Samedi 28 avril 6 28 /04 /Avr 00:30

Je me réveillais naturellement tôt, vers huit heures. J'avais le ventre douloureux. Immédiatement, se posa la question de savoir comment j’allais m’habiller. En effet, je n’avais que des tenues de nuit. Et je revenais toujours sur ma pilosité. Impossible de me mettre les jambes nues. J’allais être ridicule en journée. Je choisis alors de mettre simplement un string et un soutien-gorge blanc sous un kimono de la même couleur et des sandales assorties pour aller à la salle de bains. La maison était silencieuse. En me regardant dans la glace et en voyant les poils jaillir de mon string et de mon soutien-gorge, je n’hésitais pas très longtemps. Saisissant ma tondeuse, je faisais rapidement diminuer la pilosité de mon torse et de mon pubis, laissant néanmoins une couche de poils à la fois plus raisonnable et plus discrète, mais toujours présente. C’était déjà mieux et ne changeait pas trop. Il restait le problème des jambes et des bras. Et là, l’épilation n’était pas possible car trop visible Je me rasais soigneusement le visage puis me parfumais et me crémais. Pas de plug, c'était trop sensible et puis j'étais bien ouvert. Je décidais finalement de me mettre tout en blanc : bas, porte-jarretelles, string, soutien-gorge, nuisette, kimono et sandales à lanières de 12 cm de talons. Encore une tenue de nuit mais je n’avais pas le choix, on verrait bien !

Il n’y avait personne. Il faisait un temps magnifique et la cuisine était très ensoleillée. Mes talons claquaient sur le carrelage blanc. Comme ils n’avaient fermés aucune fenêtre hier soir et que je ne voyais aucun vis-à-vis, je supposais que je pouvais évoluer ainsi sans risque, ce que je fis. Une sensation étrange et excitante, d’évoluer ainsi, libre et contraint à la fois. Faisant comme chez moi, je commençais à dresser  la table pour le petit-déjeuner. J’eu à peine le temps de me servir un café que la porte s’ouvrit et Claudine apparût. Je souris car elle portait une nuisette blanche, plus opaque que celle d’hier soir, laissant néanmoins entrevoir l’échancrure de ses seins pleins et des mules assorties à talons moyennement hauts. Elle était très sexy. Elle souris aussi et me complimentât sur ma tenue :

« En plus, nous sommes assorties… »

Détendu, nous échangeâmes en partageant le petit déjeuner. Elle était positive et attentive, curieuse et pleine de joie de vivre et je lui avouais vite mes conduites dans la salle de bain, mes doutes et mes envies. Cela n’aurait tenu qu’à moi, je me serai épilé instantanément de la tête aux pieds, maquillé, vernis les ongles des mains et des pieds de rouge vif, non, de blanc en fait, coiffé d’une perruque ni trop sombre, ni trop longue, et habillé d’un ensemble string et soutien-gorge blanc, une robe simple, blanche, comme les mules à talons très hauts pour l’intérieur ou des sandales à talons moyens pour sortir comme une femme entre femmes. Mais ce n’était pas possible.

« Nous avons la journée pour réaliser tes envies qui sont aussi les nôtres, et puis, nous en parlerons, nous avons un projet pour ce soir, je t’en parlerai plus tard »

« Viens »

Me tendant la main, elle m’entraînât  vers sa propre salle de bains.

« Déshabille-toi »

D’abord avec un épilateur, puis un rasoir, elle perfectionna mes ébauches, sans aller beaucoup plus loin, je lui avais dit. Des cheveux aux orteils, elle affina ma demi féminité à ma mesure dictée. Et je me retenais, si cela ne tenait qu’à moi, j’étais entièrement lisse et douce dans l’instant, point de départ obligé et tant fantasmé de toutes les transformations. Mais non.

Debout, elle me faisait tourner sur moi-même, me palpait, écartait, soulevait, ouvrait. Dépilait, adoucissait, lissait. Me féminisait tout en ne cessant de me parler, de me complimenter, de s’amuser en me rassurant.

Je finis à quatre pattes et elle ne fit que me féliciter sans rien faire de plus sur ma féminité. J’étais fier.

Satisfaite, elle m’engagea à me doucher, sans quitter la pièce, ni arrêter de me parler. Bien séché, elle me fit asseoir devant le miroir et me regardant à travers lui, penchée sur mon épaule, m’expliqua que ce soir, elle me maquillerait, me ferait les ongles, me mettrait des bijoux, me rendrait femme si nous trouvions une perruque dans la journée. C’était impératif à nos yeux et allait être un des buts de ce début de journée. J’étais très excité.

« Prépare-toi, le temps de regarder rapidement sur Internet, nous allons en ville »

Dans ma chambre, je me retransformais en homme, gardant néanmoins mon string et mon soutien-gorge. Je n’hésitais pas une seconde.

Elle réapparut  en femme élégante, simplement habillée d’une robe de demi-saison toujours blanche, des sandales assorties à petits talons, une chaîne à la cheville, assez maquillée. Charmante et provocante à la fois.

Quelques minutes de voiture, un parking, de la marche, des entrées seules dans des boutiques, de coiffeurs surtout et puis, enfin, une invitation à l’accompagner. Une sorte d’institut de beauté, des perruques en vitrine, un endroit féminin.

Une vendeuse, ouf, la cinquantaine fatiguée, ouf, avenante.

J’étais fébrile. Claudine n’hésitât pas une seconde.

« Bonjour, nous cherchons une perruque pour monsieur »

Une ébauche de sourire, pas de commentaire. Re ouf.

« Entrez, installez-vous, nous allons voir ça. Que désirez-vous ? »

Mon cœur battait à 140. Claudine m’invitât de la main à m’asseoir devant la table et le miroir de démonstration. Je bafouillais.

« Je ne sais pas ce qui peut m’aller. Pas trop long, ni trop sombre. Quelque chose de doux »

« Je reviens »

Par michel
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Mardi 3 avril 2 03 /04 /Avr 22:03

Je savais depuis longtemps que ce week-end serait libre car je l’avais réservé pour Michel et Claudine, un couple de la soixantaine rencontré sur un site échangiste où j’avais visité leur profil, bien qu’ils ne semblent rechercher que des couples sans être bi ni l’un ni l’autre mais ils m’avaient contactés quasi instantanément pour me faire part de leur attirance. Nous avions eu de longs échanges sur Internet puis par téléphone. Comme d’habitude, je n’avais laissé aucune équivoque sur ce que je suis : un homme déguisé poilu et dégarni, pas un travesti, mais très femelle…C’est ce qu’ils souhaitaient, un homme « faisant la femme », pas un travesti féminin. Ils adoraient tous les deux la lingerie et les chaussures à talons hauts et mes photos leur plaisaient beaucoup

Après de longs dialogues, où nous exprimâmes clairement  nos souhaits et interdits respectifs qui semblaient s’accorder,  nous avions organisé ce week-end chez eux. Ils vivaient dans une villa avec piscine dans un village à 40 Km de chez moi…

Nous étions au printemps, il faisait un temps magnifique et toute la semaine, j’avais été très excité. Exceptionnellement, dès le vendredi matin, j'avais mis mon petit plug et l'avais gardé au travail. Quelle sensation agréable de le sentir ainsi en moi toute la matinée. En début d'après-midi, je l'enlevais, me rasais délicatement et après m'être bien lubrifié, je tentais de rentrer le gros. Ce fut très douloureux et je mis un temps infini à l'accepter. Cela faisait si longtemps. En même temps, c’était l’occasion et, quelque part, je n'avais pas le choix, il fallait que je sois préparé si je ne voulais avoir que du plaisir plus tard. J’emmenais tout, lingerie, chaussures, serviette, gants, lavements, lubrifiants, nécessaire de toilette,…

Trois quart d’heure après et quelques errements, guidé au téléphone par Michel, je rentrais ma voiture dans une jolie villa verdoyante et ensoleillée, semblant parfaitement isolée des regards extérieurs grâce à une végétation luxuriante. Il était dix neuf heures.

Le portail automatique se referma derrière moi et je découvris Michel, debout devant la maison, qui me guida de la main pour me garer. Mon cœur battait vite, l’excitation… Pas très grand, mince, grisonnant, habillé détendu-négligé d’un pantalon de toile beige et d’une chemise bleue entrouverte, pieds nus sur la terrasse.

« Bonjour Michel, bienvenu chez nous»

« Bonjour Michel, merci de ton aide pour y arriver ». Il sourit.

« Entre, Claudine est là »

Après avoir pris mes sacs dans le coffre, je suivis Michel et entrais dans la maison. Je lui souris, lui aussi. Un grand salon clair et au milieu, Claudine, pas très grande non plus, brune avec de longs cheveux noirs, pulpeuse, souriante, debout sur 12 cm de talons plateforme, en bas noirs, porte-jarretelles et string assorti, de lourds seins offerts sur un soutien-gorge  ouvert, à peine cachés par un déshabillé transparent de voile noir…J’étais époustouflé, le rêve au féminin, superbe d’érotisme à presque 60 ans, qui m’accueillait chez elle !

« Bonjour Michel, tu as fait bonne route ? »

« Bonjour Claudine. Oui, merci ». J’avais la voix un peu chevrotante et elle fit semblant de ne pas le remarquer….

« Pose tes affaires. Tu veux boire quelque chose tout de suite ou te mettre à l’aise d’abord ? «  Dit-elle en souriant. Comme nous en avions déjà parlé au téléphone, cette proposition n’était qu’un principe…

« Suis moi, je te fais visiter »

Passant devant moi, ses fesses généreuses séparées par son string ondulant grâce au balancement de ses hanches, le claquement de ses talons sur le carrelage, elle m’indiqua une chambre puis me montrât la salle de bain et m’invitât à faire comme chez moi. Je refermais la porte de cette dernière. J’étais fébrile

Après m’être déshabillé, j'ôtais le plug. Quelle libération et quelle sensation de vide. Je le lavais soigneusement et m’introduisis un mini lavement à garder dix minutes. Après m'être libéré, je passais à nouveau sous la douche car j'avais eu chaud en venant, et fis une toilette intime minutieuse et répétée. Après un moment d'hésitation, je décidais de remettre le plug pour rester bien ouvert. Cette fois-ci, il rentra beaucoup plus facilement. Puis, parfum, déodorant, crème,…Pas d’épilation intégrale, lisse de la tête au pied, de cheveux longs et généreux, de maquillage, de vernis, de bijoux,…Hélas…

J’enfilais enfin une paire de bas noirs Clio neufs, lentement, délicatement, savourant leur crissement sur mes jambes, un ensemble porte-jarretelles, string et soutien-gorge rouge, ma dernière paire de mules rouge puis une longue nuisette rouge à col et revers en dentelle noire, vaporeuse et enfin, mon kimono noir que je fermais avec sa ceinture. Qu’est ce que j’étais bien, là, presque femme, le ventre rempli avec ce couple qui m’attendait à quelques mètres pour notre plaisir à venir pendant deux jours si nous nous convenions !

Le claquement de mes talons sur le carrelage leur fit tourner la tête vers moi. Michel, assis sur le canapé de cuir blanc et Claudine debout devant le bar de la cuisine américaine me regardèrent venir vers eux.

« Effectivement, tu es très jolie ainsi, ma chérie, et il ne suffirait de pas grand-chose pour faire de toi une jolie femme, tu ne nous avais pas menti ! »

Le cœur battant, je laissais échapper un oui crispé.

« Viens »  me dit alors Claudine, « je vais te montrer la cuisine ». Ils désiraient être servi, c’était nouveau pour moi, pas de la soumission au sens SM mais au sens féminin et j’étais d’accord.

Je me dirigeais alors vers Claudine. Le soleil se couchait, la lumière était douce et les ombres ambrées de nuances sombres et chaudes. J’étais bien. Ils me suivaient  des yeux tous les deux et j’aimais ça.

