir sur la banquette. A peine le pantalon de ce dernier baissé sur ses chevilles, laissant apparaître une verge longue et mince, en demi érection, qu'Amandine enleva sa veste de tailleur pour montrer deux petits seins naturels soutenus par un soutien-gorge porte-seins de dentelle rouge et s'agenouillant, elle engloutit sans attendre le sexe d'André, qui, la tête en arrière, les yeux fermés et la main posée sur la tête de son partenaire se laissa faire.
    Hyper-excité, je me laissais asseoir à mon tour par Gérard qui, s'agenouillant devant moi sur un coussin, se mit à me caresser les jambes en partant de mes sandales. Il remonta jusqu'à mes cuisses. Dépassant du string, mon sexe était tendu. Après me l'avoir enlevé,sa langue pointue et agile titilla mon gland et mon prépuce puis sa bouche s'ouvrit pour me prendre et il commença à me sucer doucement en prenant tout son temps. Inlassablement, il englobait mon sexe jusqu'à la base et remontait lentement, les yeux fermés. Je sentis le plaisir monter de loin. Le spectacle y était aussi pour quelque chose. Tout autour, ce n'était que fellations et sodomies. Pas encore de pluralité mais ce n'était que le début de la soirée.
    Je lui tenais les cheveux et retenais sa tête afin de ralentir le rythme de sa caresse. Je lui ai dit gentiment de se calmer et il me comprit car, relevant sans rien dire mes jambes autour de ses épaules, il se dirigea plus bas. Écartant mes fesses, il me lécha d'abord prudemment puis avidement, y mettant beaucoup de salive et démarra une pénétration avec sa langue qui rentra facilement. C'était la première fois et c'était très agréable. Ses doigts arrivent très vite, m'étirant délicatement et permirent à sa langue de me fouiller de plus en plus loin. Je m'abandonnais à sa caresse, complètement détendu, très excité par cette sensation plaisante. Quand un de ses doigts vint se poser, je l'engageais à trouver du lubrifiant. Ce fût rapide, il y en avait, ainsi que des préservatifs et des kleenex, un peu partout.
    Il me reprit avec sa bouche en même temps que son doigt lubrifié glissa en moi, puis devant la facilité, devint vite deux doigts, puis trois. Il me pénétrait facilement et c'était tellement bon de se sentir s'ouvrir, sans se crisper, ni avoir mal. Ses deux doigts au fond de moi-même commencèrent à bouger et à me masser d'un mouvement circulaire. Je lui avouais que c'était exquis et que le plaisir montait beaucoup trop vite. Je l'arrêtais d'un coup, le repoussais en dégageant mes jambes et nous relevais ensemble.

    A coté, Amandine ne cessait d'avaler la queue d'André à un rythme soutenu. Plus loin, j'entrevoyais des corps nus entremêlés, il faisait chaud et des odeurs de sexe, de sueur et de multiples parfums mélangés remplissaient la pièce.
    Sans rien dire, j'assis Gérard sur le bord du canapé, lui enfilais fébrilement un préservatif, l'enduisis de gel et vins m'installer à califourchon sur lui, mes cuisses de part et d'autre des siennes et plaçais sa queue contre mon entrée. C'est comme ça que j'en avais envie, tout de suite et lui avouais cela en me collant contre lui.
    Je l'embrassais et saisissant ses mains, je mis le bout de ses doigts sur mes seins. Pliant lentement les cuisses, je sentis son gland se poser, puis m'appuyant un peu plus sur lui,  lui fis passer un peu douloureusement mon entrée puis très lentement, je vins m'asseoir doucement sur lui. Je ressentis chaque centimètre de sa pénétration qui m'envahit le ventre, une brûlure, certes, mais moindre que je ne le craignais. Il rentra ainsi jusqu'à la garde et je restais assis sur ses cuisses, mes genoux pliés, savourant d'être pris et m'habituant à sa présence. Nos langues se mêlaient et le plaisir irradiait de mes seins qu'il caressait du bout des doigts en tournant d'un mouvement circulaire, comme je lui avais dit que j'aimais. Relevant la tête, je ne vis autour de nous que des couples dans des scènes débridées. Terriblement excité, je me mis à me soulever et me rassoir, commençant un lent va et vient qui s'accentua de plus en plus rapidement. Tout en gérant moi-même la vitesse de sa pénétration, le plaisir montait crescendo de cette brûlure qui s'atténuait au profit d'une douce chaleur. Je le sortais entièrement et recommençais la pénétration. J'aimais sentir ce sexe en moi, me remplir, sa bouche sur la mienne, ses doigts sur mes seins, m'entrevoir en guêpière, bas, talons hauts, ces corps d'hommes et de travestis autour de nous. Je bandais, je ne savais plus où j'étais, j'étais excité au plus haut point. Je lui ai dit de venir, je le voulais en moi longtemps, qu'il me pénètre encore, qu'il me fasse jouir sans que je me touche, je voulais tout ça et lui aussi à l'écoute de ses mots. Son action se fit plus rapide, ses mains quittèrent mes seins pour mes hanches et pour m'empaler profondément,il se mit à me sodomiser sans retenue, me soulevant et me plaquant sur sa bite dure. J'étais éventré, le cul en feu et pourtant, je sentais mon plaisir monter. Dans un éclair de lucidité, je réalisais alors que j'allais en mettre partout et lui dis alors de s'arrêter. Je vis au même moment Amandine quitter la queue d'André et en profitais pour lui demander un préservatif.
    "Mais avec plaisir ma chérie !" Il se releva et revint vers moi, une capote à la main. Il se pencha alors vers moi et m'embrassa, sa grosse langue envahissant ma bouche et ses seins offerts s'écrasant contre mon buste. Glissant sa main entre Gérard et moi,je le sentis tâtonner avant de s'enrouler autour de ma queue et de la caresser avec délicatesse. Puis je le sentis faire glisser le préservatif sur moi et quittant ma bouche, il me murmura à l'oreille "Nous deux, ce sera pour plus tard, d'accord ?" avant de se tourner vers André. Je le vis dégrafer sa jupe et apparaître en porte-jarretelle et string rouge assortis au soutien-gorge, une queue impressionnante en dépassant. en semi-érection, contenue par son string.
    Je n'eus pas le temps d'en voir plus car Gérard, posant sa main sur ma joue, me tourna la tête vers lui pour m'embrasser et reprenant possession de mes hanches, il se mit à me soulever les fesses pour mieux me pénétrer à nouveau. Je m'abandonnais à la sensation en fermant les yeux et me laissais remplir par son sexe dur qui me fouillait le ventre. Il se mit à aller-et-venir de plus en plus vite, je le sentais coulisser en moi comme un mandrin brûlant, le plaisir revint, je l'encourageais à poursuivre, mes gémissements saccadés devinrent continus, que cela ne s'arrête pas. Je transpirais, n'étais plus moi et sentais des ondes de plaisir monter de ma queue tendue, des spasmes me submerger. Je me suis abandonné à sa pénétration qui devint égoïste, à ses mains crispées sur mes fesses ou mes hanches, oubliant tout de la situation, j'ai savouré ce moment et j'ai senti le plaisir monter en moi sans qu'il me touche, mon anus se contractant sur lui douloureusement au rythme d'ondes qui partirent de mon cul en feu pour m'envahir, je me caressais les seins,c'était exquis. J'ai senti mon jus monter par lentes vagues avant de se déverser enfin par brèves saccades accompagnées de mots qui sortirent de ma bouche sans interruption, pour dire ma jouissance incontrôlée.
    Épuisé et dans un état second, je mis du temps à émerger. J'étais affalé sur lui, à la fois formidablement repu et gêné, trempé de sueur dans les bras de cet homme, réalisant qu'il n'avait peut-être pas joui. Il me rassura en me caressant le visage: "C'était délicieux, ma chérie". Je réalisais alors qu'il n'avait effectivement pas pris son plaisir car je le sentais toujours aussi dur au fond de moi. Il eut la délicatesse de m'embrasser longuement en me murmurant que nous avions tout le temps, qu'il n'était pas pressé et que c'était même tant mieux, car à son âge, on ne pouvait plus de multiples fois..

