Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 15:23

Comme je le disais il y a peu de temps, j'échange avec quelqu'un et nous semblons ressentir tous les deux une grande complicité. Marié, elle aussi, il nous est encore impossible de nous rencontrer mais nous échangeons de longs mails. Voila ce que j'ai reçu il y a quelques jours.

"Alors que tu m'avais laissé ton numéro de portable, je t'appelle à l'improviste. Nous sommes un vendredi après-midi et tu es chez toi, seule. Nous convenons d'un rendez-vous. Nous nous sommes déjà rencontré et je connais les lieux. Tu me demandes donc de rentrer directement chez toi car tu es déjà habillé avec ta tenue préférée. Lorsque j'entre, tu viens m'embrasser et nous nous serrons longuement l'un contre l'autre. Quel bonheur de nous embrasser tendrement ! Tu es vêtue tout de noir, chaussures à talon noires, bas, porte jarretelle et peignoir court. J'aime sentir ton peignoir en soie contre moi, j'aime ton odeur, ton parfum....j'aime caresser ta peau à travers la soie. Toujours en t'embrassant, j'effleure tes jolies fesses avec mes mains, je te caresse lentement jusqu'à sentir, à travers ton peignoir, la ficelle de ton string noir. Je te caresse encore, tu m'embrasses de plus en plus fort. A mesure que je découvre la forme de ton string avec mes mains, tu te blottis encore plus fort contre moi et mon sexe se dresse à travers mon jean. Tu m'as déjà conquis et excité et tu en es fière. Tu aime sentir mon sexe se dresser, il est à toi, il t'appartient...
Il est trop tôt pour passer à l'acte, tu m'offre et un verre et parlons de nous. En venant, je me suis arrêté dans un sex-shop avec l'idée de t'offrir un cadeau qui nous ferait plaisir à tous les deux. J'ai de suite trouvé une superbe tenue en vinyl. Aujourd'hui c'est toi qui la porte. Tu te retires dans ta chambre pour te changer. J'aime le vinyl et tu le sais. Lorsque tu reviens, je me suis aussi changé, je porte mes bottes à talons que j'adore, un string et un petit haut....rien de plus. Je suis sur le canapé, je t'admire ainsi vêtue, tu es belle, sexy et très désirable. Je suis allongé sur le canapé et tu viens me caresser directement le sexe. Je suis déjà très excité et tu le sens, je t'embrasse et te caresse sur tout le corps. Tu caresses mon sexe dur. Tu es aussi très excité et lorsque tu vois mon sexe se dresser, tu commence une fellation très douce avec ta langue aussi chaude que mon sexe. Tu me suces comme ça, simplement, pendant que j'écarte ton string et laisse aller mon doigt lubrifié au plus profond de ton intimité. Nous sommes en position de 69 et je commence, moi aussi, à embrasser ton sexe. Notre envie se fait plus présente et je t'allonge sur le ventre et je me mets sur toi. J'adore écarter tes jolies jambes et soulever ta jupe en vinyl puis, je caresse tes jolies fesses. Ma langue frétille ton anus délicieux, nous sommes bien, nous nous offrons énormément de plaisir...  je remonte alors à ton niveau, lubrifie mon sexe et commence tendrement à te pénétrer. J'ai très envie de toi, me colle à toi et termine de dégrafer ta superbe robe en vinyl pour te caresser les seins. Tu es bien et moi aussi, je te désire encore plus et commence un va-et-vient qui te couple le souffle. Je jouis assez vite à l'intérieur de toi tellement c’est bon.
Puis nous restons l'un contre l'autre pendant de longues minutes....."

Quelle magnifique promesse !

Par michel
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Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 15:19


Est-ce l’automne, le changement de temps et l’hiver qui s’annonce, je traverse depuis quelques jours une période de léthargie.
A posteriori, j’ai parfois l’impression que mes envies sont cycliques. Permanentes, certes elles le sont, mais avec des poussées, des accélérations ou à l’inverse des rémissions dans l’intensité.
Actuellement, bien que cela fasse des semaines que je n’ai pu m’habiller en femme et donc encore moins partager des moments de plaisir, je n’ai pas cette frénésie que j’avais quand j’ai commencé ce blog.
Bien sur, j’aimerai pouvoir rentrer le soir et jeter immédiatement aux orties ma tenue d’homme.
Me mettre nu puis enfiler une jolie paire de bas, un sting, une nuisette ou un peignoir léger et passer ainsi la soirée perché sur des mules ou des sandales…
Laisser mes tchats favoris en continu afin d’échanger,
Recevoir ou me déplacer librement au gré de mes rencontres,
Faire l’amour !

Et pourtant, en ce moment, j’en ai moins besoin.
J’ai bien eu quelques contacts, essentiellement avec des hommes dont certains portent de la lingerie et que je pourrai probablement bientôt rencontrer mais…
Peut-être qu’au fond, j’attends « le coup de foudre » réciproque…
Ma maîtresse du 3ème sexe…

Sans trop y croire quand même, mais on ne sait jamais !