Je baissais les miens pour regarder le dessus de mes superbes mules Sacha rouges (of  London…!), les quatre lanières se rejoignant au centre dans un nœud harmonieux sur le dos du pied couvert de nylon noir que je redressais langoureusement afin de sentir le petit clac du talon de douze centimètres entrant en contact avec le carrelage blanc J’adore faire ce geste, comme croiser les jambes gainées de nylon et prolongées par le talon aiguille de sandales ou de mules, ce crissement inimitable de féminité éternellement renouvelable. Je suivis la ligne des orteils soudain tendus, du mollet galbé jusqu’au revers de la nuisette rouge, longue à souhait, bordée de dentelle noire, qui dépassait du kimono quand je pliais une jambe. Des minauderies de femme…

Je marchais dans le salon puis dans la cuisine, librement, l’air du soir caressant mes épaules nues hormis les bretelles rouges superposées de ma guêpière et de ma nuisette que je sentais glisser sur mon corps comme les voiles superposés des orientales ou des indiennes, m’imaginant un instant en en sari rouge, intégralement épilé de la tête au pieds, sans le moindre poil, lisse et douce, brune aux cheveux longs, maquillée, du vernis rouge, des bijoux

Pourtant, ce fut fugace car j’étais là, bien en demi femme rouge et noire, à ma mesure, chez un couple à qui cela semblait convenir.

Nous avons trinqué en entrechoquant nos verres de vin blanc que j’avais rempli comme la maîtresse de maison que je voulais être suivant les indications de Claudine qui avait rejoint Michel sur le canapé,  amenant le plateau dans le salon, leur tendant le verre frais et fruité. Je m’asseyais alors sur un fauteuil, leur faisant face, mon verre à la main, et fermant un instant les yeux,  j’ai posé le talon de ma mule droite sur le sol et croisé les jambes. Naturellement attirée par son poids, l’arrière de ma mule gauche s’est décollé de mon talon et s’est laissé pendre, seulement tenue par les brides du dessus du pied. Si on y ajoute un mouvement de balancement, c’est du « dambling », j’ai découvert ça récemment sur internet et le savourais alors

Nous entamâmes alors une discussion nourrie qui se prolongea par un dîner préparé par Claudine et entièrement servi par mes soins suivant ses indication. Ils n’eurent de cesse de me traiter comme une femme, avec courtoisie et  humour mais sans moquerie à aucun moment. Ils me complimentèrent à plusieurs reprises sur mes attitudes féminines. J’étais détendu, en confiance, à l’aise.

Au début, nous parlâmes de tout et de rien, de la vie en général  puis la conversation prit une orientation plus sexuelle avec le récit de nos expériences passées. Ils étaient dans le milieu libertin depuis longtemps, uniquement avec des couples ou des femmes bi, Michel n'ayant que très récemment des envies homosexuelles. Ils avaient reçu un travesti il y a quelques semaines mais elle semblait avoir été très prude et n'avoir pas répondu à ses attentes. Je sentais l'excitation doucement monter autour de la table...Au moment où j'allais me lever pour débarrasser, Claudine mit sa main sur ma nuque pour m'attirer vers elle et m'embrassa longuement. Je débarrassais la table pendant qu'elle préparait le café puis elle m'invita à aller rejoindre Michel sur le canapé. Ce dernier venait d'allumer la télévision et quelques secondes après, je vis apparaître un couple dont je compris rapidement que la femme était un travesti. Claudine vint s'asseoir et je me retrouvais entre eux deux. Claudine mit sa main sur ma cuisse, caressa mon bas et me complimenta à nouveau sur ma tenue qu'elle trouvait très féminine. Sur l'écran, se déroulait ce que j'aimais...Claudine me murmura à l'oreille de m'occuper de Michel. Je me tournais alors vers lui qui avait le regard fixé sur l'écran où la belle créature engloutissait un sexe de 20 centimètres avec un plaisir non dissimulé, lui tournais doucement la tête vers moi et posais très vite  mes lèvres sur les siennes. Il eut une brève réaction de recul avant de vite reposer sa bouche sur la mienne. Nous savourâmes ce premier contact intime quelques secondes avant que nos langues se mêlent et nos dents s’entrechoquent. Tout se mélangea, nos souffles, nos saveurs, nos muqueuses…Nos mains caressèrent frénétiquement des cous et des joues, des épaules musclées ou creusées, des bras fins ou puissants, des peaux frémissantes.

Je me penchais en avant, posais mon verre sur la table et l’embrassais à nouveau Je défaisais maladroitement les boutons de sa chemise et glissais les mains sur sa peau en collant le bas de mon corps contre lui. Je frottais tout mon corps contre le sien. J’avais envie de son sexe d’homme, que je ne sentais pas encore dur contre moi mais qui allait le devenir, j’en étais sûr…

Mes doigts courraient sur son torse, découvraient ses seins que j’effleurais longuement avant d’y poser les lèvres. Sa ceinture tomba et ma joue posée sur son ventre, j’ai déboutonné son pantalon  comme une aventure, mes mains sur ses hanches pour faire descendre l’obstacle vers ses pieds et lui enlever facilement.

De ce slip d’homme, que je trouvais subitement laid et grossier, comparé à un string de dentelle, tellement plus fin et délicat, dépassait un gland turgescent dont la seule vue me remplit d’un frémissement presque animal. J’étais sa femelle. Prendre du plaisir, pour lui, l’homme et en recevoir, moi, la femme.

Me laissant lentement glisser sur le sol, tout contre lui, j’approchais mon nez de son joli champignon circoncis collé à son ventre, m’emplissant de sa vue et de son odeur forte et musquée. Mes lèvres en découvrirent la saveur en se posant d’abord délicatement sur lui puis, le nez sur son ventre, en le prenant à pleine bouche, ma langue en dessinait le contour ourlé et s’enroulait sur ses crêtes. Longuement, je jouais avec lui, fermant les yeux,  m’emplissant de cette vie palpitante qui m’envahissait la bouche, le palais, le cerveau, mon membre tendu, le corps en feu

J’ai aimé mes mains faisant descendre son slip sur ses hanches afin de n’avoir plus d’obstacle, ma bouche accompagnant cette douce descente pour l’engloutir infiniment lentement jusqu’au fond de ma gorge, puis  remonter avec lenteur, dégustant chaque millimètre de la peau ce pieu chaud et palpitant. Je m’en remplissais et m’en satisfaisais avidement d’autant plus qu’il était complètement épilé et que tout était très doux.

Avec frénésie, je l’avalais, l’engloutissais, ouvrais ma bouche démesurément pour le recouvrir et ne le sentir pleinement qu’en posant mes lèvres sur la base de ce pieu qui était toute entier en moi, m’enivrant de ces odeurs puissantes. Quand il se pencha en avant et glissa délicatement ses mains dans le kimono, sous ma nuisette pour se poser sur mes seins, c’est moi qui gémis. Je le repris avec d’autant plus de plaisir qu’il semblait l’exprimer mes attentes, des gémissements entrecoupés de mots de poursuite, ses doigts excitaient mes pointes de seins en tournant doucement, c’était délicieux.
Je sentis alors les mains de Claudine d'abord sur mes hanches pour relever ma nuisette. Elle découvrit alors le plug et me fît remarquer que j'étais une "petite cochonne". Ecartant mon string, elle le retira et en voyant sa taille, elle eu une exclamation: "Pour quelqu'un de soi-disant très étroit...". Après quelques secondes, la douce sensation de fraîcheur d'un doigt lubrifié entrant lentement en moi me fit me détendre pour profiter pleinement de sa venue. J'en oubliais un bref moment le gland de Michel qui me remplissait la bouche et que j'aspirais alors avec d'autant plus de vigueur, mes doigts faisant délicatement coulisser la fine peau sur mes lèvres  Je me positionnais bien à quatre pattes pour m'ouvrir au maximum à Claudine qui faisait maintenant aller et venir son doigt librement en moi. Voyant cela, elle en introduisit rapidement un deuxième et joua en moi jusqu'à pouvoir les tourner dans tous les sens. A un moment, elle se colla contre moi pour me demander si tout allait bien et, sans sortir ses doigts de moi, vint lécher le sexe tendu de Michel qui sembla apprécier nos deux langues sur lui. Je lui confirmais alors qu'elle pouvait aller plus loin, ce qu'elle fit rapidement en rentrant facilement trois doigts qu'elle fit jouer librement en moi.
"Je ne suis pas très bien installé" dis je. Claudine, sortant ses doigts, proposa d'aller dans la chambre. Nous nous redressâmes tous en même temps. Sur l'écran, le travesti suçait toujours avidement le sexe impressionnant de l'homme. Je suivis alors Michel, nu devant moi, le sexe dressé, jusqu'à une grande chambre dont la lumière tamisée était propice à tous les plaisirs. Michel s'allongea sur le dos. Derrière moi, je sentis les mains de Claudine m’entourer pour défaire la ceinture de mon kimono puis le faire glisser sur mes épaules et me l’ôter. Je me collais alors à Michel, l'embrassant à pleine bouche et sentais son sexe dur contre mon ventre.
Me redressant, je pris alors deux oreillers, les positionnait sous mon ventre afin d'avoir les fesses bien relevées et je descendis savourer Michel à pleine bouche. Celui-ci avouait son plaisir et m'encourageait de propos gentils. Ses mains reprirent alors mes seins. J'ai sentis ceux de Claudine s'écraser sur mon dos et ses doigts se réapproprier leur espace naturel, encore plus frais du lubrifiant qu'elle venait de remettre. Très vite, elle en rentra quatre jusqu'à la garde. Jamais je n'avais été aussi dilaté sans la moindre douleur. Je respirais profondément pour relâcher tout mon bas-ventre et accepter pleinement sa caresse. Michel ne me caressait plus les seins mais appuyait sur ma tête pour accompagner mes grands mouvements de va-et-vient sur sa queue tendue à tout rompre. Je savais qu'il était très endurant et que j'allais en profiter longtemps. Inlassablement, Claudine m'élargissait et commençait à tourner ses doigts dans tous les sens. Un instant, je me suis demandé si elle n'allait pas tenter le fist.. Au bout d'un long moment, elle retira ses doigts et je l'entendis me dire que je semblais être prêt, si je le souhaitais. Malgré mes doutes, j'acquiesçais. Je la vis alors approcher de mes yeux un gode ceinture noir comme de l'ébène d'une vingtaine de centimètre. Je frémis à la fois de peur et d'excitation. Au bout de quelques instants, le temps de le fixer, elle se pencha sur moi et je sentis dans la raie de mes fesses le contact du caoutchouc frais.