Par michel
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Lundi 3 décembre 1 03 /12 /Déc 19:34

Un grand moment de calme depuis Michel et Claudine...Je vois qu'ils sont parfois sur le site et disponibles, ils répondent à mes messages cordialement, mais c'est cela se limite à ça. Je les comprends très bien. Dans ce milieu, les besoins et envies évoluent vite. On passe à autre chose, on a besoin de nouveauté...Des contacts pourtant, avec des hommes bi, en lingerie ou non, des travestis et quelques couples, malgré tout. Des coups de coeur aussi, cela me rassure malgré tout. Mais ceux qui m'attirent ne me répondent pas (ou négativement) ou sont trop éloignés. Parfois, c'est moi qui ne suis pas disponible. Pourtant, je rêve d'une relation stable avec un couple mûr sur Montpellier, qui me recevrait régulièrement et avec lequel nous établirions une relation d'amitié sensuelle. Est-ce si compliqué ? Je finis par le croire...

Par michel
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Jeudi 29 novembre 4 29 /11 /Nov 20:04
J'en profitais pour aller dans la salle de bains. Étonnamment, mon maquillage avait peu bougé. Je me déshabillais, pris une douche et me remaquillais légèrement. De retour dans la chambre, je décidais de changer à nouveau de tenue, autant en profiter jusqu'au bout. Je me ceinturais d'un joli porte-jarretelles gris et fis glisser sur mes jambes une paire de bas gris à coutures. Un ensemble string et soutien-gorge noir  compléta l'ensemble. Enfin, j'enfilai la robe noire de Claudine et chaussais une paire de sandales grises à talons de 12 cm. Je me mis debout et m’observais dans le miroir de la chambre. Quelle jolie silhouette ! Avec une féminisation plus poussée, je pourrais presque sortir ainsi au-vu de tous.
Je rejoignis mes hôtes et ils confirmèrent mon ressenti.
« Quelle élégance ! Tu es ravissante ainsi »
Claudine avait mis la table dehors et nous déjeunâmes en devisant de sujets divers, de travestissement et de féminisation au début puis de sexe car  ils avaient eu bon nombre d’expériences très variées, notamment au Cap d’Agde et dans des boites libertines. Ils avaient donc beaucoup à raconter. Le temps passa vite et j’évoluais si naturellement avec eux que j’en oubliais presque que j’étais un homme. En ramenant des assiettes à la cuisine, je m’imaginais furtivement au Cap d’Agde, entièrement nu, lisse et bronzé de la tête au pied la journée, féminisable à ma guise le soir et donc en femme désirable et désirée dans des clubs libertins. De retour sur la terrasse, je décidais de finir de profiter de la réalité qui s’en approchait quand même assez. C’est en prenant le café  que je leur avouais tout cela et la discussion se prolongea sur les besoins, les envies, les contraintes et les choix de vie.
Plus tard, quand je leur demandais s’ils ne voulaient pas finir le week-end tous les deux, Claudine me dit qu’ils étaient ravis de ma présence jusqu'à ce soir si je le souhaitais et me proposa donc d’aller faire la sieste tous les trois. J’étais enchanté.
Dans la chambre aux volets clos, le soleil d’après-midi filtrait juste à travers les persiennes et l’ambiance était douce. Quand je vis Claudine ôter sa robe bleue et Michel se déshabiller, je fis de même. Devant cette belle femme pulpeuse en string et soutien-gorge bleus très ouvert  et cet homme épilé, lui aussi en string, dont je ne voyais pas la ficelle entre ses fesses, je fus immédiatement excité. Ils s’allongèrent sur le lit et m’invitèrent à me mettre entre eux. Je me mis sur le dos ne sachant pas vers qu’ils souhaitaient que je me tourne. Claudine me fit doucement faire face à  Michel, puis se colla dans mon dos. Michel fit de même et d’être entre eux deux m’électrisa. J’embrassais Michel et il répondit à mon baiser. Nous nous embrassâmes longuement et mon ventre s’embrasa, comme celui de Michel dont je sentis naître le désir sur ma peau nue. Nous nous caressions mutuellement et nos sexes tendus dépassaient de nos strings. J'étais fier de provoquer son désir et impatient de profiter une dernière fois de sa colonne. J'abandonnais sa bouche pour lui lécher et lui mordiller les tétons avant de parcourir son ventre jusqu'à son gland qui dépassait largement de son string. Des deux mains, je fis glisser celui-ci sur ses hanches découvrant son sexe fièrement dressé et collé sur son ventre. Ma langue commença par de petites touches sur le dôme du gland puis sur la couronne dont je fis le tour, m'arrêtant sur le frein que je sais sensible. Mon léchage devient plus gourmand sur l'ensemble de son gland puis comme une glace qui coule, sur toutes les faces, allant jusqu'à la base puis de bas en haut. Puis mes lèvres entrèrent alors dans la danse. Fermées, mais humides, elles laissèrent passer son champignon pulpeux et le mirent au contact de mon palais et ma langue tourna un temps autour de son gland incarcéré. Michel gémissait et me complimentait. Encouragé, ma bouche s' empara d'un coup  de sa verge et je l'engloutis le plus profond possible et revins infiniment doucement, sentant se dérouler sur mes lèvres la chaleur palpitante de cette chair lisse pour la reprendre encore et la faire coulisser dans un va-et-vient rythmique entre langue et palais. Quand le bout de ses doigts se glissèrent sous mon soutien-gorge et se mirent à glisser de façon circulaire sur mes pointes de seins, le plaisir jaillit dans mon ventre.