Par michel
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Jeudi 18 octobre 4 18 /10 /Oct 19:08



    Je vis ma vie d’homme de tous les jours : activités professionnelles et sportives, vie de famille « normale » au quotidien…

    Sur le web, je reçois parfois quelques clins d’œil. Certains attirants car il s’agit d’êtres comme moi, souvent plus engagés dans la féminité (ce qui n’est pas difficile…) mais, hélas, vivant le plus souvent loin : Grenoble, Paris, Alpes-Maritimes,…Quelque part, cela me rassure, tout n’est pas perdu ! 

    D’autres proviennent d’hommes qui, dans la majorité des cas, quand je me décris en détail (ce qui me paraît être la base d’une saine relation) ne donnent pas suite. Je n’en suis pas attristé car au fond, c’est quelqu’un comme moi que je souhaite rencontrer et avec qui partager.

    J’ai été un instant tenté de répondre à l’annonce d’un travesti cherchant une copine pour aller à une soirée spécialisée dans une boite de nuits. Je lui aurais proposé de l’accompagner en homme mais ce n’est, à mon avis, manifestement pas ce qu’elle souhaiterait…
   
    Le couple, combinant idéalement masculinité et féminité (Bravo !), pourrait être une alternative séduisante. Mais ils recherchent le plus souvent soit des hommes TRES virils, soit des travestis TRES féminines. Encore une fois, je n’ai aucune difficulté à me positionner : nulle part !

    Heureusement, j’ai noué depuis quelques semaines une relation, encore purement épistolaires, avec quelqu’un qui pourrait me ressembler. La lecture de ce blog semble lui provoquer des sensations que nous pourrions partager et sa frustration de ne pouvoir nous rencontrer proportionnelle à la mienne. Dans nos trop rares (elle est mariée, elle aussi…) échanges de mail, sa retenue néanmoins tenace m’inspire beaucoup.
 
L’espoir est un puissant balancier face à la frustration, non ?

Par michel
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Mardi 9 octobre 2 09 /10 /Oct 11:44


    Rien…Il ne se passe rien. Le temps s’écoule et je vis dans mes rêves.
Dimanche matin, je suis allé aux puces et je n’ai rien trouvé d’intéressant, même pas l’ombre d’une paire de sandales à mon goût. J’ai pourtant eu un frémissement à la vue d’une magnifique guêpière verte Aubade, hélas trop petite pour moi (taille 70 correspondant à un 85B). Dommage… Elle se serait parfaitement accordée avec l’ensemble que j’ai acheté récemment.
    J’ai pourtant reçu quelques clins d’œil sur mes sites habituels, notamment celle d’un couple bi  et répondu à quelques annonces tentantes, en particulier celle d’un travesti amateur recherchant l’âme sœur. Sans aucune réponse…Ce qui n’est pas extrêmement surprenant, compte tenu de ce statut de « demi travesti » qui me semble une impasse. Et puis, j’hésite à répondre à des hommes « vrais ». J’ai peur qu’ils ne soient pas à la hauteur de mes exigences de douceur. Pourtant avec Jean et Manuel/Thierry, j’avais été comblé. Donc, ils existent bien. Néanmoins, j’ai surtout besoin de rencontrer quelqu’un qui me ressemble afin de partager à long terme toute cette féminité qui est en moi.
    Et puis, je l’ai déjà dit mais le répèterai encore, j’aimerais pouvoir aller dans des soirées réservées au 3ème sexe, pouvoir passer des moments de paix, discuter, échanger... Dans le sud, il y en a à Avignon (au Diamant) et probablement ailleurs. Certes, je pourrais y aller en tant qu’homme mais ce n’est pas ce que je suis réellement…A Paris, à la Maison du Travesti, on vous propose de vous  transformer sur place même si c’est la première fois.
    Même non épilé, peut-être que maquillé, portant une perruque, des bijoux, des bas opaques et des vêtements couvrant, cela serait possible. Peu crédible, j’en conviens, mais tellement satisfaisant…
Et puis, d’un autre coté, est-ce vraiment ce que je souhaite ?
N’est-ce pas à la fois compliqué et risqué.
Parfois, je ne sais plus jusqu’où aller…

Par michel
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Jeudi 4 octobre 4 04 /10 /Oct 19:45