Je la vis alors approcher de mon nez un petit flacon ouvert. Du poppers ! J'inspirais à fond et quasi instantanément, je ressentis une intense vague de chaleur, mon coeur qui s'emballait, mon sexe jusqu'alors mou se redresser et surtout ma caverne se détendre et s'ouvrir comme une fleur à la rosée du matin. Je sentis alors le gode se poser à l'entrée et glisser en moi comme jamais je n'aurai pu le penser, d'une poussée douce mais continue, jusqu'à sentir les cuisses de Claudine contre les miennes. Claudine m'empalait avec ses vingt centimètres de gode et je l'acceptais pleinement. J'étais rempli et comblé par ces deux sexes dans mes deux orifices ouverts au plaisir. Claudine, plantée au fond de moi, me demanda si ça allait et lâchant le sexe de Michel, je grognais un oui étranglé. Elle se retira alors lentement puis revint doucement et encore et encore. J'avais la bouche sèche, parfois des réflexes nauséeux quand Michel levait son bas-ventre pour mieux rentrer au fond de ma gorge, le ventre en feu car l'effet du Poppers s'était dissipé et mal aux genoux à force d'être à quatre pattes. Et en même temps, je voyais le satin noir de ma nuisette rouge découvrant mon soutien-gorge rouge, les bretelles baissées sur mes bras, le noir de mes bas et sentais les pointes de mes sandales et mes orteils incrustés dans le lit, je profitais goulûment de ce sexe turgescent qui glissait dans ma bouche et de celui qui me fouillait le ventre de plus en plus vite, les mains de Claudine crispées sur mes hanches, ses seins écrasés sur mon dos. Je me mis alors à engloutir Michel au rythme de Claudine et me laissait aller à cette double pénétration tant souhaitée, savourant encore la réalisation de mes fantasmes tant désirés. Claudine allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, ressortait le gode presque totalement pour se renfoncer jusqu'à la garde. Elle se mit à me dire des mots crus, me traitait de salope, tu aimes ça, hein, te faire prendre comme la petite salope que tu es, que je t'encule bien profond pendant que mon chéri te viole ta bouche de petite pute, de la petite pute que tu es pour nous deux...Pendant quelques secondes, j'ai eu peur, me suis contracté et redressé. Ils l'ont senti tous les deux car Claudine s'est mise à m'embrasser dans le cou et j'ai mis les doigts de Michel sur mes seins qu'il a recommencé à caresser en tournant doucement de la pointe des doigts. J'ai demandé à Claudine une serviette et qu'elle remette du lubrifiant. Me penchant alors à nouveau sur le sexe de Michel, j'ai recommencé un va et vient régulier de ma bouche et de mes lèvres jusqu'au fond de ma gorge tout en le caressant de ma main. A ma demande, Claudine a écarté mon string et mes fesses afin de me pénétrer à nouveau. C'était plus frais et j'étais bien ouvert. A nouveau, je me suis abandonné, les yeux fermés, à ces sexes en moi et ces mains sur moi. Michel me disait que ça venait. Que c'était bon, que je suçais bien. Je le sentais se crisper sur ma tête. Ma langue l’effleurait à la sortie et mon palais le savourait longuement à la descente, en un doux va-et-vient dont je prenais le rythme, régulier, qui nous comblait tous les deux. Son bassin commença à accompagner mes goulées, son plaisir montait. Je ralentis alors le glissement de mes lèvres, accroissant ses sensations, mes mains caressaient ses fesses qui se contractaient de plus en plus vite. Des spasmes, des contractions, des mains crispées, des avancées désordonnées, un liquide chaud, suave et parfumé, un lait musqué se déversa dans ma bouche, en plusieurs jets puissants qui se succédaient. Je ne l’avalais pas et recrachais dans la serviette son lait mais le reprenais aussitôt pour accompagner son plaisir jusqu’au bout. Je le léchais complètement. J’étais toujours aussi excité, le ventre brûlant mais fier aussi de ce plaisir donné, peut-être un fantasme de faire mieux qu’une femme. Il ne bougeait plus, les yeux fermés. Claudine, voyant cela, s’était arrêtée et à ma demande, est alors sortie de moi. Je restais complètement ouvert pendant quelques minutes avec la sensation d’un grand vide en moi.  Je me relevais et regardais autour de moi, cet homme nu qui venait de jouir dans ma bouche, cette belle femme pulpeuse et souriante, en lingerie excitante, le gode ceinture toujours tendu et moi habillé en femme.

« Je pense que nous allons tous nous reposer » me dit alors Claudine.

 « Tu peux aller dans la salle de bains, nous irons plus tard… »

« Bonne nuit et à demain »

Je sortis alors de la chambre, récupérais mon kimono dans le salon, dont je me recouvrais, et me rendis dans la salle de bains où après m’être déshabillé, je me douchais.

Enfin, épuisé, je m’écroulais sur le lit et m’endormis instantanément.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par michel
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Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 22:11

De retour, après deux ans, eh oui, et un divorce...

 

Un texte que j'avais découvert il y a fort longtemps sur un site de récits travesti, sabrina quelque chose, et qui a hélas disparu depuis...

 

Je l'ai retrouvé sur 3esexe.com et vous le présente ici.

 

Je l'adore.

 

Il est à l'image de ce dont je rêve, la lingerie en moins et la fin qui n'est pas ce que j'attends...

 

Bonne lecture !

 

 