J'avais presque oublié Claudine qui me caressait le dos et les fesses. Quittant le sexe de Michel, je lui murmurais  que j'aimerais bien que Michel me prenne une dernière fois. Elle me glissa à l'oreille qu'il ne souhaitait que ça. Alors, je repris Michel à pleine bouche et comme s'il savait qu'il allait encore venir dans mon ventre, tendit son  bassin pour que son pieu soit bien au fond de ma gorge. Répondant à ses désirs,  j'appuyais encore plus avec ma tête vers son membre, me remplissant de lui jusqu'à la nausée et le savourais encore et encore.
Claudine m'invita à remonter dans le lit et à tourner le dos à Michel. Je m'installais alors sur le côté. J'entendis le bruit de l'emballage du préservatif que l'on déchire puis le corps de Michel se colla dans mon dos et son membre tendu se glissa entre mes fesses. Je levais alors une jambe vers le ciel pour m'ouvrir à sa venue et posais délicatement son sexe gluant de lubrifiant à l'entrée de mon trou. Posant ses mains sur mes hanches, il poussa doucement et commença à entrer en moi avec tant de douceur  que je le sentis  progresser centimètre par centimètre. Cette lenteur fût délicieuse et je me suis réellement senti femme à cet instant, tellement cet homme m'a pénétré avec respect et attentions. Quand ses couilles touchèrent mes fesses, que tout son corps épousa mon dos et que ses mains quittèrent mes hanches pour se poser délicatement sur mes seins, je frémis de plaisir et m'abandonnais à cette pénétration tant désirée et maintenant complètement indolore. J’étais totalement à lui et n’en demandais pas plus, je crois que je n’avais jamais ressenti un tel plaisir auparavant. N’y tenant plus, j’eus un inconscient mouvement de recul et vins littéralement m’empaler sur sa virilité que je croyais déja entièrement en moi. Mon action qui l’avait surpris, l’excita et il commença son va et viens qui fut d’abord lent et délicat, ses doigts glissant sur mes pointes de seins,  puis après quelques minutes, il accélérera et devint un peu plus brutal, c'était un homme qui prenait son plaisir ! J'ouvris les yeux et vis Claudine nous regarder. Elle avait retroussé sa robe sur ses hanches et ses doigts allaient et venaient très vite sous son string noir. De la voir se masturber devant nous augmenta mon plaisir, même si je ne bandais pas et si ma queue molle venait battre contre mon ventre à chaque coup de boutoir de Michel. Maintenant il me prenait sans retenue, faisant totalement sortir sa queue et la replongeant sans ménagement dans son intégralité, venant ainsi coller son pubis contre mes fesses, ses mains de nouveau sur mes hanches. De me sentir pur objet de plaisir pour cet homme devant sa femme excitée me bouleversa. Je me mis à me caresser les seins en regardant Claudine, ma queue se redressa sous mon string, d'une main je la pris délicatement et me mis à la faire coulisser lentement entre mes doigts. Je n'étais que sensations multiples, le ventre en feu, des mains et un corps en sueur contre moi me pénétrant, le cul et les seins douloureux, la queue brûlante, me voulant femme prise dans un tumulte de jouissance. Je me plaisais à me laisser aller et m'abandonner à ces sensations. Le temps n'avait plus de prise. J'ai senti le plaisir monter lentement en moi au gré de ma main.
J’ai joui en de longs spasmes qui m’ont secoués tout le corps, mon ventre se contractant sur le membre de Michel. Ce dernier s'est libéré en moi discrètement et je l'ai à peine senti, noyé dans mes plaisirs . Il resta  un long moment
emboité en moi avant de se retirer sans un mot et de quitter la pièce sans que je ne l'entende vraiment car je m'étais quasi immédiatement assoupi, repu, comblé, épuisé de tant de sensations.fortes.
 C'est Claudine qui me réveilla doucement un peu plus tard, il était l'heure de rentrer...
Après m'être péniblement levé, je regagnais ma chambre en trébuchant sur mes talons aiguilles et après m'être trop hâtivement déshabillé, j'avais empilé en vrac toutes mes tenues dans mon sac. La douche se transforma en bain et j'y somnolais langoureusement. M'y arrachant enfin, je ne me faisais que beau, à défaut d'être belle...Après m'être remis en homme, je les rejoignis sur la terrasse ensoleillée de cette fin d'après-midi de printemps. Ils me sourirent tous les deux et nous partageâmes un verre de jus d'orange presque silencieusement. Tout avait été dit et fait !
Plus tard, nous parlâmes tranquillement de tout ça, nous exprimâmes notre satisfaction mutuelle et j'entendis des possibilités de renouveler ces moments partagés, ce qui n'était pas des mots en l'air puisque nous nous sommes ultérieurement rencontrés. Mais cela est une autre histoire!
Michel et Claudine me raccompagnèrent à ma voiture, m'embrassèrent doucement, elle d'un doux bisou chaste sur les lèvres et lui d'une tentative gênée de poignée de main que je transformais en un baiser langoureux qui le laissa pantois et désarmé sur le devant de sa maison.
Je rentrais chez moi, au soleil couchant, la tête pleine de sensations...





Par michel
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Mardi 9 octobre 2 09 /10 /Oct 11:44

En surfant sur le net, j’ai découvert des auteurs de BD ayant réalisés des albums sur le travestissement, le fétichisme et la féminisation, notamment Xavier Duvet et Jacobsen. Superbe travail très excitant…http://www.xavierduvet.com

Par michel
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Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 18:30