Depuis quelques temps, mon épouse a cessé de travailler et donc de se déplacer.  Je ne peux plus donner libre cours à ma passion : plus de moment seul habillé en femme, très peu de possibilité d’aller sur des sites internet et encore moins de faire des rencontres. Si dans la religion bouddhiste, le désir mène à l’insatisfaction…
Et puis, j’ai le triste sentiment que ce statut de « demi travesti » en est aussi grandement responsable. Quand je vois le succès de Franny (Allez sur son blog !), ma frustration ne cesse de grandir. Certes, je n’ai, hélas, strictement aucun point de comparaison avec cette belle créature tant sur le plan physique que sur le plan de sa vie (réelle ou littéraire) mais quand même, j’ai tellement de « féminité » à donner…
Alors je fantasme et me nourris de petites choses. Je consulte hâtivement les sites web que je ne connaissais pas (il y en a peu) et y dépose mon profil, je tchate furtivement sur mes habituels. En vain. Je n’intéresse personne…Même ce blog, qui semble néanmoins attirer quand même quelques curieux égarés, ne génère que de rares (merci à  Orphé !) commentaires. Pourtant je vais essayer de continuer car j’ai besoin d’exprimer mes besoins. Qui sait, peut-être trouverai-je néanmoins l’âme sœur, qui m’acceptera tel que je suis !
Alors je comble le vide sentimental en futiles recherches matérielles : des sandales à talons hauts sur ebay (que je ne trouve pas, je suis trop exigeant dans ma demande…) ou de la lingerie dans des boutiques (où je n’achète pas car c’est trop cher…). Ah si, j’ai quand même acheté deux ensemble nuisettes et peignoirs, l’un blanc et l’autre vert…chez Lidl ! Et ils sont très beaux.
Du coup, je me sens obligé d’acheter un ensemble porte-jarretelles, soutien-gorge et string assortis au vert de l’ensemble. Des bas vert, aussi…et des sandales, pourquoi pas ? Voilà un but intéressant et néanmoins excitant…!
En effet, j’adore entrer dans une boutique de lingerie et y découvrir le regard parfois suspicieux des clientes, plus que des vendeuses, pendant que je tourne, regarde et touche un peu tout. Surtout quand je fais me demande naturellement, sans prétexter que c’est pour une femme, avec une grande connaissance des tailles et de ce que je souhaite. Je vois le doute s’installer et trouve ça très amusant. Personne ne m’a encore demandé si c’était pour moi…Si j’étais seul dans la boutique, je répondrais oui !
Par contre, quel plaisir de déballer une nouvelle parure, de la déplier délicatement de ses emballages soyeux, de l’enfiler et de la voir sur son propre corps, de jouer avec les couleurs des bas et des chaussures pour assortir ou au contraire, obtenir des contrastes et s’imaginer séduisant(e).
En ce moment, je n’ai même pas cette toute petite satisfaction…
Plus tard, me dis-je...

Par michel
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 16:56




    Après Paule et Jean, j'ai eu une longue période sans rencontre. A la fois parce que j'avais peur d'être déçu et surtout, je n'ai eu aucun contact engageant... Il s'agissait surtout d'homme et je souhaitais ardemment, malgré ma merveilleuse expérience avec Jean, partager des moments avec des travestis.
    Malgré tout, j'avais un tel besoin d'exprimer cette sexualité parallèle que j'ai répondu à l'annonce d'un couple de gays qui cherchaient un partenaire hétéro ou bi, hors de leur milieu. Ils souhaitaient quelqu'un de très « câlin », ce qui m'a séduit. Après de multiples échanges de mail puis téléphoniques, je me suis rendu chez eux, un soir de week-end, en l'absence de mon épouse.

Je m'étais préparé dès le matin. Un lavement, un long bain, un rasage de ma caverne et après m'être bien lubrifié, l'introduction facile du plus petit plug.  Je le gardais toute la matinée.  En début d'après-midi, je déballais le plus gros. Allongé sur mon lit, nu, il fallut un temps infini pour qu'il rentre enfin en moi malgré de multiples lubrifications. Il fallait  que j'en convienne, j'étais très étroit et la pénétration était difficile. Néanmoins, je n'avais pas le choix. Ce soir, je rencontrais deux hommes et j'allais être pris à nouveau car je le souhaitais, alors...J'eu le ventre douloureux tout l'après-midi, même si cela s'estompa progressivement. Je décidais de le garder jusqu'au dernier moment même si c'était plus un inconfort qu'autre chose.