Initiation

Salut. Je vais vous raconter mon histoire. Tout débute il y a 3 ans maintenant. A l’époque je fantasmais beaucoup sur une relation homo, et après beaucoup de contacts téléphoniques et minitel, je n’avais jamais franchi le pas jusqu’au jour où j’ai rencontré Paul qui a changé ma vie. Tout a débuté par un contact sur un serveur minitel. Nous avons fait connaissance par téléphone, puis presque tous les jours nous nous téléphonions pour nous caresser par tel. Je découvrais que j’étais très passif alors que lui n’étais que actif et très macho. Notre relation progressa jusqu’au jour où, pour les vacances, il m’invita à passer 3 semaines dans sa maison de campagne. Après hésitations, j’accepte son offre et rendez vous est pris. Il est venu me chercher à la gare, le matin très tôt. Il était comme prévu, grand (1m92) brun et carré. Je me suis tout de suite senti soumis par sa présence (1m75). Apres les politesses d’usage, nous sommes partis pour sa maison, en pleine campagne, une petite ferme isolée, bien fermée et avec une magnifique piscine. Il m’a installé dans la chambre d’amis et nous avons déjeuné et bien bus en faisant plus ample connaissance. Puis, il m’a invité à piquer une tête dans la piscine. J’allais mettre un maillot de bain quand il m’a dit «ici, c’est nu intégral », je le suivais donc sur le bord de la piscine et l’on s’est déshabillé dans le gazon. C’est là que j’ai eu la surprise de ma vie. Quand il est apparu nu face à moi encore en caleçon, j’ai vu devant moi un géant complètement épilé, comme il me l’avait dit, mais avec un sexe que je ne pensais pas pouvoir être possible. Son pénis pendant entre ses cuisses devait mesurer entre 15 et 20 cm et ses couilles étais énormes, le tout renforcé par l’absence total de poils. Son gland, circoncis se balançait comme une troisième jambe quand il se mit à bouger. Je me résignais à finir de me déshabiller, avec mon petit sexe (15cm en érection) et mes poils disgracieux, et je plongeais dans l’eau pour me cacher à son regard. Il me rejoignit et nous avons discuté et nagé un bon moment. Enfin nous nous sommes allongés au soleil. Je somnolais au soleil depuis un petit moment quand il me dit « si tu ne mets pas de crème, tu vas cuire. » et aussitôt il attrape le tube d’huile solaire et s’approche de moi. J’étais allongé sur le ventre et il vint se mettre a genoux devant moi pour me passer de l’huile sur les épaules. Pendant que ses grandes mains puissantes me massaient les épaules, je me retrouvais avec son entre cuisse sous les yeux. Je n’en perdais pas une miette, son sexe se balançait à quelques centimètres de mon visage, il était très gros également, peut être 7 ou 8 cmde diamètre au repos, et ses bourses, imberbes, devaient avoir la taille d’une balle de tennis. J’étais subjugué par autant de puissance et je commençais à bander, d’autant que son massage descendait vers mes reins et que son sexe s’approchait d’autant de moi. Je bandais maintenant à fond et mon gland était tout mouillé de désir, mon fantasme se réalisait après des mois d’attente et de jeux solitaires. Alors comme son gland n’étais plus qu’à 2 ou 3 cmde ma bouche, j’avançais mes lèvres et lui déposais un baiser sur son membre, puis un autre sur le gland. Il eut un sursaut, stoppa le massage de mes reins et remonta vers moi, ne sachant pas quelle allait être sa réaction, me prit la tête à deux mains et m’embrassa tendrement d’abord puis nous sommes partis dans de longs baisers langoureux pendant presque une heure où je me suis senti lui appartenir. Nous avons découvert nos corps, il me caressait les seins, m’embrassait les tétons ce qui est délicieux, je le caressais tendrement et je découvris ce dont je me doutais depuis le début. Son sexe devint énorme, je le tenais juste dans ma main, et je demeurais hypnotisé par ce membre géant dont je ne pouvais évaluer la taille (je la sus plus tard 24cm par 9.5cm). Il me dit alors que je pouvais descendre le voir de plus près. Je me mis a genoux entre ses cuisses et tenant son membre a deux mains, je commençais à le lécher sur toute la longueur, puis je m’attaquais au gland qui était devenu énorme et luisant mais je ne pus le faire entrer totalement dans ma bouche, je me contentais de le téter, comme un bébé. Il avait bon goût et j’étais aux anges, tout comme lui, qui à ses grognements, avait l’air d’apprécier mon traitement. Je lui léchais également les bourses, sans un poil, elles avaient la douceur d’un bébé et étaient aussi chaudes que deux énormes braises. Je remontais sur son gland et me remis à le téter tout en le branlant doucement à 2 mains. Au bout d’un quart d’heure, il commença à remuer son bassin en rythme et à pousser des gémissements de plus en plus fort, à mesure que sa jouissance approchait. Je m’accrochais alors à son sexe et le tétais comme un fou. Je sentis son membre encore grossir entre mes mains et une formidable gicle de liquide blanc et bouillant vint s’écraser au fond de ma gorge aussitôt suivie par quatre autres qui me remplisse la bouche et commence a couler sur le menton ce qui, chose incroyable, provoque ma jouissance et je me jette sur lui pour l’embrasser, nos langues se mêlent et je partage avec lui son divin nectar que je n’ai pas encore tout avalé car je savoure son goût délicat et fort dans ma gorge. C’est à ce moment là que, blotti dans son épaule, je lui avouais ma jouissance sans me toucher et lui dis que je l’aimais. Il me dit que lui aussi et que si je voulais, durant ces 3 semaines, il pouvait faire de moi sa petite salope. Le terme me fit un peu peur mais j’acceptais, complètement soumis à son désir. Je lui avouais également que j’étais vierge (à part quelques godes) et que je voulais qu’il soit le premier. Il m’embrassa tendrement et me dit qu’il allait personnellement me préparer pour ne pas me faire mal. Il me dit « on commence dès demain matin. Je t’expliquerais les règles pour que tu deviennes ma petite salope que j’adore ». Nous avons fini la journée comme deux amoureux et avons dormi dans le même lit, moi blotti dans son épaule, après l’avoir fait jouir dans ma bouche une dernière fois. Le lendemain, très tôt, il me tira du lit avec un baiser et le café puis il me conduit à la salle de bains où il me montre une série de produits qu’il a étalés sur la chaise. Il me dit « voilà, pour commencer, mon amour, tu vas d’abord entièrement t’épiler. Moi, pendant ce temps je vais aller faire des courses pour toi, alors à tout à l’heure ».  Il m’embrassa et partit aussitôt. Je restais là un moment, un peu dépourvu, puis je me rassurais et me dis que je ne risquais rien après tout, et puis il était tellement gentil et tendre que je voulais qu’il me dépucèle. Je passais donc la matinée dans la salle de bains à m’épiler les jambes, les bras, le torse puis le pubis ce qui me fit apparaître une érection, je continuais donc par les testicules et ensuite, accroupi au dessus d’un miroir je pris soin de mon anus. J’étais complètement excité par cette séance d’épilation, et sous la douche mon corps lisse avec la douceur du gel me fit jouir comme un fou. Enfin vers midi, je me passais du lait sur le corps et préparais un petit en-cas pour son retour. Il fut là rapidement et m’offrit des fleurs en m’embrassant dans le cou puis me caressât partout pour sentir la douceur de mon corps pendant que je sentais dans mon dos grossir l’objet de mes désirs. Alors je me mis à genoux face à lui et je l’ai fais jouir dans ma bouche, là, dans la cuisine. Il apprécia ensuite mon en-cas et m’entraîna dans la chambre pour me montrer ses courses. Il avait déposé sur le lit plusieurs sacs et il ouvrit le premier. Il dit « pour faire de toi ma petite salope, nous avons une semaine à te préparer. Alors voici les règles et les accessoires. Règle une, interdit de te masturber, tu ne jouiras que par ton cul quand tu seras prête à me recevoir. Règle deux, voici ta garde robe (il sortit différent string en dentelles et caleçons de soie). Règle trois, tu me feras totalement confiance pour éclore ta petite rose (et il sortit du dernier sac 3 plugs anal, de 10 et 15 cmpar 6 de diamètre et un gonflable qui semblait bien plus grand, il sortit également un bock à lavements, une poire a vaseline et des pinces à tétons). Tu vois, avec tout ça, je vais faire de toi ma petite salope et tu vas m’aimer encore plus que tu puisses l’imaginer. » Moi, j’avais les jambes tremblantes et je ne savais plus quoi faire car je sentais, malgré mon envie de lui faire plaisir, que la situation m’échappais. Mais il ne me laissa pas le temps de réagir, il vint vers moi, m’embrassa et me rassura puis il me dit de m’allonger sur le lit et de lui faire confiance. Je ne pus que lui obéir. Il s’absenta pour remplir le bock à lavements et revint rapidement. Il me fit mettre plusieurs coussins sous le ventre, ce qui lui offrit mon cul tout lisse. Il me caressa les fesses puis les embrassa, sa langue passa sur mon anus ce qui me fit sursauter et gémir. De nouveau je pensais que je l’aimais et je m’abandonnais complètement et définitivement à lui. Doucement il fit pénétrer la canule du bock en moi. Je sentais le tube froid se faire un passage en moi et je me contractais un peu, puis ce fut une révélation lorsque le liquide chaud m’inondât. La sensation fut si forte que je faillis jouir. Après m’avoir bien remplie, il s’allongea un petit moment avec moi pour m’aider à tenir le plus longtemps possible avant que je courre me vider dans les toilettes. Il recommença une fois encore car il me voulait impeccable pour commencer ma formation. Une fois que mon rectum fut bien propre, il le prépara longtemps avec sa bouche et ses doigts, ce qui fut délicieux et augmentait encore mon excitation. Il m’injecta ensuite grâce à la poire une bonne dose de vaseline dans l’anus car il me dit que mon cul ne mouillait pas encore mais que ça viendrait. Il prit le premier plug et l’enfonça délicatement en moi. Je sentais l’objet m’écarter doucement, de plus en plus, puis mon anneau passa la bague plus étroite et le gode fut prisonnier en moi, bien en place, mon anus ouvert. Il me fit ensuite me retourner et vint me lécher les seins et les tétons afin de les faire pointer puis il prit de petites pinces en métal, les plaqua sur mes bouts et serra, ce qui fut douloureux mais il ne serra pas trop. Il dit « il faut que tes tétons grandissent pour devenir sensibles et c’est le meilleur moyen, tu verras ». Il me releva et m’enfila un caleçon de soie rouge. La sensation de la soie sur mon sexe bandé me fit gicler ce qui le fit sourire et il tourna les pinces à seins un peu plus, la douleur fut délicieuse. Je me sentais comme fou, les seins prisonniers, le gode qui me laissait ouvert, toute la préparation subie, je perdais la tête et lui sautais dessus. Nous avons passé le reste de l’après midi au lit à nous embrasser et à nous caresser mais sans jamais toucher mon sexe. A la fin de la journée, je possédais le second plug bien en moi et il me félicitait. Je passais la nuit ainsi. Le lendemain je passais une journée fort agréable, avec l’application des règles qui étaient maintenant mes règles. Après ma toilette intime, il me remit mon petit gode qui entrait bien mieux maintenant et nous avons passé la journée à nous baigner et à nous aimer mais toujours avec les mêmes contraintes. Ce fut après la deuxième nuit que l’on passa à l’étape au dessus. Le matin après un réveil amoureux, il me retira le gode qui était en place depuis 8 heures maintenant, et là, mon anus resta entrouvert pendant un instant. La sensation était vraiment étrange et très agréable. Il dit que je pouvais passer à l’étape au dessus. Après mon lavement quotidien et ma dose de vaseline, il me fit m’empaler sur son troisième gode gonflable. Il était noir, de taille moyenne (environ 15x5) et prolongé par un tuyau et une poire. Autant dire qu’il se mit en place sans aucune difficulté. La surprise fut quand il commença à pomper la poire. Je le sentis grandir en moi et m’ouvrir doucement, de plus en plus, puis il laissa la pression retomber et re-pompa. Je sentais mon anus et mon rectum accompagner le mouvement de l’objet de plus en plus loin, puis il le bloqua et je sentais mon cul ouvert et bien rempli, ce qui maintenant commençait à me plaire. Il alourdit ensuite les pinces à seins avec des petits poids et la journée passa comme ça avec un petit coup de pompe de temps en temps. J’ai atteint le gonflage maximum le lendemain soir, j’étais très fière de moi quand je sus que l’engin mesurait a fond 25x12. Il me dit que si je passais la nuit avec, je serais prêt à le recevoir le lendemain soir. A cette idée, je fus si excité que je ne dormis pas de la nuit et je l’ai fait jouir trois fois dans ma bouche qui maintenant arrivait à prendre tout son gland immense. Ce matin quand il dégonfla l’engin, je restais complètement ouvert pendant cinq minutes avec la sensation d’un grand vide en moi. Apres la toilette il me fit m’entraîner sur un nouveau gode. Celui-ci ne faisait que 22x8 cm et était des plus classique. Je me mis à quatre pattes sur le lit et fit pénétrer doucement le gland en plastique en moi, centimètre par centimètre, jusqu’au bout puis je commençais un lent va et vient. Paul était assis en face de moi et se caressait son membre énorme pendant que dans mon délire j’imaginais que c’était lui, mon amour qui me prenait. J’accélérais encore le mouvement et je commençais à être très chaude, à être sa petite salope, les pinces pendaient au bout de mes tétons qui étaient maintenant toujours en érection et que je trouvais plus gros chaque jour, plus sensibles aussi. C’est alors que je jouis pour la première fois uniquement avec mon cul. Je sentis un orgasme partir de l’intérieur de mon ventre, remonter vers mes seins, ma gorge pour redescendre vers mon anus qui se mit à se contracter autour du gode de plus en plus vite pour enfin exploser dans ma bite. Je me mis a crier, gémir avant de m’effondrer, en sueur, à moitié inconscient, le gode toujours fiché dans mes fesses, heureuse, comme le voulait mon amour. C’est en relevant la tête, un immense sourire sur les lèvres que je vis qu’il avait joui du spectacle vu la quantité de sperme sur son bas ventre. Je le rejoignais et avec ma bouche et ma langue je lui fis une toilette en règle avant de m’endormir dans ses bras. Il me prépara pour mon dépucelage durant l’après midi. Lavement, épilation, lubrification, joli string en dentelle, et plus de poids pour mes seins. Mais pas de gode. J’ai passé mon temps à l’embrasser et à courir partout pour que tout soit parfait. Après un repas aux chandelles, il me porta dans la chambre, la sensation de se sentir minuscule dans ses bras me fit fondre. Il libéra mes seins dont les tétons se dressèrent faisant le double de leur taille initiale. Il m’allongea sur le lit et vint s’étendre, nu à coté de moi. Je n’osais pas bouger tant le moment était magique, il commença par me caresser le visage, puis il m’embrassa sur la bouche, les yeux, descendit dans le cou, mes seins et commença à les téter, alternant avec sa langue et ses dents. La sensation fut intenable de douceur et je me mis à gémir spontanément et à me tordre sous sa bouche. Au bout de 10 minutes de ce traitement, il revint mêler sa langue à la mienne avant de redescendre vers mon ventre. Sa langue joua avec mon nombril, nouvelle décharge d’adrénaline, puis il descendit le long du string, déformé par une érection que je ne maîtrisais plus depuis longtemps. Il me retira le string, doucement libérant mon sexe qui se dressa comme un ressort, puis il vint m’embrasser le bout du gland, nouvelle sensation, et il me retourna sur le ventre. Il me tira en arrière pour me faire cambrer et ainsi offert, il commença à me lécher les bourses puis le périnée et enfin ma petite rose ce qui me fis délirer tellement c’était bon. Je sentais ses lèvres aspirer ma fleur puis sa langue glisser en moi. Il me lécha encore dix bonnes minutes, je sentais à nouveaux mon anus s’ouvrir et se fermer tout seul, au rythme des sensations qu’il m’envoyait à travers le corps et finalement j’ai joui, naturellement, juste avec sa langue sur mon œillet. Il vint ensuite m’embrasser et me dit que j’étais prête pour devenir sa petite salope. Je l’allongeais à coté de moi et après avoir récupéré de mon orgasme, je regardais l’homme que j’aimais, maintenant je n’avais plus aucun doute. Il était la, immense, le torse musclé, bronzé, beau. Je l’embrassais dans un long baiser, puis je descendis directement vers l’objet de mon désir. Je léchais son sexe sur toute sa longueur, jusqu\'à l’anneau de son gland puis je passais ma langue sur son frein où je récupérais un peu de sa mouille avant d’engloutir son gland contre ma langue. Je le gardais ainsi, bien au chaud quelques instants en le fixant dans les yeux, puis je me jetais comme une chienne sur son membre, le suçant, le mordant, je bavais dessus et le léchais. Je réussis a prendre une de ses bourses dans ma bouche et jouait avec, lui tirant des gémissement de plaisir et je continuais jusqu’au moment ou il me dit « viens ». Je me suis alors accroupie au dessus de lui, son sexe fièrement dressé et je suis doucement descendue sur lui. J’ai guidé son gland contre mon anus et là, je l’ai senti m’ouvrir, doucement, il n’en finissait pas de m’ouvrir, je sentais la pression augmenter, puis son gland était en moi, je le sentais vibrer contre moi. Je marquais une pause, appréciant la sensation, puis je me laissais à nouveau descendre sur ce pieu tant désiré. Ma descente sembla durer une éternité quand je sentis ses testicules contre mes fesses. Je ne bougeais plus, me sentant totalement remplie et possédé. Je bougeais doucement à gauche, à droite, j’étais prisonnière, complètement soumise à mon amour. Je me penchais alors en avant et l’embrassais en pleurant que je l’aimais tellement le bonheur était fort. Il m’embrassa à son tour, me consola de douces paroles, alors je me redressais et entamais un long va et viens, doucement d’abord, jusqu\'à sentir son gland me quitter puis l’excitation augmentant, de plus en plus vite. Dans le délire qui me prit à nouveau, je l’imaginais et le sentais millimètres après millimètres entrer et sortir de moi. Il prit alors mes tétons entre ses doigts et se mit à les caresser et à les pincer, j’ai alors perdue la tête, je me suis mise à le chevaucher comme un dément, lui accompagnant puissamment de ses reins mes va-et-vient autour de son mat, et au bout de 5 minutes, mon premier orgasme anal avec mon amour est arrivé. Avec une force incroyable, mon corps se mit à trembler, je sentais mon anus travailler tout seul autour de son sexe, et il avait l’air d’apprécier vu ses grognements, puis des ondes de plaisirs se mirent à irradier de mon cul, de mon ventre, de mes seins, j’étais comme folle, mon sexe se mit à éjaculer tout seul, une première fois, mais le plaisir continua de monter en moi, je me mis à gémir, je ne reconnaissais pas ma voix, le plaisir montait toujours de mon cul que je tenais maintenant écarté à deux mains pour qu’il vienne plus loin en moi, et c’est à ce moment là qu’il se mit à jouir. Il me saisit par les hanches et se mit à me pilonner de plus en plus fort, je sentais ses mains se crisper sur moi. Il poussa un gémissement, et, révélation, je sentis une première giclée de sperme jaillir en moi, son sexe sembla encore grossir et un déluge me fouetta les reins. Ce fut l’explosion pour moi aussi, ma bite se remis à gicler toute seule et le plaisir monta si fort que je perdis connaissance quelque instant. Je me réveillais, allongé sur mon amour, son membre toujours en moi. Il me dit « je t’aime » et nous nous sommes embrassés un long moment. Quand il sortit de moi, je restais ouverte, mon anus étant totalement soumis, durant 15 minutes. Quelle sensation agréable de sentir l’air frais vous pénétrer et le sperme de son amant couler doucement hors de vous. Paul m’a ensuite massé ma rose, il l’a léché, et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Plus tard dans la nuit, je fus réveillé par ses baisers que je lui rendais tandis que sa main me caressait les fesses et me doigtait doucement. Ce qui fit renaître mon désir, ainsi que le sien que je sentais grandir dans ma main. Alors qu’il me doigtait doucement avec deux doigts je lui soufflais dans un gémissement « prend moi ». Il vint alors sur moi, j’écartais mes cuisses et son corps immense me recouvrit. Je serrais mes jambes sur ses reins et son gland se colla à mon anus. Tout en m’embrassant, il me pénétra doucement, ce qui fut encore une fois une révélation pour moi. Il me fit doucement l’amour pendant une heure, en m’embrassant, me caressant et me parlant gentiment. Durant ce temps, j’ai joui deux fois, puis il accéléra le rythme de ses va-et-vient et nous avons joui ensemble, de façon synchrone, comme seul l’amour de l’autre le permet. Nous sommes ensuite resté emboîté, à nous aimer, son sexe me remplissant toujours. A un moment il voulut sortir de moi pour aller uriner, mais je le retins, tellement j’étais bien. Alors, le sourire aux lèvres, il me dit « tans pis pour toi », mais je lui souris et haussa les épaules. Je le sentis alors se crisper et une chaleur intense, à la limite de la brûlure déferla en moi. Son jet me donnait l’impression de remonter dans mon ventre, ce qui était prodigieux. Il m’emmena ensuite, toujours en moi, dans la douche et me libera l’anus. Je me vidais contre lui et mon petit cul cassé restât ouvert pendant plus d’une heure. Il me montra mon anus dans une glace, et je vis les progrès réalisés en une semaine. Ma petite rose, toute brune cerclait un trou de cinq cm de diamètre qui semblait palpiter doucement. Puis il se referma doucement. Le reste des vacances fut pour nous la consécration de notre amour et en rentrant chez nous je déménageais pour venir vivre chez lui. Il y a deux ans, voulant encore plus lui offrir mon corps, nous primes la décision de me féminiser pour être définitivement sa petite salope. Je trouvais un médecin en Belgique et une clinique où je partis durant un mois. Le médecin m’émascula et me donna un traitement hormonal pour ma féminité. Je restais un mois dans la clinique, le temps à mes cicatrices de se refermer et de stabiliser mon traitement. Lorsque je rentrais je me sentais plus légère, l’entre cuisse tout lisse à part deux fines cicatrices. Après la désagréable perte de cheveux due aux hormones, mes poils arrêtèrent de pousser et un an après mon nouveau corps était parfait. Ma peau est devenue plus douce et sensible, ma poitrine a pris du volume et occupe maintenant un petit 85b et la pose d’anneaux sur mes tétons les a rendue plus gros (3cm x 1.5 de diamètre), hyper sensibles au caresse de mon amant et il sont toujours dressés. Mes muscles ont fondu et je suis devenue toute fine. Mes hanches se sont épanouies d’autant et ma croupe est devenue voluptueuse, surtout dans les petites culottes qu’il m’offre régulièrement. Ma voix aussi a changé ainsi que mon regard sur les hommes, que je désire maintenant naturellement. Je ne suis pas travestie, je met de temps en temps du rouge a lèvres mais la transformation ne va pas plus loin. Je ne désire pas devenir une femme, ni un homme mais juste une petite salope ni homme ni femme. Mon sexe ne bande plus et est devenu plus petit encore (7cm). Lorsque Paul me fait jouir, je mouille un liquide incolore et plus blanc mais ma nouvelle sensibilité a décuplé mon plaisir et je ne jouis plus que par mon petit cul ou mes seins.. Il dit maintenant que je suis sa salope à lui et qu’il m’aime. Cela fait maintenant 3ans que nous vivons ensemble et je l’aime encore plus maintenant. Mon corps s’est adapté à notre amour, et nous venons de nous pacser. Il est l’homme de ma vie. A bientôt, une petite salope épanouie et heureuse.