Je me réveillais vers 9h. Je ne savais pas si Michel et Claudine souhaitaient que je reste encore avec eux. De mon côté, je voulais profiter pleinement de cette dernière journée en femme avec eux, si cela leur convenait. Dans la salle de bains, après m'être lavé et rasé, je remis le gros plug, qui, cette fois-ci, rentra beaucoup plus facilement. puis, la perruque, les bijoux, du rouge à lèvres que j'avais emprunté discrètement à Claudine hier. Je me regardais dans la glace et me trouvais très attirant ainsi, même nu et pas maquillé. Presque épilé, du vernis sur mes ongles, ma silhouette mince,...De retour dans la chambre, je déballais donc ma panoplie rose. Je ne l'avais jamais mise et je voulais l'inaugurer ici. Jolie guêpière et string assorti, bas à larges revers de dentelle, mules avec juste trois lanières croisées sur le dessus, à talons moyens de 10 cm, nuisette courte en nylon et dentelle et kimono. Tout en roses variés !
Comme hier, il faisait très beau et il n'y avait personne dans le salon. Je préparais le café puis le petit-déjeuner et m'installais sur le canapé en lisant une revue. Je me sentais bien.
C'est Michel qui arriva le premier, en short et tee-shirt, mais rasé et sentant bon le parfum frais. Il s'approcha, me complimenta sur ma tenue, se pencha et m'embrassa d'un baiser léger avant d'aller se servir un café. Je lui fis part de mes interrogations quant à la durée de mon séjour chez eux. En effet, je ne voulais pas m'imposer.
Michel me dit alors en souriant que ma présence leur était très agréable et que, si je le souhaitais, je pouvais rester jusqu'à ce soir. J'étais ravi.
Claudine arriva quelques instants après avec la même nuisette blanche et les mêmes mules qu'hier matin, les yeux cernés, ni coiffée, ni maquillée et un joli sourire s'afficha en me voyant: "Bonjour Michel, tu es ravissante en rose ! Bonne nuit ? " Et elle m'embrassa elle aussi d'un rapide baiser.
Quel couple charmant. Quel week-end tant rêvé, déjà réalisé et pas terminé !
Claudine mit tout ce que j'avais préparé sur un plateau et l'emmena dehors sur la terrasse. Il faisait un soleil magnifique et devant mes doutes, elle m'engagea à les suivre: "Personne ne peut rien voir"
Je pris ainsi le petit déjeuner dehors, en plein air, en femme et tout de rose vêtu, naturellement et simplement.
Claudine était partie nous chercher du café quand le téléphone sonna. Quelques instants plus tard, elle revint en annonçant que Jean passerait prendre l'apéritif. Elle dit en me souriant d'un petit air complice qu'Anne-Marie, toujours pas remise, se reposait et l'autorisait à profiter de ce qu'il avait raté hier soir. J'eus un bref frisson de bien-être et à peine le temps de me dire que ce dimanche allait encore me réserver des surprises que Claudine me prit par la main et m'entraîna dans la maison en me chuchotant à l'oreille ce qu'elle n'avait osé m'avouer la veille:" Jean était très bien membré. Il faut te préparer si tu veux en profiter sinon...". Je lui répondis que j'avais mis le gros plug. Elle m'avoua alors qu'il faisait plus de 20 centimètres.
Dans sa salle de bain, elle me laissa me remaquiller seul, corrigeant simplement quelques détails. J'avais vite compris, j'adorais ça. Elle m'engagea ensuite à venir dans sa chambre et fut très directive: "A mon avis, il n'est pas loin, voire devant la maison, il appelait de son portable. Allonge toi et écarte les jambes". Quand elle se retourna vers moi, elle tenait le gode noir en main. Je fermais les yeux et respirais profondément pour me détendre. Elle me demanda de soulever mes fesses afin d'y glisser une serviette  et j'eus à peine le temps de sentir sa main écarter mon string et enlever le plug, "On va y aller doucement...". Je me détendis au maximum, me relâchant complètement, gonflant mon ventre pour pousser au lieu de me contracter mais quand elle voulut introduire le gode, il ne voulut pas rentrer. Instinctivement, je me contractais et il fallut un long moment et les douces paroles et caresses de Claudine pour que centimètre par centimètre, il franchisse mon sphincter et me remplisse complètement. J'avais mal, la douleur prenait le pas sur le plaisir et j'avais le ventre brûlant de chaleur. Il fallut un temps infini pour que je l'accepte enfin et qu'elle puisse aller et venir en moi librement. Malgré la souffrance, je savourais la sensualité de Claudine qui me parlait doucement, m'embrassait, prenait mon sexe au repos dans sa bouche tout en me pénétrant avec ce gode énorme. Quand elle le retira de moi, j'eus l'impression d'un grand vide...et pour cause !
Je me réajustais, vérifiais mon maquillage car j'avais eu quelques sueurs et nous revîmes dans le salon où je discutais de tout et de rien avec Michel pendant que Claudine se préparait. Elle revint plutôt sagement vêtue d'une robe bleue et de sandales à talons moyens et discrètement maquillée. Rien à voir avec ses tenues précédentes !
Quelques minutes après, Jean arrivait. Grand et bel homme de la soixantaine, les cheveux gris et les yeux clairs en chemise brodée et pantalon de toile. Claudine nous présenta et il me serra pudiquement la main.
"Enchanté. Vous êtes très jolie, toute de rose couverte". Je le remerciais et l'engageais à me tutoyer.
Claudine nous servit l'apéritif sur la terrasse et après m'être assis à côté de lui, je croisais les jambes très haut afin d'entrouvrir mon kimono. C'était probablement une des premières fois où je me sentais aussi sûr de mes atouts. D'un autre côté, ce n'était pas très difficile. Le regard de Jean avait du mal à quitter mes jambes gainées de nylon rose prolongées par mes mules.
Jean me posa poliment des questions sur moi et ma vie. Mais rapidement, Claudine se mit à parler de moi en orientant la conversation: " Depuis qu'elle est ici, Michèle s'est comportée comme la VRAIE femme qu'elle souhaitait être. Nous avons passé un week-end très agréable, n'est-ce pas, Michel ?". Ce dernier confirma les dires de Claudine en  me regardant avec un sourire. J'étais gêné et flatté à la fois. Claudine continua: "Et elle aime réellement être femme sexuellement. Elle adore, par exemple qu'on lui caresse les seins, n'est ce pas chérie ?". J'ai du rougir sous mon maquillage.

Quand la main droite de Jean s'est posée sur ma cuisse, j'ai frémis puis j'ai écarté les jambes, dévoilant les jarretelles et  le revers brodé de mes bas  sous ma nuisette qui se soulevait. Jean s'est mis à me caresser, sa main glissait sur ma lingerie et ma peau nue au-dessus des bas. Je me levais, m'assis à califourchon sur lui et l'embrassais aussitôt. Ma langue fouilla sa bouche et la sienne me répondit. Je glissais mes mains sous son polo et mes doigts se mire à lui exciter les pointes de seins. Je sentis son bassin venir vers moi et son érection naissante. J'entendis Claudine nous inviter à rentrer car nous serions plus confortables. Je me dégageais de Jean, lui pris la main et l'entrainais vers le salon pour l'assoir sur le canapé. Je me remis à califourchon sur lui et nous reprîmes notre baiser profond. Je m'interrompis pour lui enlever son polo et pouvoir caresser son torse et  jouer avec ses tétons. Je sentais son sexe, énorme effectivement, durcir contre mon ventre. Quand il voulut me caresser les seins au travers de ma nuisette, je l'engageais à me l'enlever, ainsi que mon kimono. Ce qu'il fit instantanément avant de poser ses doigts sur mes seins qui dépassaient de ma guêpière et de me les toucher suivant mes indications. Il était fébrile et doux à la fois. Mon sexe se dressa et sortit de mon string. Je me relevais et lui demanda d'enlever son pantalon. Jean se mit nu. Il était totalement épilé et son sexe dressé était impressionnant, gigantesque en pleine érection. Je n'en n'avais jamais vu de si grand. Claudine avait raison...