J'ai été accueilli par Thierry, un peu plus âgé en l'absence de Manuel qui n'était pas encore rentré du travail. Rapidement, après nous être dit bonjour et assis sur le canapé du salon, il m'embrassa longuement. Sa langue était douce et ses mains aussi, sur mon jean instantanément tendu par le désir. Bientôt, Manuel, plus jeune nous rejoignit. Ils étaient tous les deux charmants et très accueillants et m'ont mis à l'aise très rapidement. Ils m'ont invité à me travestir, afin d'en profiter le plus possible. Dans la salle de bains, j'enlevais le plug. Quelle sensation de vide. J'avais choisi des bas à couture gris et un ensemble porte-jarretelles, soutien-gorge et string noir et gris. Des sandales noires, une nuisette et un peignoir noir complétaient l'ensemble.
    Pour la première fois, j'ai passé une soirée entière en femme avec deux hommes, de l'apéritif à la fin de la soirée. J'étais très détendu et me sentais bien avec eux, ce qui semblait être réciproque. Pendant le dîner, nous avons parlé de nos vies respectives et surtout de celle d'un couple homosexuel, milieu qui m'était bien étranger. Quel plaisir constamment renouvelé d'évoluer librement en femme dans une situation de vie quotidienne, le contexte particulier mis à part: mettre la table, manger, débarrasser, aller au salon prendre le café,...Des moments si simples, pourtant, mais si rares...
    Dans le salon, sur le canapé, les choses se sont précipitées...Thierry m'a embrassé longuement, ses mains entourant mon cou puis caressant mon corps. D'emblée, j'ai précisé la grande sensibilité de mes seins et la façon précise dont j'aime qu'on me les caresse. Ce que s'est empressé de faire Manuel, dans mon dos, par-dessus ma lingerie superposée. Mes mains courraient sur ces deux corps encore habillés et sentaient des renflements apparaître sous les pantalons. Ils étaient tous les deux très doux et c’était très excitant…
    Rapidement, ils m'ont guidé dans la chambre et j'ai découvert l'amour avec deux hommes tendres et délicats. Pendant que je déshabillais Manuel, tout en l’embrassant, Thierry m’enlevait mon peignoir puis ma nuisette et me caressait les seins. Manuel avait des anneaux dans les seins et était intégralement rasé. Quelle douceur de glisser mes joues sur son torse imberbe, d’exciter ses seins avec ma langue pendant que mes mains libéraient son membre, tendu comme un arc, de son string. Il mesurait une quinzaine de centimètres. Quand ma bouche s’est emparée de son extrémité, je l’ai senti frémir puis ses cuisses se détendre. Il s’est abandonné complètement à ma caresse, allongé sur le dos.
    J’étais bien, à genoux, mes mains sur ses cuisses, ses fesses, sa fleur, son grand membre glissant et glissant encore. Je savourais cette chair chaude et  palpitante coulissant sur mes lèvres et mon palais, le parfum de son corps m’emplissait de saveurs
    Plus tard, Manuel m’a incité à me tourner vers Thierry qui, toujours habillé, me caressait doucement le corps et les seins, mais pas mon sexe, je voulais faire durer le plaisir. Après l’avoir longuement embrassé et déshabillé, je l’ai à son tour savouré dans ma bouche à genoux sur le lit, lui debout ses mains sur mon visage pour me faire aller au rythme de son plaisir. Il était plus court et moins tendu mais tout aussi plaisant à avaler…
    J’ai frémi quand les doigts de Manuel ont écarté le string de mes fesses et quand l’extrémité de son doigt lubrifié a caressé ma fleur offerte. J'attendais tant ce moment et je m'étais tellement préparé, que ce ne fut que langueur. Je réalisais enfin sans douleur le plaisir d'être exploré ainsi. Manuel m"a fait remarqué que pour un hétéro, j'étais particulièrement bien ouvert. Lâchant le sexe de Thierry, je leur expliquais mon expérience précédente et ma préparation en conséquence. Il n'eut donc pas à me masser longtemps en entrant et sortant plusieurs doigts réunis, humides et frais de lubrifiant constamment renouvelé. Quand il s’est interrompu, j’ai su qu’il allait mettre un préservatif et venir en moi, que j’allais être pris par ces deux hommes en même temps, dans la bouche et dans le ventre, comme seule une femme peut l’être.
    J’ai cru défaillir quand son sexe s’est introduit en moi facilement, d'une lente poussée continue jusqu’à la garde, je le sais, car je sentas ses boules contre mes fesses. J’ai quand même eu une douleur fugace, mais sans commune mesure avec la précédente, vite remplacée par une immense chaleur bienfaisante quand ses mains ont saisi mes hanches pour mieux me pénétrer. Il n’a plus bougé pendant quelques instants et j’ai apprécié sa réserve. Quand il a commencé à aller et venir en moi, j’ai  presque perdu la conscience de ce qui se passait. J’étais à genoux, en lingerie et talons hauts, avec un sexe chaud dans le ventre qui m’ouvrait et un autre dans ma bouche, me laissant aller au plaisir d’être remplie, comblée, assouvie aux rythmes de ces deux hommes qui glissaient en moi. Les yeux fermés, je n’étais qu’une vague de jouissance, me laissant bercer d’avant en arrière par ces mains qui guidaient ces membres en moi.
    Au bout d’un temps indéterminé, j’ai senti le plaisir monter en moi, mon ventre se contractant de plus en plus vite sur le membre de Manuel, me faisant presque mal. Je perdais souvent celui de Thierry qui m’étouffait car j’haletais mais le reprenais aussitôt de mes lèvres devenues sèches. Une marée de spasmes m’a submergé et j’ai jouis longuement sur le lit en criant que c’était bon. Mes bras ont alors plié et j’ai posé ma tête sur le drap, m’offrant inconsciemment encore plus aux va et viens de Manuel dont les doigts se sont crispés sur mes hanches au moment où, niché au plus profond de moi, il a pris son plaisir en criant lui aussi.
    Je ne sais pas combien de temps je suis resté ainsi. Jusqu’à ce que Manuel se retire et me retourne doucement sur le dos. J’avais effectivement oublié Thierry qui se caressait rapidement en me regardant et qui a éjaculé soudainement sur mon visage en de cours jets de sa semence dont j’ai pu savourer le goût quand il m’a embrassé et l’a mélangé avec sa salive.
    J’étais épuisé mais ravi. Un bas avait filé, j’étais couvert de sperme et de lubrifiant mais profondément satisfait.
    Après la douche, j’ai remis ma nuisette et mes sandales et nous avons passé quelques minutes à discuter, eux toujours nus. Puis à leurs regards mutuels et quelques gestes suggestifs, j’ai compris qu’ils souhaitaient poursuivre les ébats entre eux et les ai quittés.

    Je n’ai pas eu l’occasion de les re-contacter mais je ne vois plus leur annonce. C’était un moment très agréable et je garde un très bon souvenir de leur douceur.
   