Sophie

07/05/01

Par michel
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Jeudi 19 juin 4 19 /06 /Juin 13:00

    Il y a quelques semaines, je suis retourné à la campagne. J'avais eu un contact sur un forum avec Stéphane. 48 ans, marié avec une épouse acceptant à la fois qu'il porte de la lingerie au quotidien et à la fois qu'il vive sa bisexualité. Quelle chance !

    Après quelques mails et échanges téléphoniques, nous avions convenu qu'il viendrait chez moi en fin de journée. Après une dure journée de travail, une bonne heure avant l'heure de sa venue, j'ai pris un long bain pendant lequel je me suis longuement préparé, puis me suis rasé minutieusement, prenant mon temps, déjà excité et me suis parfumé. J'avais déjà choisi ce que j'allais porter : du blanc. Je voulais profiter de mes nouvelles chaussures...
    J'ai donc délicatement enfilé une paire de bas à couture, à pointe et talons renforcés, taille 3 de chez Le Bourget (ils sont superbes de féminité !) que j'ai accroché aux 4 jarretelles blanches qui pendaient du serre taille que je venais de poser. C'est avec un frémissement que la ficelle du string est venue prendre sa place, chatouillant délicieusement ma peau fraîchement rasée, le triangle de dentelle cachant l'objet de mes futurs plaisirs. Enfin, j'ai crocheté un soutien-gorge sans armature sur ma poitrine encore humide de la douche.
    Devant aller accueillir Steph dehors, j'ai enfilé un ensemble pantalon et chemise indienne, noirs, larges, presque féminin. J'ai ensuite préparé le reste de ma tenue pour la soirée mais je n'ai pas résisté au plaisir d'enfiler mes nouvelles sandales et de descendre avec dans le salon.
Quel plaisir intense de déambuler ainsi sur ces magnifiques sandales, entendre leur claquement sur le sol, sentir avec une acuité étonnante mes vêtements lâches jouer librement sur ma lingerie...Pendant quelques instants, je me suis imaginé entièrement épilée, maquillée, « perruquée », les ongles (des mains et des pieds, bien sur...) et les lèvres rouge coquelicot, des boucles d'oreille et un collier d'or ou d'argent, des bracelets, des bagues,....J'ai eu du mal à rouvrir les yeux et me retrouver face à la réalité.
    Néanmoins, j'étais bien. Je me suis servi un verre de Bandol blanc (château Tempier...) et, m'installant confortablement dans le canapé, j'ai savouré ce moment de féminité en croisant et décroisant les jambes, mon pantalon à mi-mollet laissant bien voir mes sandales dont je ne posais que les talons sur le sol, la pointe vers le haut, comme j'adore voir les femmes qui en portent, de plus en plus rarement d'ailleurs, le faire.
    Je n'ai pas eu longtemps à attendre car bientôt, mon portable a sonné. Steph était dans une rue proche...Enlevant mes sandales, j'ai mis mes mocassins et suis sorti le chercher. On voyait bien, avec ce pantalon court, que je portais des bas mais le risque d'être vu m'excitait...
    Steph était grand et costaud, aussi peu féminin que moi, et sans aucun sac...J'ai eu un instant d'inquiétude, qui n'a pas duré, car sentant mon interrogation muette, il m'a dit qu'il avait tout sur lui. Donc, pas de chaussures, dommage...
    J'ai immédiatement remis mes sandales qu'il a trouvées très belles. Puis, nous avons longuement discuté de nos vies, entamant sérieusement la bouteille de blanc...Plus tard, à l'occasion d'un silence idéal, je me suis levé et l'ai invité à me suivre dans la chambre. Pendant que je me déshabillais dans la salle de bains, enfilant une nuisette puis un peignoir blancs, eux aussi, je lui ai proposé des chaussures. Il faisait du 42, mais comme je l'ai remarqué dans les forums de discussion, on porte souvent, avec des bas, des chaussures ouvertes une taille en dessous...Effectivement, en femme, il chaussait du 41. Je lui demandais alors s'il avait une préférence pour la couleur. Blanc, me répondit-il...Je sortais alors la paire récemment achetée aux puces, ravi de la voir portée et d'en profiter si vite !
    J'aime ce moment, juste avant la découverte de l'autre... J'étais tout de blanc, de nylon et de dentelle, ressentant intensément chaque seconde de cet instant, hélas si peu fréquent, où je suis un peu femme...
    Quand je suis entré dans la chambre, juste éclairée par une petite lampe donnant une douce luminosité, Stéphane était allongé sur le lit ouvert. Il était lui aussi tout de blanc vêtu : guêpière, bas, nuisette, string et mes sandales...Il était superbe !
    Je me suis allongé contre lui et j'ai fermé les yeux, savourant le premier contact charnel de nos lingeries et du crissement de nos bas l'un contre l'autre, de sa douceur car il était totalement épilé et doux, doux....
    Nos mains ont délicatement couru sur la dentelle couvrant nos corps pendant que nos lèvres se joignaient, nos langues se croisaient, nos salives se mélangeaient...Nos corps se sont épousés, nos jambes entremêlées, percevant  le désir de l'un naître contre le sien.
J'ai senti les mains de Steph se glisser à l'intérieur de mon peignoir, dont le nœud de  ceinture s'est défait, puis lentement remonter vers mes épaules pour ensuite le faire glisser sur le lit. Le contact de ses mains chaudes sur mes bras nus m'électrisa. Je m'abandonnais, les yeux fermés...à ses mains qui m'ôtèrent  ma nuisette, puis parcoururent mes cuisses, mon ventre jusqu'à mes seins qui n'attendaient que ça. Je gémis quand ses doigts se posèrent sur les pointes hypersensibles et commencèrent à les caresser comme je le lui demandais. Il savait que j'adorais ça, nous en avions parlé un peu plus tôt, comme moi je savais qu'il était exclusivement passif...Un peu dommage, d'ailleurs, c'est si bon...Mais là, c'était très très agréable, surtout quand sa bouche se posa sur mon membre tendu au dessus du string et commença à le lécher, l'embrasser, l'agacer avant de vite  l'avaler goulûment jusqu'à la garde, tellement il semblait en avoir envie.
    A genoux entre mes jambes écartées, une main excitant mon sein, l'autre guidant mon membre dans sa bouche, il se penchait et se redressait, m'engloutissant entièrement à chaque plongée. Les yeux fermés, il semblait prendre un immense satisfaction à m'avaler interminablement, savourant la douceur de ma virilité sur ses lèvres, sa langue, son palais, à m'aspirer le gland avant sa sortie, à m'engloutir jusqu'à je ne sais où tellement il était avide de moi...Longtemps, je me suis abandonné à sa douce bouche, me caressant l'autre sein du bout des doigts, en tournant doucement, complétant le plaisir que je sentais doucement monter de mon ventre et descendre de mes seins...Au bord de l'explosion, je me suis redressé et l'ai tendrement attiré sur moi, collant nos deux corps déjà trempés, entrecroisant nos désirs tendus...Nous nous sommes à nouveau longuement embrassés, mes mains pétrissant ses fesses.         Puis, je l'ai repoussé avant de l'allonger sur le coté et de m'installer, moi aussi, sur le coté mais à l'envers...
    Son membre turgescent, collé à son ventre, dépassait de son string. J'ai léché, d'un petit coup de langue, la perle de liquide qui reposait sur son gland que j'ai délicatement recouvert de mes lèvres, découvrant sa douceur palpitante, son granité soyeux, son ourlé délicat, son odeur musquée...Le sortant de la dentelle du string blanc, je n'ai pas résisté et m'en suis emparé avidement, le faisant entrer le plus loin possible au fond de moi, le happant pour qu'il me remplisse la bouche, qu'il me comble de sa chaleur vibrante. Puis posant ma joue sur le lit, j'ai commencé à le faire aller et venir en moi, le frôlant de mes lèvres, l'excitant avec ma langue, jouant avec la peau de cette bougie de chair avec ma main, alternativement dans le même ou à contresens...J'aimais le sentir glisser dans ma bouche, ressortir jusqu'à la limite de le perdre puis revenir parfois brutalement tellement il devait y être bien...Lui aussi, m'avait repris depuis le début et notre plaisir était mutuel, rythmé par nos mouvements alternatifs, des bruits de succion et des gémissements de satisfaction... Progressivement, nos mouvements respectifs sont devenus plus désordonnés, nos gémissements plus décousus, nous nous avalions avec frénésie. Quand je l'ai entendu dire : « Oui, ça vient, je t'en prie, oh oui... », j'ai subitement ralenti mes aller et retour en une lenteur interminable, l'avalant entièrement et le faisant ressortir avec une douceur infinie mais continue pour allonger ce moment délicieux où le plaisir monte en spasmes du fond du ventre, en vagues qui se succèdent et peuvent se prolonger si les stimulations sont très lentes...Moi-même au bord de l'explosion, j'ai vécu ses premières contractions, qui grâce à la langueur de mes mouvements étaient séparées par des pauses, longues au début puis de plus en plus courtes, jusqu'aux profondes saccades  libératrices de sa semence chaud et suave qui m'inondât  la bouche. Je le gardais en moi, savourant sa décroissance, pendant que lui, à l'unisson de ma conduite, faisait glisser ses doigts avec une légèreté  infinie autour de ma tige et m'engloutissait avec une interminable douceur, m'amenant, comme toujours trop rapidement,  à libérer ma sève dans son fourreau buccal en de formidables spasmes  venus de tout mon périnée, qui me laissèrent transis, d'autant plus, que lui-aussi,  me garda en lui jusqu'à la fin...
    Quelques minutes plus tard, épanouis, nous nous sommes relevés et longuement embrassés, avant de remettre nos nuisettes et kimonos pour descendre faire une pause dans le salon. J'ai souri de nous voir descendre l'escalier, tous les deux de blanc vêtu, sur nos sandales à talons aiguilles, accrochés à la rampe pour ne pas risquer de tomber...
        Je savourais d'évoluer dans la maison ainsi vêtu, d'aller préparer dans la cuisine quelques bricoles à manger avec la fin de la bouteille de vin, de revenir en entendant le claquement de mes talons sur le carrelage et de contempler Steph en femme, assis sur le canapé, ses jambes épilées gainées de nylon blanc, découvertes par mon kimono, croisées en une attitude féminine avec mes sandales aux pieds...
Nous avons repris notre conversation antérieure, échangeant sur notre passé, nos passions, nos expériences,...Son épouse appréciait qu'il s'habille en femme au quotidien, avec , apparemment, un petit coté dominatrice qui va souvent avec...De plus, parfaitement au courant de sa bisexualité, elle acceptait qu'il la vive en dehors du domicile conjugal en toute liberté.... Situation qui, en dehors de l'idéal mélangisme, peut permettre de trouver, chez des êtres comme nous, un semblant d'équilibre conjugal et sexuel, ...
    Cette longue discussion, devenue très sexuelle, semblât, au bout d'un moment, rallumer le désir de Steph qui, posant soudainement son verre vide, se rapprochât de moi et posant ses lèvres sur les miennes, m'embrassât vigoureusement pendant qu'il glissait ses deux mains à travers ma nuisette et mon soutien-gorge pour me masser les pointes de seins du bout des doigts, m'enflammant instantanément...Quittant mes lèvres, sa bouche glissa vers mon cou et il me murmura à l'oreille : « j'ai envie... ».
    Rapidement, nous sommes remontés dans la chambre, jetés sur le lit et ré-embrassés furieusement pendant que nous nous arrachions presque nos kimonos et déshabillés, tellement nous étions à nouveau excités...Saisissant l'oreiller sur lequel il posa son visage, Steph se mit à genoux et m'offrit ses fesses, m'invitant manifestement à le combler immédiatement...Ecartant la ficelle blanche de son string d'une main, mon doigt lubrifié a effleuré sa rose, provoquant instantanément un frémissement de tout son corps... Massant doucement ses plis délicats, je l'ai vite senti s'ouvrir à ma venue, se relâcher, se laisser envahir par deux puis trois doigts, qui continuellement re-lubrifiés, allaient et venaient, bientôt librement, dans tous les sens...Très vite, il m'a invité à venir, prenant ses fesses à deux mains pour mieux s'offrir...Me posant sur son orifice entrouvert et saisissant ses hanches, j'ai glissé en lui jusqu'à mi-membre, où, le sentant se contracter, je me suis arrêté quelques secondes, le temps qu'il se détende et que je ressorte pour nous re-lubrifier encore. Puis, le pénétrant à nouveau, j'ai été, cette fois, comme aspiré, entrant d'un coup tout entier au fond de lui, mon ventre butant contre ses fesses, lui arrachant un gémissement de plaisir, du moins, je l'espérais...Ses encouragements me le confirmèrent, ainsi que les mouvements de son bassin vers moi, m'engageant à continuer, ce que je fis avec entrain, glissant en lui jusqu'à la garde et ressortant avec une facilité déconcertante...Je fermais les yeux, me laissant aller au plaisir mutuel que nous prenions. Longuement, j‘ai profité de sa caverne offerte... Plus tard, sentant monter le plaisir, quand j'ai voulu le caresser, il a repoussé ma main pour la replacer sur sa hanche...Quand j'ai senti les premières contractions de mon membre dans son ventre, j'ai accéléré mes coups de boutoir et Steph m'encourageât de propos crus puis, incapable de me retenir plus longtemps, incrusté au plus profond de lui, j'ai jouis en me libérant dans un cri de bien-être...
    Plus tard, apaisé, je me suis collé contre son dos trempé de sueurs et nous nous sommes allongés sur le coté, toujours emboîtés...C'est quand j'ai voulu l'embrasser que j'ai vu la tache sur les draps et compris qu'il avait, lui-aussi, pris son plaisir sans même que je le touche...ce qu'il me confirmât en murmurant : « C'était trop bon... ».Le sommeil nous a surpris car j'ai eu la bêtise de nous recouvrir d'un drap...
    Il faisait nuit quand le froid m'a réveillé...Steph n'était plus là. Après m'être couvert, je suis descendu dans le salon uniquement éclairé par le clair de lune, illuminant ma lingerie d'éclats dans la pénombre. Sur la table, un mot de Steph me disant à bientôt...