J'asseyais de nouveau Jean sur le canapé et en me mettant à genoux, je m'approchais de son superbe sexe. Il était circoncis et exhalait une douce odeur de savon frais. Je posais ma bouche sur ce gland majestueux et le léchais à petits coups de langue avant de l'enrober complètement de mes lèvres. Je me régalais de cet ovale délicatement ourlé et doux, qui reposait contre mon palais. Je le tétais, l'aspirais, savourais cette immense crête palpitante. Ma main l'empauma et commença un lent et délicat va-et-vient pendant que j'ouvrais la bouche en grand pour l'avaler jusqu'au fond de ma gorge et remonter doucement, n'ayant pu n'en faire rentrer qu'une petite partie. Alors, je le ré-avalais encore et encore, me remplissais la bouche de cette virilité majestueuse. Il m'encourageait, disait que c'était bon, que je semblais aimer faire ça encore plus qu'une femme et ses mots m'excitaient. J'avais perdu la notion du temps, j'avais fermé les yeux et ne cessais de monter et de descendre sur son cierge chaud et dur, m'emplissant de ses saveurs, l'enroulant de mes paumes et du bout de mes doigts, l'offrant à mes lèvres comme une douceur savoureuse.
Je sursautais presque quand Claudine me toucha et me chuchota à l'oreille que j'avais l'air d'aimer ça...et que le spectacle ainsi que la vue de mes fesses  entourées de rose excitait beaucoup Michel et qu'il voudrait bien venir en moi.
Sans lâcher le sexe de Jean, j’acquiesçais en regardant Claudine. Au même moment, je pensais que depuis Thierry et Manuel, je n'avais pas réalisé ce qu'au fond de moi je souhaitais parfois dans mes fantasmes les plus profonds, être pris par deux hommes en même temps. Et de nouveau, j'allais vivre cela.  Je me mis alors alors bien à quatre pattes et très vite une main écarta mon string puis je sentis le gland de Michel  effleurer mon sillon sur toute sa hauteur. Lâchant Jean sans le quitter de la bouche, j'écartais mes fesses à deux mains pour bien m'ouvrir. Répondant à mon invitation, je le sentis pousser doucement et son gland passa facilement mon sphincter. En effet, j'étais bien offert tant j'en avais envie. Je l'ai senti s'arrêter, attentif à mes sensations, alors d'un petit mouvement du bassin, je l'engageais à continuer. Il entra ainsi en moi lentement mais d'une poussée continue car  et nous étions bien lubrifiés tous les deux. Ses mains se posèrent sur mes hanches pour plaquer son bassin contre mes fesses et entrer complètement en moi puis ressortir doucement et revenir encore et encore. Je me suis senti rempli et comblé par ces deux hommes en même temps. Les yeux fermés, je m'abandonnais complètement à leurs désirs, poussant mes fesses vers Michel à l'aller et avalant Jean au retour. Cela dura longtemps, je n'étais plus qu'un corps d'homme et de femme en même temps, envahi par ces deux sexes brûlants, mon esprit perdait  pied, je m'abandonnais dans un doux balancement de mon corps à leur rythme. Oui, j'avais aussi la bouche sèche à force de glisser sur  le sexe de Jean et le ventre en feu des allers et retours de Michel, mais j'étais bien et le savourais pleinement.  Plus tard, je ne sais plus, j'ai senti Claudine se glisser près de moi  et me caresser les fesses, les seins ou mon sexe mou. Elle  me murmura à l'oreille des mots à la fois doux et excitants, que j'étais comme une femme, comme je le désirais, que c'était très excitant pour elle de me regarder profiter de ces deux hommes dont le sien, qu'elle voyait qu'ils allaient bientôt jouir de moi. Jean s'emballait, son bassin se décollait du canapé vers moi, essayant de rentrer de plus en plus vite dans ma bouche et je le retenais en relevant la tête pour ne pas étouffer. Il me disait que ça venait, qu'il allait venir, que ma bouche était douce, que le plaisir montait. Soudain, son gland se figea loin sur mon palais pendant quelques secondes puis se contracta encore et encore et je sentis sa douce liqueur m'inonder en de longs jets puissants, bouche trop petite pour contenir tant de sa jouissance que je ne voulais pas avaler, alors je la recrachais et revenais le prendre pour le garder jusqu'au bout, ses spasmes me secouant  au gré de notre plaisir commun. Je ne le quittais que plus tard, reposé, apaisé et détendu, ses mains caressant doucement mes cheveux. Il avait dit des mots de plaisir et de jouissance, de notre bien-être commun, c'était bon à entendre.
Attentif, Michel ne s'était pas arrêté de venir en moi mais avais ralenti et je l'engageais d'un regard et du bassin à continuer. Cela ne dura pas longtemps, il devait être près du plaisir car au bout de quelques allers et retours, il resta figé en moi et j'ai senti dans mon ventre ses spasmes libérateurs en même temps qu'un simple "c'est bon" qui renforça ma satisfaction.
Quelques instants après, il sortit de moi puis quitta la pièce quelques minutes avant de revenir habillé. Entre temps, je m'étais douloureusement relevé, ankylosé de cette position longtemps maintenue. J'avais mal aux cuisses, aux bras, à la mâchoire et au ventre et je n'imaginais même pas l'état de mon maquillage. Néanmoins, debout devant ces deux hommes, l'un habillé et l'autre en train de le faire et de Claudine, juste en guêpière, bas, string et mules, j'étais bien, détendu, aucunement gêné, satisfait et fier de leur plaisir. Je remis juste mon kimono pour me couvrir. Jean s'approcha de moi et avec un grand sourire, me remercia de ce moment très agréable qu'il aurait bien voulu prolonger mais sa moitié l'attendait et n'était encore pas très vaillante. Nous le raccompagnâmes tous ensemble à sa voiture.
De retour, Claudine nous annonça qu'elle allait préparer le déjeuner.

Par michel
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Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 15:49