Par michel
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Mardi 2 octobre 2 02 /10 /Oct 23:56

Je me réveillais un peu hagard,
Toujours rempli
Quand je l'enlevais, son passage fut douloureux,
Je ne mettrais le plus gros que pour me préparer avant une rencontre
Bientôt, j'espère
J'en frémis d'avance

Par michel
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Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 23:40

Ma première expérience, tant désirée et juste réalisée, d'être pris m'a immédiatement inspiré quelques réflexions. D'abord, je suis très étroit et donc, conséquence directe ou non, ce fût très douloureux ! Même si je savais qu'une préparation et l'utilisation de lubrifiant étaient indispensables, malgré tout, cela fut insuffisant et j'avais eu très mal. Je me suis donc vite documenté sur cette pratique afin de savoir si je pouvais à l'avenir éviter ces désagréments.
La richesse d'intenet me permis d'y trouver rapidement des indications. D'abord, contrairement à ce que je pensais, ce n'est pas la longueur qui est importante, mais le diamètre. En effet, c'est le sphincter anal qui est la zone la plus étroite et en conséquence, doit être progressivement ouverte et détendue. Et cela prend du temps...
Puis des solutions, enfin, surtout une: le plug !
On trouve de tout pour ce petit engin, de toutes les matières, formes et tailles, il ne me restait qu'à choisir. Après de longs moments passés à lire les avis sur ces plugs, notamment sur le riche forum sexualité de Doctissimo, tout devint assez clair. Le diamètre moyen d'une verge étant de 4 centimètre, il fallait au minimum un objet de cette taille pour une préparation initiale. Son port prolongé semblait confortable voir plaisant...L'étape suivante de 6 centimètre semblait idéale pour une préparation ultime mais à la limite de l'inconfort pour la majorité, même si tout cela pouvait aller très loin...jusqu'à 10, 13 ou 17 centimètres !!!
Je vous passe les heures passées à comparer la multitude de sites proposant une innombrable variété de ces prometteuses merveilles avant de me lancer enfin et de cliquer fébrilement sur deux modèles assortis, en gelly, respectivement de 4 et 6 centimètres de diamètre et de 10 et 17 centimètres de longueur...Pour de la préparation, cela me semblait raisonnable !
L'attente fut interminable et enfin, un soir, je reçus le fruit de mes attentes.
Je me préparais longuement tout en contemplant le colis non ouvert trônant sur la table du salon: prudent et soigneux rasage intime, long bain parfumé, douce toilette en profondeur, minutieuse application de crème pour tout le corps, parfum, soin des ongles (je rêve de vernis rouge vif...), sèchage soigneux avant de faire glisser sur mes jambes (hélas poilues...)une jolie paire de bas noirs autofixants à large revers de dentelle bleue, un ensemble string et soutien-gorge en dentelle bleue et noire, un jupon et un bustier noirs et de jolies sandales bleues vintage.
Assis tranquillement dans mon salon, j'ouvrais fébrilement le paquet, déballais et découvrais lentement les deux plugs. Sans pouvoir me retenir longtemps, j'enduisis le plus petit de lubrifiant, relevais mon jupon, écartais la ficelle de mon string et posais délicatement son extrémité à l'entrée de mon orifice. Je le fis longuement tourner autour de ma rondelle avant de l'introduire lentement en moi. J'eus une légère sensation de pression au début puis il rentra progressivement d'une longue poussée continue avant que sa base rétrécie fasse un petit sursaut avant de prendre sa place à l'entrée bien plus étroite. avec un petit bruit de succion.  Il avait pris sa place. Je ressentais juste une impression de plénitude. Je rabattais mon string et mon jupon et me levais.
Quelle bonne sensation !
Le reste de la soirée et de la nuit fut très agréable...

Par michel
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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 13:42