Je me suis aussitôt recouché afin de prolonger le rêve déjà réalisé...

Par michel
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Mardi 20 mai 2 20 /05 /Mai 14:53

    Dimanche matin, je suis allé aux puces. Je n'y étais pas allé depuis bien longtemps, alors que c'est un endroit où on trouve beaucoup de choses intéressantes, notamment...des sandales, des bas, de la lingerie (original, non ?) à des prix défiant toute concurrence. Il faut y aller souvent, surtout pour les sandales telles que je les aime car mes exigences font qu'elles sont rares.
    Or ce jour, je trouve une belle paire de sandales blanches à lacer sur le mollet, genre spartiate, avec juste deux fines lanières sur le dessus du pied et laissant libre le talon de 12 cm. Idéales, en fait, sauf la pointure : 41 alors que je porte du 40...
    Néanmoins, ayant déjà eu des partenaires n'ayant pas de chaussures et souhaitant en porter, je n'ai pas hésité, compte tenu du prix demandé de...3€ !
    Et c'est là que tout devient amusant. En effet, la vendeuse, une belle cinquantaine souriante, vêtue classiquement d'un pantalon, d'un chemisier et de chaussures plates, en mettant les chaussures dans un sac en plastique et en me les tendant, me regarde et nous amorçons un dialogue comme je les adore :
- Vous savez, ce sont des chaussures pour femmes...
- Ah bon ?
Ma réponse était volontairement provocatrice et le bref silence qui suivit traduisit sa recherche d'une formulation prudente pour une question qui lui brûlait les lèvres. Amusé, je l'ai aidée...
- Vous portez bien des pantalons...qui sont des vêtements masculins, non ? L'inverse est interdit ?
- Non,...mais ce n'est pas habituel, n'est ce pas ?
- Beaucoup plus courant que vous ne l'imaginez...Si vous saviez le nombre d'hommes qui porte...
Elle m'interrompit d'un sourire :
- Je sais...
Subitement intéressé, je lui lançais un regard interrogatif. Nous fûmes interrompus par un acheteur potentiel et j'attendis patiemment. Elle revint vers moi :
- J'aimerai bien discuter de tout ça plus longuement si vous êtes d'accord ?
- Avec plaisir !
Elle nota alors son numéro de téléphone portable sur un papier et me le tendis :
- Ce soir, vers 18-19h ? Je suis Jacqueline. A bientôt.

Le jour même, je m'empressais de l'appeler. Elle me questionna d'abord longuement sur mon port de chaussures, de lingerie puis du reste... Plus tard, elle m'apprit que son frère jumeau, avec lequel elle a une étroite complicité, est dans la même situation que moi : marié, se travestissant en cachette, bisexuel,...Qu'est ce que je pensais d'une éventuelle mise en relation... ? Que du bien, lui répondis-je...Après un échange d'adresses mail et de numéros de téléphones portables, nous nous sommes quittés.
Pour le moment, nous en sommes restés là...

 

Par michel
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Mardi 20 mai 2 20 /05 /Mai 13:17

    Après quelques mois de silence, je reviens sur ce pseudo journal qui reste mon seul moyen de raconter cette partie secrète de ma vie qui m'est essentielle.
    Plus tellement secrète, d'ailleurs, car mon épouse est malencontreusement tombée sur une clef USB contenant toutes les adresses internet, toutes les coordonnées de mes contacts précieusement accumulées depuis des années et surtout quelques photos de moi...
    Je suis un malade, un pervers et elle voulait que nous divorcions...Après quelques mois de réflexions, considérant que le quotidien, en dehors de notre vie sexuelle, est très supportable, voire agréable, nous avons décidé de cohabiter, essentiellement pour les enfants mais aussi pour l'aspect matériel...
On pourrait croire que cette pseudo liberté m'autoriserait enfin une féminisation telle que je la souhaitais depuis longtemps. En pratique, ce n'est pas le cas car je n'arrive pas à franchir le pas de l'épilation, point de départ obligatoire de cette démarche. En effet, tant vis à vis de mon épouse que sur le plan sportif ou professionnel (où je suis amené à me déshabiller souvent), je suis dans l'incapacité d'assumer le regard et les interrogations des autres. En fait, soit je suis lâche, soit je n'en ai pas vraiment ni envie, ni besoin. Et pourtant, j'en rêve tous les jours. Contradictoire, non ?
    Néanmoins, tout cela ne m'empêche pas de continuer de concrétiser certains de mes phantasmes. J'ai acheté sur e-bay une jolie paire de sandales blanches à talons hauts comme j'en cherchais depuis longtemps pour remplacer une très vieille paire achetée à Paris, il y a plus de 10 ans, complètement abîmée par les années malgré leur port peu fréquent. Elles sont magnifiques, épurées comme je les aime : juste une lanière sur le dessus du pied et autour de la cheville avec 10 cm de talons.
    A ce sujet, je n'ai toujours pas d'appareil photo numérique, ce qui explique l'absence d'images personnelles sur ce blog, ce qui ne saurait tarder ; mon désir de partager est trop grand...
    J'ai d'ailleurs profité d'un week-end ensoleillé à la campagne pour laver toute ma lingerie, dont les parures blanches qui en avaient bien besoin et la faire sécher sur l'étendage dans le jardin. Quel plaisir simple de voir toutes ces merveilles suspendues toute la journée sous mes yeux et l'excitante inquiétude d'avoir une visite avec les muettes (ou non...) interrogations qui pourraient en découler...