A peine sortis de la salle de bains, nous entendîmes la sonnerie du téléphone et la voix de Michel qui répondait. Après avoir  raccroché, il se tourna vers nous et nous annonça que Jean et Anne-Marie ne viendraient pas, cette dernière étant malade. Leurs regards se croisèrent et je vis qu'ils étaient déçus, ce qui était compréhensible. Et puis, rapidement, ils eurent un sourire et Claudine annonça que nous allions passer une très bonne soirée entre nous, Michel avec ses deux femmes.
Nous dînâmes tranquillement en devisant de tout, de nos métiers, nos voyages, nos pôles d'intérêts. Le vin aidant, les regards et les paroles s'échauffaient et bientôt, nous abordâmes à nouveau le sexe, parlant librement de nos expériences vécues et de nos désirs.
D'être en  femme, assis entre Michel et Claudine que j'avais envie de satisfaire me brûlait le ventre. Je ressentis à l'instant le plug qui était en moi et me contractais sur lui. J'étais prête, j'allais m'ouvrir au plaisir
M'approchant de Michel, je lui saisis la nuque et l'embrassais. Il me rendit immédiatement mon baiser avec élan et nos langues se mélangèrent. Je me collais alors contre lui et prolongeais ce baiser, savourant cette bouche d'homme désirant la mienne. Il m'enserra dans ses bras et je frémis de bien-être. Tout mon corps épousait le sien et je sentis naître son érection contre mon ventre. Je caressais son corps, glissais mes mains sur sa peau, découvrais ses saveurs. Mes lèvres courraient sur son torse au fur et à mesure que sa chemise s'ouvrait puis tombait, comme sa ceinture, son pantalon et ses chaussures. Son sexe tendu déformait son string, courbé sous la tension du tissu et n’attendant que moi pour le libérer. Je me mis à genoux devant lui, passant ma joue sur son string, caressant et pétrissant ses fesses qui s'avançaient vers moi, puis son ventre, remontant mes doigts sur ses seins pointés, baissant des dents son string pour libérer d'un coup son membre tendu que je flattais d'un coup de langue d'abord rapide puis plus insistant. Je léchais son gland avec délicatesse, puis de la bouche et des lèvres, le recouvrais entièrement.
A cet instant, je vis Claudine me rejoindre à côté de moi et sa bouche me disputer le membre de Michel. Longuement, nous le suçâmes  ensemble ou en alternance, mêlant nos salives et nos langues dans des baisers profonds. Mes mains s'emparèrent de ses seins lourds sous sa robe transparente et les pétrirent encore et encore. Me laissant engloutir le sexe turgescent de son mari, je sentis ses mains m'enlever ma robe  et collée dans mon dos, prendre possession de mes seins tendus qui n'attendaient que ça sous mon soutien-gorge qu'elle fit glisser pour me libérer. Je gémis sous la caresse. Le plaisir déferla dans mon sexe tendu sous le string et mon anus se contracta sur le plug. Ses doigts jouaient avec mes pointes, les faisaient rouler délicatement. J'étais très excité. J'étais bien. Les mains de Michel s'étaient posées sur ma tête et accompagnaient les va et vient de ma bouche jusqu'à la garde de son membre. Je le laissais aller jusqu'au fond de ma gorge, buter contre mon palais puis le ressortais complètement avant de le ré-engloutir à nouveau, encore et encore. Je me remplissais de lui, l'accompagnais d'une main et de l'autre empaumais ses testicules lisses ou ses fesse tendues.
"Tu as envie de lui maintenant ?" me demanda Claudine à l'oreille en glissant une main sur mon sexe tendu d'excitation. J’acquiesçais fébrilement. Je sentis alors les mains de Claudine faire glisser mon string le long de mes jambes, puis me caresser les cuisses et les fesses. Sa main glissa vers mon ventre et s'empara de mon sexe libéré et brûlant d'excitation. D'une main, elle jouait avec mes seins et de l'autre elle me masturbait doucement. Je n'étais que désir.  Sa bouche me rejoignit  sur le sexe de Michel et nous nous le partageâmes à nouveau. Quand je la sentis saisir  le plug, mon ventre se contracta puis se relâcha pour lui permettre de l’ôter. Je ressentis alors un grand vide et l'air entrer en moi.
"Allons dans la chambre, nous serons mieux".

 

Nous nous relevâmes et nous dirigeâmes vers la chambre. J'étais très excité entre Michel, nu devant moi, son sexe en érection et Claudine, derrière, qui me caressait la raie des fesses. Je marchais sur mes talons hauts, en porte-jarretelles et bas, les bretelles de mon soutien-gorge sur les bras, mon sexe tendu sous la nuisette. 

Immédiatement, j'allongeais Michel sur le dos et à quatre pattes sur lui, je me remplis la bouche de sa virilité. Bientôt, les doigts lubrifiés de Claudine me fouillèrent le ventre avec moins de douceur qu'avant. J'étais sensé être bien plus ouvert, ce qui était le cas. Elle rentra trois doigts d'un coup et me massa vite profondément en tournant. Cela me faisait encore un peu mal. Rapidement, elle me tendit un préservatif et je le fis descendre sur le pieu de Michel.
Me tournant vers Claudine, je lui demandais si elle avait encore du poppers...Elle me répondit que oui et après quelques secondes, me tendit le petit flacon.
Je me redressais alors sur mes genoux, saisit le membre gluant de lubrifiant de Michel pour en poser le gland à l'entrée de ma caverne. J'ouvris le flacon et inspirais fortement. Comme la veille, un bref étourdissement lumineux et une intense sensation de chaleur m'envahit quasi instantanément. Saisissant mes fesses à deux mains pour bien les écarter, je pesais sur le sexe de Michel qui glissa en moi avec une facilité étonnante, franchissant mon entrée sans aucune douleur. Je me laissais descendre très lentement sur son sexe qui m’empala et ne m'arrêtais que quand mes fesses se posèrent sur ses cuisses. Il était complètement en moi, j'étais rempli et je ne ressentais aucune douleur. Sans plus bouger, je savourais l'instant.
Je bougeais un peu les fesses pour bien le sentir en moi puis remontais lentement le long de cette chaleur brûlante jusqu'à presque le faire ressortir avant de réfléchir les cuisses pour me rassoir sur lui. Michel avait les yeux fermés et se laissait faire. J'étais bien, profitant pleinement de cette situation rêvée, me redressant puis me laissais retomber sur lui, le ventre en feu. Inlassablement, je coulissais sur lui, encore et encore, fermant les yeux pour ne vivre que la sensation.
Quand je les ouvris, ce fut pour découvrir Claudine assise sur un fauteuil,  en train de se caresser en nous regardant. De voir cette belle femme, en déshabillé transparent, ses seins offerts, ses jambes gainées de résille noir écartées, ses pieds reposants sur ses talons aiguilles nous regarder, décupla mon plaisir d'un coup. Je vis que Michel la regardait aussi. Bientôt,  elle se leva et se mit face à moi, en enjambant Michel et me saisissant la nuque, elle me plaqua le visage sur son sexe. Elle était trempée et je fus inondé d'elle le temps que  ma langue la découvre. Elle se laissait à peine faire tant son bassin  n'était que mouvements vers moi. Enfin, mes lèvres collées à elle, elle me laissa jouer avec ses saveurs. Ma langue tourna longuement sur son bouton avant de découvrir ses profondeurs. Elle m'engageait de la voix et  me guidait  de ses mains sur ma tête. Concentré, j'en oubliais Michel, qui mit alors ses mais sur mes hanches et commença à venir en moi à son rythme. J'étais complètement soumis dans l'instant, tenu par quatre mains, presque étouffé dans le sexe de Claudine qui ondulait sur moi de plus en plus vite et le ventre en feu car Michel allait lui aussi de plus en plus vite en moi, dans de grands mouvements de  bassin.  Je m'abandonnais à leurs mouvements et leurs plaisirs, perdant la notion du temps. Claudine se mit à me dire que ça venait, oui, encore, ses deux mains crispées sur ma tête qu'elle faisait aller de plus en plus rapidement de bas en haut, ses mouvements devinrent désordonnés, elle se mit à crier puis d'un coup, se sépara de moi pour se jeter et se blottir contre Michel et l'embrasser, les mains entre ses jambes, le corps secoué de spasmes de plaisir. Michel ne bougeait plus et serrait Claudine contre lui. Je respectais leur relative intimité en ne bougeant plus non plus. Plus tard, Claudine se leva du lit, se rassit dans le fauteuil et nous regarda. Se redressant, Michel me demanda si je voulais bien me mettre à quatre pattes afin qu'il me prenne par derrière. Je me séparais de lui, toujours aussi dur, pour me mettre dans la position souhaitée, les jambes bien écartées et mes mains étirant mes fesses pour bien m'ouvrir. Les mains de Michel se sont posées sur mes hanches et je l'ai senti entrer en moi d'une seule poussée facile et fraîche car il avait, à ma demande, remis du lubrifiant. Rapidement, il a commencé à venir en moi de plus en plus vite et de plus en plus fort, plaquant son bassin à mes fesses et ressortant presque de moi pour mieux y revenir. La tête entre les bras, les yeux fermés, je mis à me caresser les seins en glissant le bout de mes doigts sous ma nuisette et me laissais aller à cette pénétration répétée de mon intimité pour en savourer le plaisir. Je ne bandais plus mais appréciais cette chaleur qui m'envahissait le ventre et cette situation tant désirée d'être sodomisée en travestie. Bientôt, je sus que Michel allait jouir à ses pénétrations de plus en plus rapides et il finit par rester incrusté en moi, ses mains crispées sur mes hanches, des spasmes le secouant pendant qu'il se déversait en moi. Je vivais ce plaisir d'homme comme une gratitude à ma féminité.
Quand Michel se retira de moi, je ressentis un grand vide. Je quittais le lit et me retrouvais debout, pendant que Michel s'allongeait sur le dos. Ma nuisette et mon soutien-gorge baissés jusqu'à mes seins découverts, un bas filé, je n'osais imaginer l'état de mon maquillage et la position de ma perruque. Et pourtant, je ne me sentais ni ridicule, ni gêné en aucune façon. C'était ce que je souhaitais. Claudine vint s'allonger contre son mari et gentiment, m'invita à me mettre avec eux. Je me collais dans son dos.
Plus tard, Michel se leva et annonça qu'il allait prendre une douche. Claudine se tourna vers moi et dit en m'embrassant  "Tu es très mignon. C'est très agréable, ce que nous faisons ensemble. A demain ?".
Je quittais leur chambre, me déshabillais dans la mienne avant de me démaquiller et de prendre une douche. Je m'écroulais sur mon lit et m'endormis tout de suite, des images plein la tête.