    Toujours grâce à Internet, j’ai eu de longs échanges avec Jean. Marié, lui aussi, il avait depuis longtemps, lui aussi, envie de partager un moment de plaisir avec un homme habillé en femme en la considérant comme telle.  Nous avons longuement échangé par mail nos envies réciproques et au fil du temps, notre excitation mutuelle est devenue de plus en plus grande. Il semblait très doux et nos fantasmes s’accordaient merveilleusement. Après une attente qui devenait insupportable, nous avons enfin trouvé un week-end où nos deux épouses étaient absentes et où il pouvait me recevoir discrètement.
    Dès le départ de ma femme, le samedi en début d’après-midi, mon excitation était à son comble. Je sortais avec fébrilité de toutes mes cachettes ma lingerie, mes vêtements et mes chaussures. Je savais ce que préférait Jean et j’ai choisi avec soin les tenues que j’allais porter ce soir-là. Tout était étalé sur le lit, comme c’était beau…La douche calma un peu mon érection qui ne reprit que lorsque je lavais mon orifice quasi vierge et le préparais longuement à l’aide de mes doigts lubrifiés de gel.
    Rasé de près et parfumé, je frémis d’ouvrir, de déplier et de sentir glisser sur ma peau la soie des bas rouges à couture que je fixais ensuite aux 4 fines attaches du porte-jarretelles noir que je venais de passer sur mes hanches. J’enfilais ensuite le string noir et rouge et frémis de bonheur au contact de la ficelle dans ma raie fessière. Le soutien-gorge assorti prit place sur mes pointes de seins dressées. Après m’être habillé d’un pantalon et d’une chemise, j’ai soigneusement plié le bustier noir et rouge en soie et dentelles, la jupe de lin noire fendue, le peignoir en soie noire et les sandales noires à talons aiguilles. J’avais aussi préparé une tenue blanche complète avec des bas, une guêpière, un string, une nuisettes et des sandales assorties. A la tombée de la nuit, je me suis alors rendu chez Jean.
    Au moment de sonner, mon cœur battait vite, autant d’excitation que d’appréhension. Il m’a ouvert la porte, nous nous sommes regardés et avons souri tous les deux. L’image que nous avions l’un de l’autre était conforme aux photos que nous avions échangées et à nos attentes. Il m’a fait entrer, nous nous sommes installés dans le salon et avons commencé à parler comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Il portait une chemise en lin entrouverte et un pantalon large et était pieds nus. Toutes les fenêtres étaient fermées et une lumière douce tamisait l’appartement. Pendant qu’il préparait à boire, je me suis rendu dans la salle de bain, me suis déshabillé et ai enfilé ma jupe et mon bustier. Mes doigts tremblaient d’excitation sur les lanières de mes sandales que j’ai eu du mal à enrouler sur mes chevilles.
    Le bruit de mes talons sur le carrelage le fit se retourner, un verre de vin blanc à la main et son sourire me fit du bien. « Qu’est ce que tu es belle… ». Je me sentais à l’aise, comme je l’avais toujours rêvé.
Assis en face de l’autre en buvant du vin blanc frais, nous avons longuement parlé de notre passé et de nos désirs. J’aimais tellement être là, habillé en femme, qu’au bout d’un long moment, je suis venu m’asseoir à coté de lui sur le canapé, hanche contre hanche. Il s’est tourné vers moi et m’a embrassé d’abord timidement puis longuement, nos langues se mêlant dans une sarabande infernale. Ses bras m’ont entouré et je me suis blotti contre lui. J’ai déboutonné les boutons de sa chemise pour découvrir son torse et mes doigts se sont emparés de ses pointes de seins dressées, vite remplacés par ma langue qui allait alternativement de l’un à l’autre. J’ai frémi de sentir ses mains glisser sous mon soutien-gorge pour effleurer d’abord puis caresser lentement mes seins en tournant doucement les pointes du bout des doigts. Jean savait que j’adorais ça. Une vague de chaleur m’a envahi et mon sexe s’est immédiatement tendu à travers mon string.
    A  ma demande, il m’a enlevé ma jupe et mon bustier et dégagé les bretelles de mon soutien-gorge afin de mieux me caresser les seins. J’étais enfin en lingerie et talons hauts devant un homme…Nos langues se sont de nouveau mêlées et nous avons savouré longuement ce plaisir de nos mains respectives sur nos seins. Puis glissant doucement vers le bas de son corps, j’ai déboutonné lentement son pantalon faisant jaillir immédiatement son membre tendu comme un arc car il ne portait rien en dessous. J’ai découvert la saveur de son gland à petits coups de langue puis de lèvres, le décollant de son ventre pour l’engloutir doucement jusqu’au fond de ma gorge, m’enivrant de cette palpitation chaude et douce glissant interminablement sur mon palais. Il gémissait, m’engageant à continuer, à ne pas m’arrêter tellement c’était bon, tellement il était bien. Mes seins tendus sous ses doigts et mon membre étaient en feu. Mes doigts humides de sa salive allaient alternativement sur ses seins, sur ses bourses ou sur sa fleur dont je sentais les replis se contracter au rythme de ses lentes plongées dans ma bouche. Puis, au bout d’un moment interminable de bien-être, il commença à remuer son bassin de plus en plus vite et à pousser un gémissement de plus en plus fort, murmurant que j’étais belle en lingerie, que c’était bon…
    Longtemps après, j’ai senti son membre grossir encore entre mes lèvres et ses mains quitter mes seins pour s’appuyer sur ma tête, témoignant de son plaisir proche. J’ai savouré ses spasmes puis la saveur de ce liquide chaud qui me remplissait la bouche et que j’avalais lentement pour faire durer ce bonheur d’être une fois encore un peu femme…Redressant la tête sans abandonner son membre encore dur, je le regardais et fût rassuré. J’avais tellement peur de cette réaction de dégoût que j’avais parfois après m’être masturbé habillé en femme et me rejetant moi-même. J’ai alors senti ses bras se glisser sous les miens pour me remonter contre lui et m’embrasser, nos langues se mêlant dans un baiser profond, nos corps collés étroitement.
Nous sommes restés longtemps dans les bras l’un de l’autre puis m’éloignant de lui, j’ai enfilé et fermé mon peignoir de soie noire, ne laissant entrevoir que mon soutien-gorge, mes bas et mes sandales. Je suis allé nous servir un verre de vin blanc que nous avons dégusté sur le canapé. Je savourais cette sensation de plénitude de me voir déambulant en femme, sur mes talons hauts, avec lui toujours nu qui me regardait.
    « Je veux que tu me prépare longuement et que tu me fasses l’amour », lui ai-je dit en le regardant dans les yeux. Il s’est levé, m’a pris par la main et m’a emmené dans la chambre où il m’a assis puis allongé sur le lit. Il s’est alors étendu à coté de moi et glissant une main sous mon peignoir, a entrepris de me l’enlever. J’avais les yeux fermés, tout à la sensation d’être offert à cet homme doux et tendre qui allait me rendre vraiment femme.
Il commença par m’embrasser sur la bouche, descendit le long de mon cou et s’empara de mes seins. Je gémissais et me tordais sous la caresse de sa langue qu’il remplaça par ses doigts mouillés avant de descendre vers mon ventre.
    Très doucement, il fit glisser mon string sur mes cuisses, libérant mon membre turgescent qu’il embrassa puis caressa de ses lèvres chaudes et humides. Comme dans un rêve, je le sentis me lécher les bourses puis sa langue glisser dans ma fleur qui s’entrouvrit progressivement sous la douce pression de sa langue.
Tout mon corps a frémi au contact de la fraîcheur de son doigt lubrifié ouvrant ma rose offerte et explorant doucement mon ventre qui n’attendait que ça depuis si longtemps. Interminablement, il a rentré et sorti doucement un puis deux et enfin trois doigts continuellement lubrifiés. Je ne savais plus où j’étais : ses lèvres et sa langue allaient de ma bouche à mon membre en passant par mes seins et mon ventre s’avançait vers ses doigts, au rythme des sensations qu’il m’envoyait à travers tout le corps. J’allais jouir et ne le voulais pas, c’était trop tôt, trop bon…
    Je l’ai repoussé de mes deux mains et à genoux devant lui, j’ai fait glisser furtivement mes lèvres sur son membre dur avant de faire glisser un préservatif que j’ai enduit délicatement de lubrifiant.
M’allongeant sur le dos, repliant mes cuisses sur mes épaules et saisissant mes jambes gainées de soie à deux mains, je lui ai dit : "Viens, prends-moi ".
    J’ai guidé son gland contre ma fleur ouverte et  je l’ai senti essayer d'entrer en moi. Et là, la douleur fut vive malgré sa douceur et sa  lenteur. Je du l'arrêter pour qu'il me prépare à nouveau longuement de ses doigts. Plus tard, à nouveau, je tentais de l'accepter. Ce fut encore très douloureux  et interminable pour qu'il puisse enfin prendre sa place . Ses deux mains se joignirent aux miennes sur mes fesses pour mieux rentrer et je faillis défaillir de douleur quand ses bourses vinrent au contact de mes fesses. Je ne bougeais plus, ne sentant qu'une immense brûlure et aucun plaisir. Je ne bandais plus du tout.
    C’est alors qu’il se pencha et m’embrassa doucement, puis ses mains quittèrent mes fesses pour venir caresser mes seins entre ses doigts, son corps couvrant le mien, aussi attentif à ma douleur  qu’à son désir. Le plaisir se mit à m'irradier les seins et malgré le feu de mon ventre rempli, je me remis à bander.