 

Par michel
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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 11:39


En me promenant sur le net, j’ai été attiré par des dessins érotiques de travestis et de transexuelles que je trouvais originaux…et excitants ! J’ai découvert le site www.sheanimale.com , hélas payant. Après de longues mais amusantes balades, j’ai trouvé un forum gratuit où l’on a un aperçu probable de ce site : http://theladyboyforums.com et le portail gratuit d’un autre site japonais de mangas travestis : http://www.hentai4shemales.com   Il y en a pour tous les goûts, mais personnellement, je suis séduit ! Si des visiteurs trouvent d’autres sites, je serai ravi d’en profiter…

Par michel
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Mardi 5 février 2 05 /02 /Fév 17:54


Après de longues conversations sur un chat du 3ème sexe, nous avons convenu d'un rendez-vous à l’hôtel en après-midi. François a 40 ans, marié et bi depuis très longtemps.    Nous nous sommes découverts devant l’hôtel, sans aucune gène… C’est étonnant, au fur et à mesures de mes rencontres, je suis de moins en moins gêné et fébrile, excité…oui ! Arrivés dans la chambre, après avoir tamisé les lumières, j’ai déballé sur le lit de multiples parures  afin qu’il choisisse ce qui lui plaisait le plus. Pendant ce temps, j’ai pris une douche et me suis habillé avec la nouvelle tenue verte achetée sur e-bay : guêpière et string verts, bas noirs, nuisette et déshabillé vert, nouvelles sandales à talons hauts noires avec des bijoux sur les lanières…
    Quand je suis sorti, il était allongé sur le lit, en tee-shirt et boxer,  à contempler toute cette lingerie étalée, un peu perdu, ne sachant que choisir et surtout comment les mettre…Il était touchant ! Je lui ai proposé de l'habiller, ce qu'il a accepté immédiatement. Je trouvais cette situation très excitante... Je l'ai alors fait asseoir au bord et me suis agenouillé devant lui, saisissant ses pieds pour y glisser des bas noirs que j'ai déroulés délicatement jusqu'en haut de ses cuisses, au ras du boxer gris. Puis, lui demandant de lever les fesses, j'ai doucement fait descendre ce qui couvrait l'objet de ma convoitise, découvrant sa crête déjà fièrement tendue, pas très longue mais d'une largeur impressionnante à sa base. Mon visage était à quelque centimètres de cette promesse, j'en humais les fortes effluves et je me suis fait violence pour ne pas m'en emparer derechef, j'en avais tellement envie...J'ai alors entouré sa taille d'un porte-jarretelles rouge que j'ai crocheté dans son dos, m'obligeant à me coller contre son ventre, puis j'ai fixé les bas aux longues et fines attaches rouge. Après lui avoir enfilé des sandales rouges à brides et à talons hauts de 10 cm, je lui ai laissé mettre un string noir et rouge et un bustier de dentelles, lui aussi noir et rouge.
    -Ca te plaît ?
-Oui, c'est joli et doux...
    M'allongeant de façon lascive sur le lit, je lui ai demandé de marcher dans la chambre. C'était amusant (et excitant...) de le voir évoluer autour du lit, portant ma lingerie, son sexe tendu débordant du string... François n'a pas tenu bien longtemps, avant de s'allonger sur le lit et de se coller immédiatement contre moi, ses bras m'enserrant le cou, nos jambes gainées de nylon se mêlant dans un crissement électrique.
    Instantanément, nos lèvres se joignirent et nos langues se mélangèrent dans une tendre sarabande. Quel bonheur de sentir ce corps plaqué contre le mien, des cheveux aux pieds, nos sexes durs se frottant l'un contre l'autre à travers les couches de lingerie superposée, nos mains découvrant la chaleur de nos peaux.
    Le souffle court, entre deux baisers, je lui demandais de me déshabiller et de me caresser les seins, comme je l'aime, en tournant doucement avec le bout des doigts. Sans que nos langues se séparent, j'ai laissé ses mains défaire le noeud de ma ceinture puis faire glisser le déshabillé vert sur mes épaules. Le doux contact de ses mains faisant passer les bretelles de ma nuisette sur mes bras dénudés me fit frémir. Enfin, je me rallongeais, détendu, en guêpière et bas, mon sexe luisant débordant du string, offert au plaisir à prendre et à donner...
    Quand ses doigts atteignirent la pointe de mes seins et commencèrent à les caresser, j'ai gémis de plaisir, ma bouche écrasant la sienne, ma langue avalant la sienne, mes mains pétrissant son dos, ses fesses dures et musclées. N'en pouvant plus, je l'ai doucement repoussé de mes deux mains plaquées sur son torse pour le mettre sur le coté puis sur le dos. Je l'embrassais alors dans le cou puis ma langue s'empara de ses pointes de seins tendues que je libérais de son bustier. Interminablement, je les enduisais de salive, les faisais rouler sous ma langue, les aspirais de mes lèvres avides puis prolongeais cette caresse par mes doigts pendant que ma langue descendait explorer son ventre, son nombril puis enfin, sa crête de chair luisante de son liquide, palpitante de son excitation, tellement tendue qu'elle ne touchait même pas la dentelle rouge du porte-jarretelles.
    Je m'enivrais de l'odeur forte et musquée qui s'en dégageait avant d'en découvrir la saveur par des petits coups de langues sur son gland turgescent mais si doux. Quand ma bouche entrouverte le prit entre mes lèvres pour en apprécier le relief délicatement ourlé, quand ma langue glissa sur sa pente douce pour en apprécier la saveur, le coup de bassin que donna François fit glisser toute sa colonne d'un mouvement continu tout au fond de ma gorge accueillante et avide de lui. Son « Oh ! Oui... » accompagné de la crispation de ses doigts sur mes seins témoigna de son plaisir.
    Longuement, au rythme des mouvements de son bassin et de ses grognements de plaisir, j'ai profité de sa saveur chaude et dure, la laissant palpiter sur mes lèvres, mon palais, la laissant ressortir complètement pour mieux la reprendre, retenant parfois un réflexe nauséeux quand après un virulent coup de bassin, il rentrait presque tout entier en moi et m’étouffait…
    Subitement, il se dégagea de ma bouche et m’allongeant presque brutalement sur le coté, je le vis plonger vers mon trésor qu’il engloutit d’un coup et suça  vigoureusement à grands coups de tête et de mains coordonnées…Nous étions tête-bêche et je le repris instantanément moi aussi de mes lèvres et de ma langue. Confortablement installés sur le coté, nous nous sommes longuement avalés mutuellement dans un abandon délicieux…
    A un moment, je l’ai senti distrait et s’écarter un peu de moi, et c’est quand j’ai senti la fraîcheur de son doigt lubrifié sur ma fleur que j’ai compris…Ouiiii…J’ai cru défaillir…Lentement, j’ai savouré son massage autour de mon orifice encore fermé mais qui ne demandait secrètement que sa venue puis s’ouvrir de lui-même à  ce doigt qui rentra centimètre par centimètre en moi, m’explorant délicatement, me procurant de nouvelles sensations de bien-être. Je me détendais complètement, ouvrant mon ventre à sa caresse qui se précisait, sentant bientôt plusieurs de ses doigts bien lubrifiés aller et venir pour bien me préparer. J’aime ce moment quand il est emprunt de douceur, cette chaleur mêlée de douleur, malgré tout, mais si prometteuse…Je me sentais durcir près de sa bouche et, bien que concentré sur ma fleur, il continuait de me donner des coups de langues et de lèvres sur ma virilité, elle aussi en feu.
    Au bout d’un long moment, je me suis dégagé de son étreinte, me suis retourné puis le saisissant par la main, je l’ai fait s’asseoir au bord du lit. J’ai délicatement déroulé le condom sur cette belle verge toujours aussi tendue et après l’avoir bien enduite de gel, j’ai chevauché François de face en écartant mes fesses à deux mains. Nos lingeries et nos peaux étaient humides de nos transpirations et nos souffles courts quand nos lèvres se sont jointes. Son gland s’est doucement posé sur ma fleur et j’ai juste eu à plier un peu les jambes pour le faire entrer en moi. Ecartant au maximum les fesses avec mes mains, je me suis lentement laissé glisser sur ce mat qui, malgré sa préparation, m’éventrait comme un pieu brûlant. Pour la première fois, la douleur prenait le pas sur le plaisir…Je me suis figé à mi-course, le souffle coupé, le ventre en feu. Je l’ai dit à François et lui ai alors demandé de m’embrasser, de me caresser les seins et d’être patient…Il m’a fallu de longues minutes, plusieurs fois je l’ai ressorti de moi, l’ai re-lubrifié, l’ai repris…Enfin, je l’ai senti entièrement en moi, mes fesses posées sur ses cuisses et je me suis enfin abandonné contre lui, épuisé. Il m’a fallu toute sa douceur, sa langue et ses doigts sur mes seins, des mots crus et doux dans l’oreille pour retrouver mon érection qui avait disparu. Alors, j’ai commencé à me soulever puis me laisser glisser sur son membre qui me remplissait d’une chaleur intense à chaque mouvement, mes mains saisissant à nouveau mes fesses pour mieux m’ouvrir. Bientôt, je ne fus que plaisir de mon ventre en feu et rempli, de mes seins et de mon sexe tendus  sous les doigts de François qui alternaient de l’un aux autres. Nos mouvements étaient de plus en plus désordonnés, nous grognions l’un dans l’autre…Je me laissais tomber de tout mon poids sur lui, nos langues se battaient l’une contre l’autre, son membre glissant en moi comme dans du beurre, c’était si bon d’être pris, rempli, comblé…J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais…Quand il m’a pris par les hanches pour mieux me pénétrer, j’ai senti que ce moment de plaisir extrême  ne durerait, hélas, plus longtemps. Pendant qu’il accélérait ses va et vient, je me suis caressé les seins du bout des doigts, en tournant doucement, comme je l’aime. Fou de plaisir, je me suis laissé bercé par ses coups de reins, les yeux fermés, sentant monter du bas de mon corps un formidable orgasme qui m’a secoué de longs spasmes libérateurs de belles envolées de ma semence entre nos deux corps, la tête électrisée par le plaisir. Epuisé, je me suis abattu sur son corps et c’est dans un vague brouillard que j’ai perçu les derniers élans de François et ses contractions libératrices au plus profond de mon ventre, dans un râle terrible, les mains crispées sur mes hanches, avant de se laisser tomber en arrière sur le lit, m’entraînant sur lui.
    Longtemps, nous sommes restés l’un sur l’autre, l’un dans l’autre avant de se séparer pour un déshabillage prudent car souillé de ma semence et une douche salvatrice. Après une pause cigarette, nous sommes chacun retournés à nos foyers respectifs…
    Nous avons eu l’occasion de nous retrouver sur notre chat de rencontre et il n’est pas exclu que nous ne renouvelions pas ce bon moment partagé.
     