Par michel
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Vendredi 25 mai 5 25 /05 /Mai 18:50

Je suivis Claudine dans son dressing. Elle en sortit alors deux robes noires et une bleue, plutôt habillées puis deux déshabillés noirs très transparents.

"Tu dois peut-être même pouvoir en mettre un sous une des robes"

Enlevant ma robe blanche, j'essayais successivement ce qu'elle me présentait. Si les nuisettes ne cachaient strictement rien et étaient très sexy, une des robes m'allait très bien. 

"Repose-toi un peu, tu vas en avoir besoin, puis prépare-toi et je te rejoindrai vers 19h pour les ultimes préparatifs. Je vais préparer le buffet. A tout à l'heure, mon chérie"

En prévision de ce soir, je décidais de remettre le gros plug. Il eut du mal à rentrer malgré des lubrifications répétées. Je réalisais que je me resserrais très vite. Le ventre brûlant et après avoir enlevé ma perruque, je me glissais sous les draps et m'endormis aussitôt.

Je me réveillais vers 18h et toujours nu sous mon kimono blanc, je me dirigeais vers la salle de bain. Assis sur les toilette, j'enlevais doucement le plug et ressentis un grand vide. L'air entrait librement, c'était frais. Je m'introduisis un mini lavement et serrais les fesses pour le garder. Pendant ce temps, je lavais le plug, me rasais à nouveau soigneusement, me parfumais. Incapable de me retenir plus longtemps, je me libérais dans les toilettes puis me douchais. Je réintroduisis lentement le plug lubrifié qui reprit presque naturellement sa place. Enfin, je remis la perruque devant la glace. Mon maquillage avait besoin de rafraichissement et j'attendrai Claudine pour cela.

Dans la chambre, j'étalais ma parure bleue sur le lit puis enfilais le porte-jarretelles qui me serrait un peu trop. Je déballais délicatement les bas bleus à grand revers de dentelle et les faisais glisser sur mes jambes puis les fixais aux jarretelles avec précaution. Le string, le soutien-gorge, la nuisette et la robe noire complétèrent l'ensemble. Enfin, je mettais les sandales à talons de 10 cm à laçage spartiate sur mes mollets.

Debout, je me regardais évoluer ainsi habillé, le plug en moi. Quelle sensation agréable d'être dans cette situation, avec ce couple charmant et le programme à venir de ce soir.

On frappa à la porte et Claudine entra. Je restais stupéfait. Elle était provocante, très maquillée, juchée sur de hauts talons à plateforme rouges, en bas résille noirs, une robe en voile rouge et noir laissant deviner un ensemble string-soutien-gorge rouge et noir très ouvert.

"Tu es superbe"

Nous nous complimentâmes mutuellement et Claudine m'invitât à venir dans sa salle de bains refaire mon maquillage.

Le salon était transformé. Volets fermés, lumière tamisée, Un buffet sur une table le long du mur et des gros pouf et d'énormes coussins partout.

Michel, qui lisait assis sur le canapé, se leva à notre approche.

"Vous êtes splendide toutes les deux. Michel, quelle belle transformation !"

Sans attendre plus, je suivis alors Claudine qui corrigea alors mon maquillage devant le miroir.: un peu de fond de teint et d'anti-cernes, du blush, un soupçon d'eye-liner et de mascara et enfin, de jolies lèvres bien rouges. Le vernis à ongle n'avait pas bougé. Nous nous contemplâmes à travers le miroir. J'étais un autre, mi homme, mi femme.

 

Par michel
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 00:16

La vendeuse revint les bras chargés de quatre boites et les posa sur la table. Se plaçant derrière moi et me regardant dans le miroir, elle  mit ses paumes sur mes oreilles et mes joues. Je me sentis rougir de honte et d’excitation mélangée.