Il lui a fallu beaucoup de patience et de multiples pauses pour qu'il puisse enfin commencer à glisser en moi sans que je ne l'en empêche, c'était toujours très douloureux. Longtemps après, la douleur s'estompa et une sensation d'abord de simple comblement puis ensuite de plaisir commença à apparaître. Mon ventre s'habituait à sa présence et même l'appréciait de plus en plus.
-Viens Jean, prends ton plaisir, prends-moi… .
-Je ne te fais plus mal ?
-De moins en moins, je suis bien...
Encouragé par ma demande, mes mains sur ses reins, il entama un long va et vient, très doucement d’abord, puis de plus en plus vite jusqu'à sentir son gland me quitter puis re-rentrer facilement, toute sa colonne dure coulissant librement en moi. Je ne savais plus ce que je faisais, je l’attirais en moi accompagnant de mes reins ses allées et venues de moins en moins contrôlées. Il me saisit alors par les hanches et se mit à me pilonner de plus en plus fort.
    Sans que je bande, une sensation de bien-être plus que de plaisir irradiait de mon ventre qui n’était plus qu’une boule de feu, de mes seins que je caressais moi-même, de ses mains crispées sur moi. Je me mis à gémir et à dire des propos sans suite. Je m'abandonnais au ressac...
C’est à ce moment précis, Jean me le dira plus tard, que, me voyant me laisser aller, se mit à jouir en gémissant, fiché au plus profond de moi, par de longues saccades, son membre me semblant encore plus gros que jamais. Au bout de quelques secondes ou minutes, j’avais perdu la notion du temps, je dépliais mes jambes qui se trouvaient complètement ankylosées et Jean s’effondra sur moi, mélangeant ma semence à sa peau trempée de sueur.
    Longtemps, nous sommes restés ainsi, sans rien dire, dans les bras l’un de l’autre, son membre se dégonflant lentement en moi pour finir par me quitter. Je ne savais pas si Jean voulait que je reste pour la nuit. Moi, j’en avais très envie, c’était si bien…Je lui ai alors dit d’aller se doucher en premier. Plus tard, nu dans la salle de bain, j’ai entrouvert la porte pour lui glisser avec appréhension : « Jean, tu veux que je reste cette nuit ?… » Quel bonheur, quelle promesse quand il m’a dit : « Oui, je veux bien ».
Alors, encore humide de la douche, j’ai enfilé ma guêpière blanche, des bas blanc à couture, un string blanc et une nuisette en dentelle blanche. J’ai enfin mis des sandales à talons de 10 cm, elles aussi blanches. J’aimais bien me regarder dans la glace ainsi vêtu et espérais secrètement surprendre Jean qui ne s’attendrait pas à cette nouvelle tenue plus virginale que la précédente…
    Sa surprise et ses commentaires flatteurs répondirent à mes espérances. Néanmoins, compte tenu de notre fatigue (nous n’avions plus 20 ans…), après avoir commenté nos ébats autour de quelques verres de vin, nous décidâmes de dormir un peu. Nous nous sommes endormis rapidement.
    Au petit matin,  je fus réveille par une douce sensation : Jean, collé contre mon dos me caressait délicatement les seins avec le bout de ses doigts. Je sentis mon désir renaître instantanément, ainsi que le sien, que je sentais grandir contre mes fesses. Il m’embrassait aussi dans le cou. Je me tordais sous ses doigts et je lui soufflais dans un gémissement : «Jean, j'ai envie que tu me reprennes… ».
Quelques secondes après, ses doigts lubrifiés m’ont pénétrés lentement et ont joué avec mon ventre déja plus ouvert qu'hier. Quelle sensation de bien-être ! Pendant qu’il me doigtait doucement, son autre main courrait de mes seins à mon membre tendu qu’il caressait alternativement.
    Très excité, je me suis alors mis à quatre pattes, calant un coussin sous mon ventre et saisissant mes fesses à deux mains pour bien m’ouvrir, je me suis offert à sa venue. Son gland fraîchement lubrifié se colla contre ma fleur, ses mains se posèrent sur mes hanches et il me pénétra très doucement, ce qui fût encore une fois douloureux, à peine son gland en moi.  Devant mon blocage, il s'arrêta et ne bougea plus pendant un long moment, se contentant de me caresser les seins ou ma queue molle. Bien plus tard, centimètre par centimètre, il finit par s'introduire complètement en moi puis Il commença à aller et venir lentement puis de plus en plus vite, encouragé par mes gémissements. Cette fois-ci, la douleur s'estompa beaucoup plus rapidement et le plaisir m'excita. Bientôt, je ne fus que jouissance, le feu dans mon ventre, le frottement doux de mon membre contre l’oreiller, les décharges de mes pointes de seins qu’il tournait doucement avec ses doigts…J’aurai voulu que cela ne s’arrête jamais. J’ai jouis en criant et en mordant le drap, en de longs spasmes qui m’ont secoués tout le corps, peu avant Jean, dont j’ai senti les contractions de plaisir au plus profond de moi et les crispations de ses doigts sur mes seins.
Jean s’est alors effondré sur moi et nous sommes longtemps restés emboîtés l’un dans l’autre, son sexe me remplissant toujours, pour profiter au maximum de ce moment qui n’allait pas durer.
En effet, nos épouses respectives devant rentrer en début d’après-midi, nous avons dû nous quitter rapidement.