Par michel
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Mardi 5 février 2 05 /02 /Fév 17:52


Je reviens après quelques mois d’absence. En fin d’année, j’ai, en effet, été très occupé sur le plan familial et professionnel…
    Cela ne m’a heureusement pas empêché de continuer de chatter sur Internet et de nouer quelques contacts dans la région. Les concrétisations restent difficiles en raison de ma faible disponibilité en soirée et en week-end et de mon impossibilité à recevoir…
    Sur les sites gays ou bi, un certain nombre d’hommes sont intéressé par mon profil. Il s’agit néanmoins souvent d’hommes mariés (je n’ai rien à y redire…), portant aussi de la lingerie, mais qui ne peuvent recevoir ou d’actifs « purs » dont j’ai un peu peur…
    Sur les sites du 3ème sexe, par contre, ma position hybride, continue de ne pas m’attirer beaucoup de succès…
    J’ai néanmoins accepté, juste avant Noël, une rencontre avec un homme marié, bi, qui ne s’était jamais travesti mais qui semblait en avoir envie. Il était, de plus, actif et passif…et nos désirs semblaient correspondre.
    Depuis, c’est hélas de nouveau très calme…

Par michel
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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 12:08



Enfin une soirée de libre au dernier moment ! Sans avoir pu me préparer en dehors d'un lavement et de la mise en place (douloureuse) du petit plug, j’ai emmené quelques « affaires » et je me suis rendu chez Bernard. Ce dernier avait mon âge, était célibataire et adorait porter de la lingerie. Nous avions échangé de longs mails puis des photos et convenus de passer un moment ensemble dès que je serais disponible. Ce moment était arrivé…
Bernard m’a accueilli en nuisette noire. En dessous, je devinais une guêpière, des bas et un string, le tout noirs. Il était chaussé de sandales grises à talons hauts. Je le savais (quelle chance… !) épilé.
Naturellement, nous nous sommes embrassés sur les joues…il faut faire durer le plaisir ! Comme toujours, il n’y a pas eu de gène lors du premier contact car nous savions tous les deux où nous allions…
A peine entré, il m’a indiqué la salle de bain car je l’avais prévenu que je devais me préparer longuement. Après avoir pris une douche et m’être bien nettoyé et avoir remis le plug, j’ai enfilé des bas noirs à couture, un porte-jarretelles rouge, un ensemble string et soutien-gorge noir et rouge, une chemise de nuit noire et des sandales rouges. J’adore ce moment de préparation où le cœur bat vite et le corps est parcouru d’un frisson de fébrilité…
Bernard m’a regardé et complimenté sur ma tenue. Il m’a tendu un verre de vin et nous avons devisé tranquillement installé dans son salon. Nous savourions de partager ce moment passé en tenue féminine, à nous voir évoluer comme nous l’aimions. Célibataire, il pouvait en profiter tous les jours, le chanceux…
Rapidement, nos propos ont provoqué notre excitation et il est venu s’asseoir à coté de moi sur le canapé, nos jambes gainées de nylon entrant en contact, nos mains se croisant sur nos cuisses respectives. Puis tournant la tête, nos lèvres se sont touchées et nous avons échangé un interminable baiser, nos langues dansant dans la bouche de l’autre une douce sarabande. Nos bras ont emprisonné l’autre et nous sommes restés longuement ainsi à profiter de cette féminité partagée.
Puis, doucement, nos mains ont glissé sur le nylon et la dentelle, sur nos peaux frémissantes, sentant des seins et des membres tendus et avides. Il a délicatement fait glisser les bretelles de ma nuisette sur mes épaules, la réduisant à un petit tas sur le sol  et j’ai vu son regard profiter de ma lingerie et de ma virilité prometteuse qui dépassait de mon string. Nous nous sommes de nouveau longuement embrassés, pendant que ses doigts s’emparaient de mes pointes de seins. Instantanément, le plaisir m’a inondé la poitrine et embrasé le ventre. Tout en continuant à me caresser doucement les seins du bout des doigts, guidé par ma demande, il s’est agenouillé et j’ai fermé les yeux, tout à la douceur de sa langue et de ses lèvres engloutissant mon membre tendu. Je n’étais que plaisir, les jambes écartées et détendues, sa bouche glissant sur moi interminablement, une de ses mains quittant parfois un sein pour caresser ma fleur offerte. Bernard aimait prodiguer cette caresse et je voyais dans ses yeux sa satisfaction de savourer la saveur de mon membre qu’il léchait, aspirait, engloutissait, enduisait de salive avant de le reprendre interminablement.
Au bord de l’explosion, je le repoussais et lui demandais de m’emmener dans sa chambre. Je voulais à mon tour lui donner autant…et plus encore.
« Allonges-toi sur le dos et laisse-toi emmener » lui dis-je alors. Fenêtres fermées, la pénombre était propice à nos jouissances futures. J’adorais être là avec cet homme offert, en lingerie et talons hauts, pour notre plaisir commun.
Me couchant sur lui, nous nous sommes embrassés fougueusement. Je sentais sa virilité dure contre la mienne, sous sa nuisette. Je la voulais dans ma main, ma bouche, dans tout mon corps. M’écartant de lui, je lui ai enlevé sa nuisette, découvrant une guêpière noire et un string noir et rose d’où jaillissait son beau membre palpitant sur lequel j’ai posé mes lèvres avant de m’en emparer avidement jusqu’à la garde. Il est chaud, gorgé de sang et palpitant, la peau en est douce. Je le sens frémissant, presque animé d’une vie intérieure. Je m’attarde sur son gland décalotté, je titille son frein avant de l’emboucher entièrement et faire des va et vient sur toute sa longueur. N’en pouvant plus il me prend alors la tête à pleines mains et m’impose son rythme, l’amplitude qu’il désire. Il se branle dans ma bouche, je le laisse conduire. Longuement, je l’ai savouré, le faisant interminablement coulisser sur mes lèvres et sur mon palais, le ressortant pour mieux le reprendre. Les mains de Bernard allaient de ma tête à mes seins et son bassin se tendait vers ma bouche.
Sachant qu’il souhaitait découvrir le plaisir ultime, je me suis détaché de lui et je suis allé  chercher serviette, lubrifiant, préservatif et mon plug. Je vibrais de bien-être de déambuler dans son salon obscur, uniquement éclairé par la lune, en lingerie et perché sur mes talons hauts, le sexe dressé, mi-homme, mi-femme…
De retour dans la chambre, j’ai glissé la serviette sous les reins de Bernard et l’ai naturellement repris dans ma bouche quand il a soulevé le bassin. Puis, ma bouche est descendue le long de sa hampe tumescente pour s’emparer de ses boules lisses et enfin atteindre sa fleur que j’ai découverte avec ma langue. Bernard a replié ses jambes sur sa poitrine pour mieux s’offrir et j’ai longuement joué des lèvres sur sa caverne secrète. Je l’ai senti frissonner quand mon doigt lubrifié et frais l’a doucement massé avant de l’entrouvrir. Longuement, avec une infinie délicatesse, je l’ai préparé avec mes doigts continuellement re-lubrifiés, alternant des baisers sur sa bouche, ses seins et son membre que je continuais de happer. Beaucoup plus tard, quand trois de mes doigts jouèrent librement en lui, j'ai facilement introduit mon plug et m'en suis servi comme un gode, allant et venant doucement jusqu'à ce qu'il l'apprécie.
Quand il m’a dit « viens », j’ai introduit doucement mon membre sur sa fleur entrouverte et j’ai eu à peine besoin de pousser que j’étais en lui. Quand ses mains ont saisi ses propres fesses pour mieux s’ouvrir et qu’il m’a encouragé, je me suis laissé lentement tomber sur son corps, m’empalant jusqu’au pubis. Il a poussé un petit cri et je suis alors resté immobile, au plus profond de son ventre. Je l’ai longuement embrassé puis quand je l’ai senti enfin bouger, j’ai commencé à aller et venir lentement au début puis au rythme de ses gémissements et de ses propos : « Doucement, ça fait mal " puis plus tard "ça devient bon, c'est chaud, continue".
Quand ses doigts se sont posé sur mes seins, j’ai presque perdu la tête et saisissant son membre d’une main pour le caresser, l’autre agrippée à sa hanche, je suis allé et venu sans retenue dans son ventre offert, sortant parfois presque totalement pour mieux me ré-enfoncer en lui.
Le plaisir montait, montait dans nos deux corps et miraculeusement, pour la première fois, quand les spasmes aigus du plaisir m’ont envahi, j’ai senti simultanément les contractions de jouissance de Bernard dans ma main. C’était si bon de sentir ses boules se crisper pour libérer sa semence, ses fessiers me serrer mon membre en feu. Puis c’est la libération. Il lance un premier jet, puis aussitôt après une nouvelle crispation un second, puis un troisième. A peine quelques secondes après, je jouis intensément, formidablement, en de longs spasmes qui me vident au plus profond de son ventre. Quel enchantement que ce bref instant de bonheur partagé au même moment !
    Epuisé, je me suis abattu sur lui mêlant sa semence à nos lingeries humides de nos sueurs mélangées. Longtemps nous sommes restés ainsi, l’un sur l’autre, l’un dans l’autre…
    Plus tard, pendant que je me douchais, Bernard est rentré dans la cabine et a commencé à me savonner le dos puis les fesses. Me retournant, j’ai moi aussi enduit son corps de savon, ses épaules, ses bras, sa poitrine lisse,…Notre lavage mutuel a rapidement fait renaître notre désir. Me retournant, j’ai saisi sa main et l’ai dirigée vers ma caverne, qu’il a doucement massée avant de s’y engouffrer facilement, l’excitation et le gel douche aidant…
Quand son autre main s’est emparée de mon sein, j’ai frissonné de plaisir et instinctivement reculé les fesses vers ses doigts qui me fouillaient délicieusement le ventre. J’étais bien, humide, couvert de gel douche, me laissant aller au plaisir de sa douce exploration. Progressivement, il m’a ouvert, dilaté au point de rentrer presque trois ou quatre doigts, je ne sais plus…
    Quand je me suis senti prêt, je me suis séparé de lui et nous nous sommes rincés sans plus nous toucher. Nos membres étaient tendus d’excitation. « Habillons-nous à nouveau » lui ai-je dit. Pendant qu’il partait dans la chambre, après m’être appliqué une noisette de lubrifiant, j’ai enfilé ma tenue blanche : bas, guêpière, string, sandales et peignoir.
    Bernard était dans la chambre, en bas auto-fixants noirs, string et nuisette avec des mules elles aussi noires. Nous nous sommes à nouveau longuement embrassés, caressés, déshabillés. Plus tard, j’ai fait glisser un préservatif sur sa tige fièrement dressée et l’ai lubrifiée délicatement.
    Saisissant un oreiller pour y poser ma tête et mes coudes de part et d’autre, je me suis agenouillé offrant ma croupe à sa venue. Quand j’ai senti simultanément ses mains sur mes hanches et son membre contre ma fleur, j’ai reculé d’un coup mes fesses et j’ai cru défaillir de douleur et de plaisir mélangé quand il m’a ouvert jusqu’à la garde, ses boules plaquées contre mes fesses. A ma demande, il n’a plus bougé pendant quelques minutes, ses mains courraient sur mes seins, mon dos, ma tige à demi dégonflée.
Immobile, je savourais sa vitalité qui me remplissait, me comblait, me faisait me sentir femme pénétrée par un homme. Plus tard, il a commencé à coulisser inlassablement dans mon trou qui me brûlait, entrant et sortant, allant et venant, jouant de mon orifice dilaté et accueillant. Ma tête dodelinait au rythme de son bassin, j’étais en feu, mon sexe dégonflé par cette chaleur envahissante. Je perdais la notion du temps, j’étais ailleurs, me laissant ballotter comme un bateau ivre …
Puis, j’ai senti Bernard accélérer, sa respiration était de plus en plus saccadée et il gémissait de plus en plus fort. Pourtant, au moment où je croyais qu’il allait jouir, il a ralenti son rythme. Et j’ai eu alors cette merveilleuse sensation d’une de ses mains s’emparant de ma tige pour la caresser doucement et l’autre sur mon sein. Il voulait que je prenne mon plaisir aussi. C’était merveilleux, son membre glissait en un long mouvement continu assorti à sa masturbation entre deux doigts, son autre main roulait la pointe de mon sein. Je n’étais que jouissance. J’ai crié quand mon membre s’est contracté sous ses doigts, envahi par de longs spasmes libérateurs de ma semence, ma fleur se resserrant sur sa tige à demi sortie. Je me suis affalé, étourdis, délivré, épuisé,…J’ai à peine senti, comme dans un brouillard, les vrais coups de butoir dont il me gratifiait jusqu’à son plaisir, planté au plus profond de moi, les mains crispées sur mes hanches à me faire presque mal, dans un cri immodéré.
Puis il s’est écroulé sur moi et nous sommes restés longtemps ainsi… jusqu’à que je le perde, sans doute, car épuisé et couvert par le corps, je me suis endormi immédiatement.
Ce n’est que plus tard, qu’après une nouvelle douche, quelques verres d’eau et la promesse de renouveler cette belle expérience que nous sommes quittés.

   




Par michel
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