« Vous avez un visage plutôt long, le teint mat et des sourcils foncés. Il vous faut donc une perruque brune, mi-longue, jusqu'aux épaules »

Ouvrant la première boite, elle en sortit la première perruque qu’elle fit glisser sur mon front d’avant en arrière. Tapotant par-ci, par-là, elle s’appliqua à bien la positionner. Je me regardais et me trouvais bizarre, différent, pas vraiment plus femme en fait, un homme avec des cheveux chatains. Comprenant ma perplexité silencieuse, elle me fit successivement essayer les trois autres, peu différentes hormis la couleur. Le châtain m’allait pas. Claudine répondait par des haussements d’épaules à mes regards interrogateurs. Sur les conseils de la vendeuse, je choisis la première, me levais pour aller payer et nous quittâmes le magasin sur un « Bonne journée, messieurs dame » un brin ironique de la vendeuse. Cela ne me fit ni chaud, ni froid. J’assumais de plus en plus mon ambiguïté aux yeux des étrangers.

« Tu vas être très féminine, tu vas voir ». Claudine reprit son babillage sensuel et je réalisais que je me promenais en string et soutien-gorge sous mes vêtements, une perruque dans un sac, avec cette belle femme presque sexagénaire, à la fois provocante et rassurante, qui m’avait sodomisé la veille et m’avait parlé d’une surprise pour ce soir. Je m’abandonnais à tout ce qui allait venir et savourais ce beau soleil du printemps.

« Besoin d’autre chose, mon chérie, des idées ? » Devant ma réponse négative, nous nous dirigeâmes vers la voiture et rentrâmes à leur maison.

Arrivés chez eux, pas de trace de Michel. En guise de réponse, elle me dit qu’il était parti travailler, ce qui nous laissait le temps de nous préparer. Il était à peine 11 heures. Me laissant quelques minutes dans le salon, elle me tendit une robe blanche.

« Je la portais il y a 20 ans, j’étais mince. Vas te mettre à l’aise »

Dans la chambre, je me déshabillais et enfilais la robe sur mes sous-vêtements assortis. Elle était à la fois sage et transparente, couvrant juste mes genoux et à manches longues afin de cacher mes avant-bras non épilés. Enfin,  je remis  mes sandales. J’étais bien, léger, détendu.

Nous prîmes un café sur la terrasse, comme deux femmes toutes les deux de blanc vêtues. Elle m’apprit que les voisins, sans réellement pouvoir nous voir, se doutaient de leur vie libertine mais qu’ils assumaient pleinement. Je profitais de la situation, habillé en femme en extérieur, croisant et décroisant mes jambes nues dépassant de la robe, chaussé de mes jolies  sandales.

« Viens, nous allons te préparer »

M’entraînant à nouveau dans sa salle de bains, elle s’occupa de moi pendant un temps qui me parut à la fois très long, fastidieux et tellement excitant à la fois. Après m’avoir mis ma perruque, elle se conduisit comme une esthéticienne. Quel travail ! Elle commença par le maquillage : fond de teint, fard à paupières, crayon noir, mascara, crayon puis rouge à lèvres puis gloss. Elle enchaîna sur mes ongles. D’abord des pieds après m’avoir invité à enlever mes sandales que je mis sur la table devant moi, afin de profiter de leur double vision grâce au miroir, puis des mains avec du vernis rouge. Je vivais ma transformation  comme dans un rêve, à la fois tant fantasmée et en cours de réalisation et paniqué devant l’ampleur si rapide de l’évolution de la situation.

Quand Claudine, s’éclipsa quelques minutes et me laissa seul,  je me regardais dans la glace et vis presque une femme. Un visage trop long, des sourcils trop épais, un nez trop gros mais la perruque, le maquillage et le vernis à ongles atténuaient cette masculinité. J’étais enfin un travesti. Mon cœur battait la chamade.

Quand elle revint avec la boite à bijoux, elle me para de pendants d’oreille à clips en or, d’un collier assorti, me passa un bracelet de jonc à chaque poignet puis plus difficilement, il fallut en essayer plusieurs, quelques bagues  aux doigts. Se redressant et me contemplant, toujours assis devant ce miroir depuis plusieurs heures, presque deux en fait, elle me regarda et m’interrogea en souriant :

« Alors ? »

Je ne savais que dire, à la fois ébloui par ce qu’elle avait fait de moi et affolé devant ce que j’étais devenu et ce qui allait se passer ensuite. Une peur transitoire qui s’estompa vite quand je remis mes sandales, me levais et me contemplais debout ainsi devenu. C’est inespéré, tout cela ne se reproduira jamais, profitons-en.

« Trop bien ! »

Je ne savais plus où j’étais. Mon regard se posa d’abord sur mes pieds nus croisés par les lanières de mes sandales, sans bas, cela n’arrivait jamais, les orteils vernis de rouge, mes jambes presque épilées, la robe blanche, les bracelets puis les bagues sur mes doigts aux ongles vernis de rouge. Enfin, dans la glace, de nouveau la robe, le collier , la perruque, le maquillage et le rouge à lèvres étincelant.

Un travesti grossier mais c’était attendu.

Et je l’attendais depuis longtemps.

Claudine sourit, me saisit la main et me dit alors :

« Viens, nous allons grignoter entre femmes »

Je la suivis alors et me laissais aller à cette féminité partagée, le claquement de mes talons sur le sol, les mouvements libres de ma robe au gré de mes déplacements, cette sensation subite de légèreté dans l’habillement, de presque nudité érotiquement déguisée. J’aimais la compagnie de Claudine, faîte de naturel à la limite de la naïveté mais si rassurante et rafraîchissante à la fois.

Nous déjeunâmes au soleil de légumes et de fruits, couverts de crème solaire et de complicité partagée.

« Si tu es d’accord, nous invitons Jean et Anne-Marie. Ils sont de notre âge. Jean est très bi, il va t’apprécier. Il en rêve. D’ailleurs, c’est lui qui a convaincu Michel. Qui ne le regrette pas, d’ailleurs, au contraire et qui attend ce soir avec impatience. Il a adoré hier soir. Et moi aussi. Et notre journée aussi, c’était très agréable. Anne-Marie est très bi et j’adore. Ce soir ce sera entre hommes d’un coté et entre femmes de l’autre»

Je regardais Claudine et lui dis que j’avais envie de l’embrasser. Se penchant vers moi, nos lèvres se joignirent et nous échangeâmes un long baiser sensuel. Le plaisir monta instantanément en moi et je me sentis durcir.

Elle se sépara de moi, troublée et nous reprîmes vite nos échanges sur le programme de la soirée, tous les deux avides de l’organisation parfaite pour que tout soit réussi. Le plaisir viendrait plus tard

Le café fût le bienvenu.

J’avouais vite à Claudine ma préoccupation quand à ma tenue de ce soir.

« J’ai un ensemble bleu Aubade, des bas bleu, des sandales à laçage spartiate sur les chevilles (une première), bleues, elles aussi. Avec mon ensemble noir, nuisette et kimono. Sauf si tu as autre chose à me proposer »

« Je te verrais mieux en robe pour la soirée. Encore que je trouve ta nuisette trop opaque, j’en ai des plus transparentes »

Celle qu’elle portait hier soir l’était indéniablement et beaucoup plus excitante que la mienne. J’acquiesçais.

 

Par michel
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