    Je n’ai jamais revu Jean, il a été obligé de quitter rapidement la région pour des impératifs professionnels. Longtemps, nous avons conversé par mail, l’un et l’autre voulant renouveler ce moment exceptionnel mais cela n’a pas été possible avant son départ.









Par michel
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Vendredi 21 septembre 5 21 /09 /Sep 18:17


    Dès que je suis seul, c’est à dire rarement, je me connecte sur mon tchat travesti préféré à la recherche de contacts. Comme je l’ai déjà dit précédemment, mon statut de « demi travesti » n’est pas idéal…Je ne sais pas vraiment où me positionner. En effet, j’ai réellement envie d’être sexuellement femme jusqu’au bout (au sens propre…), à savoir qu’on me fasse l’amour complètement et passivement, mais en même temps, j’ai à la fois peur et pas réellement envie de le faire avec un homme viril. En réalité, j’ai besoin de 3ème sexe, d’un travesti actif, d’un être à la fois femme ET homme, féminin car j’aime la féminité et masculin pour son sexe. Or, à le plus souvent, dans tous les sites que je consulte (et je m’y applique…), les choses sont plus tranchées, ce qui est logique. Un travesti cherche en règle générale un homme viril, pour se sentir femme et/ou un autre travesti pour partager cette féminité. Pas un « demi travesti », à la fois viril (poils, muscles, …) et féminin (lingerie, douceur, passivité sexuelle,…).
Si j’étais seul, je me féminiserais, non pas au quotidien, c’est impossible (parents, enfants, amis, métier,…) mais je pourrais vivre vraiment des moments de plénitude dans le milieu travesti. J’enrage de voir toutes ces soirées spécialisées où je ne peux me rendre, toutes ces rencontres que je pourrais faire…
    Pourtant il suffirait que je sois épilé complètement (je sais, ça tourne à l’obsession…) car étant perfectionniste, le reste (perruque, maquillage,…) serait un jeu d’enfant.
    Et puis le temps passe, j’ai déjà 45 ans…
    Alors….
    Alors, à défaut, j’attends de trouver celle qui m’acceptera comme je suis, tout en sachant que je ne serais jamais réellement travesti.
    Tant pis.
    Il ne reste plus qu’à croire en la réincarnation et peut-être, alors, serai-je réincarné en femme dans une deuxième vie… si elle existe !

Par michel
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